Aujourd'hui, fin 2010, Jean Charest n'est plus qu'une caricature. Et ça, c'est grave. Ça ne pardonne pas. L'histoire est là pour le prouver.
Jean Charest, nous le pouvons plus le voir comme notre premier ministre. Il n'est plus que ce roi nu des pièces de théâtre dont rien ne peut plus cacher l'inaction, la corruption, collusion et compromission avec les petits amis des lobbies qui se foutent éperdument des intérêts du peuple québécois.
Jean Charest a toujours été discret, pour ne pas dire qu'il agit en cachette. Par exemple, son salaire de 75 000 $ du PLQ, il l'a tenu occulte tant qu'il a pu. Ses pots-de-vin, par exemple, les 700 000 $ du lobby juif pour avoir droit à leurs écoles privées gratuites, c'est-à-dire payées à même nos taxes, il les a tenus cachés tant qu'il a pu. Mais il ignorait qu'au Québec, la vérité et la justice triomphent toujours.
C'est ça qui va lui coûter son poste.
Et ça, c'est heureux pour nous. Nous, Québécois, aimons la vérité, la justice et la liberté. En toute démocratie, en toute transparence pour le plus grand malheur des Charest de ce monde. Rappelez-vous le sort que nous avons réservé à l'Église qui nous avait trahis en putassant dans le lit de ce qu'elle appelait «l'autorité légitime».
J'ai signé la pétition, avec les centaines de milliers de Québécois qui veulent respirer par le nez au Québec sans avoir à se le boucher. Dehors l'arrogance de la dominance !
Jacques Dubreuil

Sherbrooke, Estrie, Qc