Voici la présentation du texte en question:
Claude Garcia, un "ami" du Québec
Nous avons réussi à nationaliser Hydro Québec, qui a pris beaucoup de valeur. Nous devons nous attendre à attiser la cupidité des oligarques, qui ne connaissent aucune limite à leurs ambitions.
René Marcel Sauvé

Tribune libre de Vigile

jeudi 7 juin 2007 1494 visites 2 messages
Un extrait:
"Décidément toujours fidèle à lui-même Claude Garcia recommence avec une nouvelle tentative pour affaiblir le Québec : la vente pure et simple d’Hydro-Québec à des intérêts "privés", entendez les tizamis.
Ce grand ami du Québec aurait bien aimé écraser les méchants "séparatisses, gr,gr,gr," et en finir une fois pour toutes avec un "problème" majeur pour les milieux d’affaires, pour qui l’existence se résume à l’argent, rien que l’argent, seulement l’argent et pas autre chose que l’argent. Leur vie appartient à l’argent et la vie des autres n’existe pas, puisque tout se mesure en termes d’argent."
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J'ai relu ce texte de Monsieur Sauvé, j'ai visionné le clip de la SRC et, franchement, je ne vois pas comment "Ces propos sont mal fondés et ont un caractère diffamatoire."
Je ne vois pas non plus comment "Ils reprennent infidèlement une déclaration se retrouvant à la fin d’un discours de M. Garcia prononcé en mars 1995".
Vous pouvez bien l'affirmer, le penser même, si vous voulez, mais je ne suis tout simplement pas d'accord avec vous.
Si, comme vous l'affirmez, votre client estime que sa réputation a été diffamée, j'apprécierais beaucoup que vous me disiez, en son nom, comment le texte de Monsieur Sauvé s'écarte de la déclaration de Monsieur Garcia.
En toute bonne foi, je n'y vois aucun motif de diffamation. Mais plutôt un reflet fidèle de ce qui a été dit dans ce discours, et conforme également aux réactions vives qu'il a suscitées dans les milieux politiques aussi bien fédéralistes que souverainistes.
Monsieur Garcia a fait des déclarations belliqueuses, ce soir-là; il ne s'est pas fait que des amis... qu'il en subisse les conséquences.
Vous direz à votre client que, plutôt que des poursuites, des excuses seraient plus appropriées dans ces circonstances.
Je rejette donc vos accusations.
Je refuse donc de retirer ce texte de Vigile.
Bernard Frappier
Éditeur de Vigile.net