La caste mène une politique de chaos pour inspirer la peur

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Les peuples doivent se révolter

Les gens qui nous gouvernent, en France, dans les autres pays, et au niveau de la gouvernance mondiale, croient et obéissent aux forces de l’esprit, aux forces telluriques, c’est-à-dire aux forces terrestres. Forces auxquelles les monarques et les oligarques de l’Antiquité croyaient et obéissaient déjà. Ils reprennent les mêmes secrets. Par leurs connaissances ésotériques et symboliques, ils se prennent pour des Hommes supérieurs, pour des Hommes-dieux. Ils sont en proie à la sorcellerie et aux rites sataniques. Ils nous emmènent dans un monde archaïque, un monde où on sacrifie les droits individuels, où on sacrifie l’individu, au nom du bien, au nom de l’humanisme, au nom de la société, mais parallèlement pour le plus grand profit de la caste dominante.


Une caste qui recourt aux méthodes des États totalitaires pour conserver : pouvoir, violence, diabolisation, discrédit des opposants, propagande, censure, enfermement…. Le plan de totale refonte du système actuel aura des conséquences inéluctables : le chaos économique et social, diverses manipulations financières et boursières, précarité des populations. Mais le regard de l’initié, sa vision générale de la vie, se portent bien au-delà de ces désastres. L’actuelle période transitoire, troublante pour l’homme de la rue, impérative pour les Esprits Brillants, assure le relais vers une nouvelle administration des intérêts premiers de Gaïa, la Terre-Mère. Le genre humain devra se soumettre à ces intérêts, coûte que coûte.


De hauts personnages sont aux commandes des milieux clés de la société, institutions supranationales, cercles de réflexion, sociétés secrètes. Les chefs de gouvernements sont des experts dans l’art de la communication. Ils savent maîtriser leurs sentiments et leur langage, notamment lors de leurs déclarations publiques. Mais à un moment ou à un autre, ils expriment le sens de leurs intentions profondes. Leurs propos démontrent ce qui s’articule, ce qui se trame à l’arrière-plan, dans les coulisses de la scène mondiale, bien loin du regard de la majorité des gens. Ces personnages, connus ou moins connus du grand public, agissent tout en duplicité, tout en hypocrisie, tout en fourberie. Ce sont des imposteurs. Ce sont des psychopathes, dénués d’empathie et d’humanité. Ils occupent une fonction officielle dans la société, tout en ayant un rôle prépondérant à la tête de la gouvernance mondiale.


Les dirigeants mondialistes ont gagné la guerre culturelle initiée par Gramsci et par Marcuse. Ils peuvent imposer leur programme de destruction à des masses lobotomisées et manipulées. Un programme conduisant au totalitarisme. La majorité des gens ne connaissent pas et ne comprennent pas ce programme. Toute la haute bourgeoisie, tous les privilégiés se retrouvent pour museler le peuple, pour conserver leurs prérogatives, pour tenir le pouvoir, pour monopoliser la pensée. Les manifestations de rue pourraient déboucher sur la violence et le chaos, tout ce que souhaitent les prétendues élites : répondre par la force et établir légalement l’Ordre mondial. Solution : une guerre culturelle inversée qui gagne de plus en plus de Français et grossit les rangs des manifestants pacifiques.


Les Esprits supérieurs, les élites mondialistes mènent délibérément une politique de chaos, afin de terroriser les masses. Dans un climat de panique générale et de sidération, ils pourront mettre en place le gouvernement mondial salvateur qui résoudra tous les problèmes, selon leurs fallacieuses promesses. Et imposer une spiritualité cosmique.


Le monde est sous l’emprise d’un cartel qui dispose de toutes les entrées pour manipuler l’humanité, sous l’impulsion larvée de forces obscures. Cette confrérie agit inlassablement à l’arrière-plan des États et des populations, au moyen de sociétés secrètes très puissantes, très riches, organisées en réseaux, sur fond d’occultisme, de mysticisme, de symbolisme…..Les gens ne cherchent pas à savoir quelle est l’origine de cette emprise et vers quelle direction ces forces poussent, entraînent les masses humaines. Les gens suivent les événements concrets, quotidiens, contingents, lisent le compte rendu des épreuves actuelles, mais ne poursuivent pas leurs investigations, ne prospectent pas plus loin, ne se posent pas les questions élémentaires.


Pourquoi ces faits-divers, ces catastrophes se produisent-ils ? Quelles sont les causes profondes ? Quels sont les buts secrets et obscurs ? Les masses humaines subissent sans trêve les diverses tromperies de l’occultisme, de la divination, les mensonges incessants du milieu politico-médiatique qui est complice de la quadruple crise du siècle : crise du Covid, crise du Climat, crise des sanctions contre la Russie, crise des minorités ethniques et sexuelles. Les foules sont conditionnées, abêties, par la peur de l’infection du Covid, d’où le succès des campagnes vaccinales expérimentales à visée transhumaniste, par la peur du réchauffement climatique anthropique, d’où le succès des mesures très onéreuses de décarbonation, par la propagande incessante contre la Russie, d’où le choix du camp de l’Ukraine pro-américain, par la peur d’être taxées de xénophobes, d’où le silence devant les exactions des migrants, par la peur d’être taxées d’homophobes, d’où le triomphe et les avancées du lobby LGBTIQ. Tout ceci, sur fond de stratégie du choc.


Les oligarques imposent la peur pour nous accuser, pour nous contrôler, pour faire de l’argent, pour conserver le pouvoir. Afin de nous maintenir dans la peur, ils utilisent des outils, ils créent et fabriquent des crises, la « pandémie » du virus, le changement climatique, le réchauffement climatique, les pénuries alimentaires, les attentats sous faux drapeau. Les oligarques ont besoin de canards, de moutons, qui se plient et obéissent. La peur est l’instrument ultime de ce contrôle.


Au tribunal de Nuremberg, on demanda à Hermann Göring (1893-1946) : « Comment a t-il été possible de transformer un peuple de poètes, de scientifiques, et d’écrivains en monstres ? » Göring répondit : « Il n’en faut pas beaucoup, il n’y a pas de différence si c’est une société communiste ou capitaliste. La seule chose dont vous avez besoin est la peur. » La référence à Göring n’est pas fortuite.


Les oligarques imposent également une dépendance à l’égard du système, par exemple au moyen des appareils de communication conçus comme des drogues, comme un pas vers le transhumanisme. Car la finalité du transhumanisme, c’est le post-transhumanisme, une transition vers le robot. Le peuple doit dire NON. Nous devons dire NON aux oligarques, les oligarques nationaux, les oligarques des organismes internationaux. Quand ils parlent de paix, ils parlent de guerre. Ils s’intéressent à la guerre, ils provoquent des guerres parce que c’est un bon moyen de gagner de l’argent, et d’éliminer les gêneurs. Quand ils parlent de prospérité et de richesse pour tous, de liberté économique pour tous, ils parlent de pauvreté, parce que maintenir les gens dans la pauvreté leur rapporte de l’argent. Plus de 1,2 milliard de personnes vivent avec moins de 2 dollars par jour. Et tous les oligarques sont liés à la pédophilie, ou plutôt à la pédocriminalité. Plus de 8 millions d’enfants disparaissent chaque année, disparaissent sans aucune information, sans laisser de trace. La cupidité et le vice n’ont plus aucune limite. Les oligarques essaient de monopoliser les ressources naturelles accessibles à tous, comme l’air et l’eau, ils veulent faire de l’argent avec ce qui est naturel. Ces oligarques nous trompent depuis des années. Soyons nous-mêmes avant que quelqu’un d’autre nous dise qui nous sommes.

Confucius en 501 avant Jésus-Christ : « Un peuple qui n’est plus capable de se mettre en colère est un peuple mort. »


Le peuple français n’est plus capable de se mettre en colère parce qu’il ne connaît pas les responsables, les causes, et les buts du mondialisme, et parce que la moyenne bourgeoisie, la bourgeoisie diplômée, satisfaite de son sort, adhère aux thèses mondialistes.

Charles De Gaulle : « Il n’y a qu’une fatalité, celle des peuples qui n’ont plus assez de forces pour se tenir debout, et qui se couchent pour mourir. Le destin d’une nation se gagne chaque jour contre les causes internes et externes de destruction. »