Une pseudo-sociologue (chez IRIS)

Pour qui roule Julia Posca ?

L'idéologie ethnomasochiste financée par nos impôts

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Tribune libre


Lettre ouverte au Devoir 

(version enrichie de celle - en vain, comme toujours - acheminée précédemment à ce quotidien naguère de solide réputation) 

Vous avez souvent tendance, au Devoir, à faire aisément dans l’enflure verbale quant à l’identité et la compétence des auteurs de textes en section « courrier des lecteurs » ou en page « Idées ». 

Encore ce matin du 12 avril 2021, par exemple (dans un papier qui au surplus - ah là là ! - ressasse les lieux communs habituels sur le sujet en délibéré. J’imagine que messieurs Sansfaçon, Bérubé, Dutrisac et Desrosiers - oublions pour le coup le directeur Brian Myles, chez qui je ne parviens toujours pas à identifier quelque domaine de compétence que ce soit - pourraient tout uniment le corroborer), nous lisons ce qui suit : 

Julia PoscaSociologue et chercheuse à l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS)

Or présenter l’auteure (et non pas ce ridicule autrice, svp, qui fait atrocement ‘ journal étudiant ' en avalisant jusqu’en fond de gorge toute la rectitude politique de notre temps) comme « sociologue » - alors que sa « compétence » intellectuelle s’arrête à la rédaction d’un mémoire de maîtrise à l’UQÀM - tient franchement de l’usurpation. Sinon de la fraude intellectuelle.

Ce manque de rigueur de plus en plus manifeste au sein du Devoir, depuis quelques années, et ce parmi tant d’autres raisons, hélas, m’éloigne - extraordinairement (je me répète. Pardon…) - de ce quotidien autrefois de haute stature. 

Dommage que même Québecor (au moins jusqu’en 2019) et La Presse, ainsi que l’éditeur LUX, ne se souciassent guère de ces « petits détails » qui, il faut bien l’admettre, en disent long sur leur laxisme en ce qui regarde l’idée d’honnêteté (ne serait-ce que par paresse intellectuelle, en s'abstenant de s'enquérir sérieusement des prétentions académiques de leurs auteur/es). 

Honnêteté et transparence restent pourtant, ce me semble, les piliers d’une véritable crédibilité. Notamment au plan intellectuel. 

Bonne chance tout de même à mademoiselle Posca, collègue de mademoiselle Aurélie Lanctôt au sein de la revue Liberté. Qui, elle non plus, comme média, n’a plus rien à voir avec la qualité insufflée par ses fondateurs. En 1959… Mais peu importe : Le Devoir s'est tout de même fait un devoir de s'en faire une chroniqueuse hebdomadaire attitrée... 

La médiocrité, comment en douter (même si parfois de bonne foi, ce qui - désolée - n’excuse rigoureusement rien), vit décidément une époque glorieuse. 

MLM femme de gauche, mais avec rigueur de préférence (rien à voir, donc, avec les adolescenteries de Québec solidaire et de son... politburo) / 12-IV-2021 

Bien que Mlle Posca ait amorcé des études doctorales il y a près de dix ans !! (toujours à l’UQÀM : elle a l'ambition, mademoiselle, de fréquenter les meilleures universités...), mais qui ne se virent jamais sanctionnées par quelque diplôme que ce soit. Encore - du BS sous bonne conscience - une Bourse Vanier  jetée dans le fleuve ! Bof. Il s’agit juste de 150,000.00 $ Pas de quoi fouetter un chat pour une citoyenne hautement préoccupée, n’est-ce pas, tout ensemble, par la saine gestion des deniers publics, un Trésor d'État rigoureusement équilibré et, plus encore, par une redistribution nettement plus égalitaire (prière de de pas rire en présence de Julia, avec ses 15% d'un million de dollars tout rond - non imposables comme de bien entendu - juste pour ses beaux yeux...) de la richesse collective ! Kad Merad parlerait ici, sans aucun doute, d'une socialiste non pratiquante. 

Ne pas rire, en effet. Car pendant toutes ces années où les jeunes hommes et les femmes comme celle-ci vivent aux dépens de la société sans jamais, au final, « livrer la marchandise » (à savoir : une diplomation en bonne et due forme attestant de la pertinence éclairée de ces aides financières), c’est la galère et les petits boulots pour des étudiants et des étudiantes vraiment sérieux/ses et discipliné(e)s. Bref. À bas les riches ! ainsi que nous le répète depuis des années, sur toutes les tribunes possibles, la jeune uqamiste qui se targue, qui plus est, d'une solide compétence d'économiste. À bas les riches ! Hormis moi-même... of course

À la décharge de mademoiselle Posca, il faudra préciser qu'au sein de l'administration de cette Bourse Vanier, c'est de notoriété publique, les qualités intellectuelles et l'excellence académique constituent, chez les candidat/es retenu/es, des critères tout à fait secondaires (bien qu'il faille, bien sûr, sauver quelque peu les apparences) au regard d'un « curriculum social » ayant révélé un sens élevé du Canadian Citizen-type aux yeux de la Maison millionnaire. 

Il en fut de même, par exemple, pour mademoiselle Émilie Nicolas. Qui se sera accordée, n'est-ce pas, de belles et longues vacances aux frais des contribuables en s'inscrivant au programme de doctorat en Anthropologie de l'Université de Toronto (in english please, ça c'est du sérieux madame !) sans jamais, non plus, être en mesure de compléter les exigences de sa formation. Ce qui bien sûr, comme Mlle Posca sociologue-économiste, ne l'empêche nullement de se présenter comme anthropologue. Comme quoi, chez cette personne de grande vertu, La honte n'existe que chez les autres. Tout spécialement s'ils sont à la fois Blancs, Mâles, Français et QuébécoisA fortiori si en outre ils appellent de leurs voeux le Pays des Pierre Bourgault et des René Lévesque... 




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4 commentaires

  • Louis Répondre

    23 avril 2021

    Encore Euh...milie Nicolas !


    Eh bien oui ! Elle aussi a eu « droit » à son 150,000 dollars de fonds publics  tirés des goussets des contribuables. Et ce, via la même Bourse Vanier


    Pour des études de doctorat qu'elle n'aura jamais - jamais - complétées. 


    «E»milie Nicolas. Ou le parasitisme à son sommet.


    Jusqu'à l'obscénité même. 


    Ce qui, pour sûr, ne l'empêche nullement de faire la leçon à tout un chacun. Depuis des années. Et de voir du racisme absolument partout. Sous son lit et dans ses tiroirs de commode compris. 


    Partout elle le voit. Ce racisme. 


    Sauf dans sa propre bouche. À chaque fois qu'elle ouvre les lèvres. 


    Et Amnistie internationale, volet Québec - sous la direction d'une parfaite siamoise idéologique (j'ai nommé France-Isabelle Langlois) - qui détourne totalement son mandat en stigmatisant, et rien moins, « Le racisme systémique dans les médias » du Québec ! 


    Les damnés de la terre peuvent mourir en paix : Amnistie internationale s'occupe des vrais problèmes de la torture, des emprisonnements politiques, du mépris « lapidaire » des femmes, ainsi que des droits humains de manière générale. Bafoués partout sur la planète. 


    Eh oui.


    À Amnistie internationale, France-Isabelle Langlois en tête, on s'occupe des plus criants, des plus terrifiants problèmes : avec les très crédibles «E»milie Nicolas  de ce monde, on s'attaque en effet, tenez bien vos tuques, au « Racisme systémique dans les médias » du Québec. 


    HAL-LU-CI-NANT 


    Pareille atmosphère de bêtise... systémique est à crier. 


    Et Le Devoir  manière Brian Myles qui lui déroule le tapis rouge chaque semaine depuis deux ans...


    À CRIER, vous dis-je... 



  • Hélène Répondre

    19 avril 2021



    Julia Posca, Euh!-milie Nicolas et autres Camille Robert… 


    Arriviste, suffisante, américano-canadianisée, souvent obtuse jusqu’au dogmatisme même, formatée de l'esprit, sinon carrément endoctrinée « heureuse » par les idéologies à la mode et, enfin, comme on le constate ici, rien moins que parasite... 


    Elle est vraiment formidable notre belle jeunesse québécoise fréquentant les « sciences molles » - ô combien molles - de nos universités. 


    J’ai honte de ce que nous devenons. 


    Et tout laisse entendre que le professeur Guy Rocher, sociologue émérite qui aura 97 ans ce 20 avril, éprouve des sentiments analogues face à cet extraordinaire n’importe quoi si peu réfléchi bien que hautement satisfait de lui-même. 


    Honte. Et, pis encore, honte de ce que nous deviendrons, comme société, avec un « avenir » fondé sur pareil modèle d’aveuglement volontaire sur fond de complaisance intellectuelle. 


    Et moi qui ai toujours voulu croire, avec Louis Aragon et Jean Ferrat, que la femme était l’avenir de l’homme... 


    J’en souffre jusque dans mes ovaires. 


  • Marianne Chenonceau Répondre

    17 avril 2021

    L’UQÀM : Instrument tout à la fois du Canada et des idéologues du jour...?


    Bonjour, 


    Référence : UQÀM (à titre d’illustration - quoique singulièrement édifiante - 



    Madame Danielle McCann, ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, et madame la rectrice de lUniversité du Québec à Montréal (UQÀM) Magda Fusaro, LUQÀM serait-elle effectivement devenue tout à la fois le repaire de petit(e)s idéologues à la mode du jour, moins interpellés par le savoir et la science que par lorientation de lopinion sociale et politique de leurs étudiants, avec, en prime, un préjugé hautement défavorable à légard de lÉtat du Québec au regard de celui du Canada ? 

    Mesdames McCann et Fusaro, votre incurie en pareil dossier - sinon votre accord tacite (voire, explicite) - confine au scandale national. 

    Et ne nous y trompons pas : c’est l’armature générale du système universitaire, en dernière analyse, et en son fondement, qui est ici en jeu. 

    MC 

  • Louis Répondre

    16 avril 2021


    Le cas Camille Robert   


    Hélas, Julia Posca  n'est pas la seule à se voir offrir 150,000.00$ dollars de fonds publics, sur trois ans, pour abandonner en chemin son cursus académique. Mais tout en conservant en poche la très rondelette somme octroyée par la Bourses d'études supérieures du Canada Vanier.


    Je pense notamment à Camille Robert, qui semble plus empressée à faire de la figuration médiatique, ici et là, plutôt que de produire son doctorat (Bourse Vanier 2017-2020). Dont l'objet ne réclame pourtant ni un temps fou de recherche, ni une acuité intellectuelle particulière (Femmes en grève : tournant néolibéral et travail de reproduction sociale dans le secteur public québécois - 1980-1990 ). Toujours à... l'UQÀM comme par hasard (milieu sérieux, discipliné et studieux entre tous, comme chacun sait), sous la direction de Martin Petitclerc  et Magda Fahrni - cette soi-disante spécialiste de l'« Histoire du Québec » via une formation par Toronto, McGill et Kingston Universities ! Et qui au surplus publie in english only... Denis Vaugeois, Marcel Trudel et autres Jean Provencher pourront aller se rhabiller, n'est-ce pas, devant une maître de « notre » Histoire de cette puissance...  


    Mais il est vrai, on l'a déjà dit, mais rappelons-le pour mémoire, qu'à une Québécoise qui montre patte blanche dans son identité canadienne, chez Canada-Vanier, on est prêt à tout pardonner. Même l'indigence. Même le farniente aux frais du peuple laborieux assumant ses impôts rubis sur ongle.


    Bref. Des gens d'honneur et de haute moralité, devrons-nous en conclure, à la lumière des Posca et des Robert  de ce petit monde déjà embourgeoisé à l'os à 25 ans. 


    Cela dit, il faut également savoir que cet organisme, qui tient son budget des taxes et impôts des citoyens-contribuables, distribue ces sommes colossales essentiellement aux étudiants des universités anglophones. Au total des nombreuses bourses distribuées, année après année, la gent québécoise, en effet, fait figure d'enfant (extrêmement) pauvre au sein du palmarès. 


    De fait, pour une population qui représente environ 25% de la communauté universitaire du Canada, les étudiantes et étudiants québécois d'expression française s'accaparent, bon an, mal an, moins de 9% desdites bourses. 


    Et - faut-il vraiment le répéter derechef ? - si et seulement s'ils se sont jusque-là montrés, lesdits étudiants, pour dire comme madame Morgane, de so good canadian-citizens... 


    J'inclinerais à penser que le professeur Yves Gingras, hautement respectable à mes yeux, et perdu en ces lieux, n'est pas le plus heureux des hommes devant des chiffres semblables. L'ex-recteur Claude Corbo  non plus, d'ailleurs. Quant à l'actuelle rectrice Magda Fusaro, ou elle s'en fiche totalement, selon toute vraisemblance, ou elle est complètement dépassée par ses responsabilités.


    Tout un exploit, tout de même : le Canada sera parvenu jusqu'à noyauter l'UQÀM elle-même...! So, absolument formidable ce Wonderful Canada. N'est-il pas, chères concitoyen(ne)s...??? 


    Hyperliens également pertinents : Département d’Histoire / UQÀMLyse Roy, directrice du départementbeaulieu.alain@uqam.ca, corps enseignant des lieuxJosée S. Lafond, doyenne  de la Faculté des sciences humaines, et enfin la rectrice Magda Fusaro