Les idéologues du néomaccarthysme ont clairement perverti le langage en imposant dans le communautarisme ethnocentré, puis dans les espaces sociaux et politiques sous domination, l'équation antisionisme = antisémitisme. Qu'on se le tienne pour dit !
Ils sont responsables de cette confusion délibérée, et dans cette oblitération des repères politiques, de l'indétermination de l'antisémitisme réel.
Ce sont donc ces idéologues du néomaccarthysme, leurs commanditaires, leurs relais, et complices..., qui sont responsables, au moins en partie, de l'antisémitisme réel. Ce sont eux qui auraient dû être dénoncés par nos "élus" !
Pour éviter d'être trop facilement épinglés comme "adeptes de la théorie du complot juif" (sic), reconnaissons que l'opération contre Vigile, lamentablement bâclée, a été orchestrée par des adversaires de l'émancipation de la nation québécoise: leur opération s'avère un flop et nous saurons leur rendre coup pour coup.
Quant aux "élus" québécois, trop habitués à nous trahir et à courber l'échine, ils ne rescapent que partiellement le peu d'honneur qu'ils n'aient déjà consommé, dans des repas d'affaires incestueux, ou dans des voyages inopportuns dans la colonie sioniste.
Le 24 mars 2011 restera une journée noire pour la démocratie québécoise, mais pas pour la conscience vivante du Québec qui identifie sans peine les traitres et les oppresseurs.
Yves Claudé - sociologue et militant antiraciste - 24 mars 2011
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4 commentaires
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25 mars 2011LA Banque, les Media et la terreur du Political Correctness mise au point par les Freudo-Marxistes de Francfort.
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25 mars 2011M.Richhemont,
Comment se fait-il que M.Bergman a pu vous suspendre 5 jours suite à votre texte paru dans l'hebdo du métro ?
Légalement, avait-il le droit de procéder à cette suspension ?
Et vous, avez-vous cherché à contester au tribunal des droits de la personne ? Le droit de parole existe toujours, j'espère.
Moi, personnellement je n'aurais pas accepté sans avoir essayer des recours en justice.
Lise Pelletier
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25 mars 2011M. Bergman, toujours le doigt sur la gâchette.
L’obsession antisémite récurrente de M. Laurence Bergman. En effet pour avoir eu affaire avec M. Laurence Bergman lorsqu’il était Ministre du Revenu du Québec, j’ai gouté à son empressement à châtier tout ce qui pouvait dénoncer les politiques menées par l’Israël. Notamment la construction du mur de l’apartheid séparant les communautés. Les faits : J’étais à l’emploi du Ministère du Revenu du Québec, ainsi que président de la section locale du Syndicat de la Fonction Publique du Québec. À titre personnel, j’avais dénoncé dans une lettre parue dans le Journal Métro, le zèle du ministre à lever des fonds servants à financer la construction de ce rempart, que je qualifiai « mur de la honte». Notez que j’avais signé mon nom, sans évoquer, ni dans le contenu, ni dans la signature, ma fonction au sein du Ministère. Ceci dit M. Bergman eu vent de cette lettre, en conséquence, il n’a pas hésité à faire appel aux services d’enquête du Ministère pour retracer l’origine du texte. Les enquêteurs par recoupement, et probablement l’orthographe de mon nom sont remonté jusqu’a moi. Croyez moi, j’ai eu droit à un interrogatoire digne d’un régime totalitaire. Bizarrement les enquêteurs m’ont demandé si j’étais en accord avec le contenu éditorial du texte? Évidemment, je leur ai répondu que mes idées politiques ne regardaient que moi. Je n’ai rien concédé, ni rien avoué, seulement admis que le nom signé au bas de la lettre était en tout point semblable au miens. Eh bien Le ministre, sans plus d’information a décidé de me suspendre cinq jours sans solde. Cette conduite en dit long sur les desseins qui animent ce monsieur. En conclusion, je n’ose imaginer jusqu’ou M. Bergman en position de pouvoir serait capable d’aller? Poser la question.
Claude Richemont.
Retraité
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25 mars 2011Dans ses projets de diabolisation de l'opposition péquiste, John James Charest et ses sbires veulent encore se draper dans la chaude couverture d'être victime d'une infamie.
La célébrité immédiate a une demi-vie de 15 minutes. L'infamie dure plus longtemps. Et John James veut encore en profiter. Avec ses complices au CQI et CCI.
Comme pour l'affaire Michaud en 2000 et celle de Robin Philpot en 2007, on extrapole à la limite une interprétation dans une courte citation, on créer un reportage via un média ami afin de partir 'un spin' d'opinion, il est récupéré très rapidement par d'autres intéressés (complices?) et l'opinion devient un fait accomplie très dommageable pour la victime du 'spin'.
Pas de vérification des faits écris ou des verbatims. Pas de débats sur la véracités des déclarations. Seulement les accusations portés par l'initiateur sont devenus vrai. Pas de débats d'idées, de philosophie (prémisses ou sophismes) ou d'interprétations juridiques. Premier 'spin' arrivé, premier servi!
Mr Yves Claudé décrit très bien le contexte du débat: les sbires qui se drapent dans la notion de la responsabilité du débat civilisé ont réussi a faire une jonction indifférenciée entre antisionisme et antisémite. Cette définition de l'antisémitisme a le dos très large par le temps qui cour!
Quand on sait qu'une récente enquête révèle qu'aux USA la plus grande donation en temps électorales des groupes de pressions et de lobbyisme non corporatifs aux DEMS et GOP est de loin l'AIPAC, on peut se douter de la proximité d'influence des groupes CCI et CQI pour la caisse électorale du PLQ et des types de positions prises par le gouvernement Charest.
Ce n'est pas l'automne dernier que John James Charest a déclaré devant l'assemblé nationale de façon frondeur et hautaine comme il sait bien faire; L'ASSEMBLÉ NATIONALE N'EST PAS UN TRIBUNAL POPULAIRE!
Maintenant il veut faire le coup de la motion de censure pour saborder définitivement la côte morale du PQ et de ses sympathisants satellites. Vas-y mon John James! Être victime d'une infamie et gouverner par la tyrannie de la vertu est payant pour un être politique comme toi! Mais ma mémoire a une durée de demi-vie plus longue que tes effarouchements d'infamies!