Le gouvernement du Québec vient de proposer au gouvernement canadien une modification au code criminel qui criminaliserait les tentatives de contrôle coercitif d'un conjoint sur sa femme dans un but de domination. Ce changement à la loi s'appliquerait autant dans les cas de violence conjugale psychologique que physique.

Une telle loi est déjà en application en Angleterre, au Pays de Galles, en Écosse, en Irlande, aux Pays-Bas, en Australie, et ailleurs.

Le « contrôle coercitif » désigne ainsi tout ce qui est utilisé pour violenter, humilier et manipuler une personne. C’est une prise de contrôle insidieuse et progressive qui n’a pas nécessairement besoin de violence physique pour s’exercer et qui a pour but de maintenir une domination sur la victime. Parfois, l’auteur de cette forme de « terrorisme intime » l’exerce en contrôlant les finances, en menaçant la victime de lui enlever les enfants, en surveillant ses allées et venues, ou encore en exigeant qu’elle signale où elle se trouve à heures fixes en envoyant des textos et parfois même des photos pour le prouver.

Source: Québec presse Ottawa de criminaliser le contrôle coercitif pour protéger les femmes

Ci-dessus: la violence conjugale effrénée chez les autochtones

Les mauvais traitements conjugaux et familiaux se retrouvent malheureusement dans toutes les strates de la société, mais dans une plus forte proportion chez les Noirs, les autochtones, les immigrés tiersmondistes issus de pays violents, et comme chacun sait, dans la culture musulmane islamique où ces mauvais traitements sont omniprésents mais bien cachés, ce qui fait que la femme musulmane se voit asservie, humiliée, battue à répétition par un mâle dominant, brutal et possessif qui considère ce comportement comme un juste châtiment qu'il est maître d'infliger à sa guise.

Ci-dessus: la violence conjugale contre les femmes noires et commise par les conjoints Noirs

Cela fait que cette loi sera d'une grande utilité spécifiquement dans la culture musulmane où de telles pratiques sont si répandues, un milieu où très peu de femmes n'ont pas été dénigrées ou battues sur une base régulière, sans parler des enfants et des jeunes filles adolescentes très surveillées. C'est dans la culture pour ces femmes bourassées de se soumettre et de ne pas oser porter plainte, en conséquence des menaces non voilées, alors qu'elles le sont.

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Ci-dessus: la violence conjugale atteint un degré extrême chez les musulmans en raison des mâles dominateurs maladivement possessifs et impulsifs

Est-il nécessaire de rappeler que la grande majorité des féminicides commis au Québec le sont par des maris musulmans dominateurs qui donnent libre cours à leurs pulsions agressives primaires, le tout amplifié par le fait que la moindre étincelle suffit à déclencher une réaction de rage incontrôlable devenant parfois homicidaire.

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Ce sont ces mêmes musulmans qui se justifient en alléguant que le coran cautionne leur geste et qu'on n'a de ce fait pas le droit de leur reprocher de pratiquer leur religion comme bon leur semble, revendiquant la protection que nos chartes leur accordent.

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Il est à espérer que les dispositions de la loi inclueront l'expulsion immédiate après le verdict une fois la peine encourue expiée.

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On pourrait ajouter à la loi l'obligation citoyenne de dénoncer tout cas de violence conjugale dont sont témoins la famille, les proches et les voisins. Comme on l'a dit, les femmes musulmanes vivent sous la menace constante de châtiment corporel extrême pour les dissuader de porter plainte.

La Charte québécoise des valeurs oblige déjà tout citoyen à porter aide à un autre en péril. Cette obligation de dénonciation n'en serait que le prolongement logique.

À supposer que le gouvernement fédéral refuse d'entériner ce changement au code criminel, le Québec n'aurait qu'à le faire appliquer ici en évoquant la clause dérogatoire. Cette stratégie vient de réussir avec grand succès dans la défense devant la Cour de la loi 21 portant sur la laicité.

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Ci-dessus: la violence faite aux femmes est décuplée dans le tiers-monde, et par extension, chez les immigrés issus de ces régions où c'est la norme

Et comme on l'a vu ici, plus le Québec se dotera de lois différentes qui nous éloignent du reste du Canada, plus les Québécois comprendront que nous sommes 2 nations aux différences irréconciables que seul un divorce, une séparation peuvent solutionner, pour rester dans le vocabulaire conjugal de cet article.

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Et cette distanciation bénéfique d'avec le reste du Canada nous rapprochera encore un peu plus de l'objectif collectif qu'est l'indépendance tant attendue.

Coupons un à un tous les liens qui nous relient au Canada pour voler de nos propres ailes, dans un grand élan libérateur que rien ne pourra plus jamais arrêter.

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