Si j'étais étudiant, je ferais comme M. Charest

Tribune libre

Si j’étais étudiant, je ferais comme M. Charest. En tant que Premier ministre, M. Charest refuse de commenter l’arrestation d'un ''militant exemplaire'' et de condamner cet ancien candidat libéral Louis-Georges Boudreault, qui a reçu deux constats d’infraction du Directeur général du Québec en 2011, pour du financement illégal au PLQ, afin de ne pas risquer de faire échouer tout le procès.
Les leaders étudiants font de même, en ne condamnant pas ouvertement les actes de violence et de saccage, pour ne pas risquer de faire déraper les négociations avec le Gouvernement.
Pourquoi y aurait-il deux façons différentes d’agir politiquement parlant?
Marius MORIN

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Citoyen du Québec, Laval, Formation universitaire, Retraité toujours
interpellé par l'actualité socio-politique

Laval





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    19 avril 2012

    Et les violences policières ont-elles été condamnés par le gouvernement? deux poids deux mesures
    Faites ce que je dis mais pas ce que je fais.
    Cette histoire de condamnation de la violence c'est juste pour détourner l'attention, on l'entend venir le gros frissé avec ses gros sabots.
    Le problème c'est que le gouvernement à pris une décision sans consulter personne, maintenant il essait de nous faire avaler le morceau de force, et ça ne passera pas.