Abordons autrement pour une fois le conflit du Proche-Orient en nous souciant réellement du sort des petits humains gazaouis, des enfants qui pourraient être vos enfants et vos petits-enfants.
Ces enfants rappellent ceux massacrés par le roi Hérode lors de la naissance de Jésus : Quand Hérode se vit joué par les mages, il entra en fureur et envoya massacrer tous les enfants de Bethléem et de tout son territoire, jusqu’à l’âge de deux ans…», Mathieu 2 : 13-18. L’évangéliste Mathieu a-t-il erré ?
Souvenez-vous que la vie des enfants est sacrée aux yeux du Seigneur : On lui amenait des petits enfants pour qu’il les touchât. Mais les disciples réprimandaient ceux qui les présentaient. Jésus le vit et tout indigné, leur dit : « laissez les petits enfants venir à moi, ne les empêchez pas ; c’est à leur pareil qu’appartient le royaume de Dieu (…) ». Puis il les embrassa et les bénit en leur imposant les mains, Marc 10 : 13-16.
Si vous avez encore un cœur, un cœur de chrétien, vous devriez comprendre ce que vous lisez. Si vous comprenez ce que vous lisez, vous devriez agir en conséquence. Agir en conséquence signifie réclamer la cessation immédiate de la tuerie en cours au Proche-Orient pour laisser place à toute l’aide humanitaire nécessaire et prendre d’un même élan les dispositions nécessaires pour une solution définitivement pérenne à ce conflit éternel.
Car, voyez-vous une quelconque équité ou grandeur, un quelconque honneur ou fait d’armes remarquable à être témoin passif et complice d’une armée qui tire à boulets rouges sur une population civile désarmée ? Les voyez-vous cette grandeur et ces hauts faits d’armes?
Yvonnick Roy
Québec
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1 commentaire
François Champoux Répondre
13 novembre 2023Bonjour Yvonnick Roy,
Bel effort de sensibilisation à l'horreur de violence des humains.
Je partage votre essai.
C'est pour cela que j'ai réclamé un arrêt dans mon texte "Le réchauffement meurtrier" que vous pourrez lire sur Vigile Québec et sur mon blogue personnel.
Je pense sincèrement que personne ne pourra sauver le monde; le monde ne peut se sauver que par lui-même. C'est pour cela que je pense que nous devons sauver notre monde et non pas tenter de sauver le monde. La nuance est simple et si chacun se met au travail, il y a quelques chances que la paix soit avec nous, et avec eux...
François Champoux, Trois-Rivières