La rengaine de l’économie pour cacher la pleutrerie ?
François Legault veut-il vraiment sauver le français ?
François Legault est clair : il ne veut pas être le premier ministre qui aura assisté sans rien faire à la régression du français au Québec. Il sait que la situation est dramatique, il voit notre langue régresser à grande vitesse à Montréal. Il voit fondre le poids de la majorité historique francophone. Il sait que, bientôt, il sera trop tard, et que s’il ne fait rien, il n’aura finalement été que l’embaumeur du Québec, pire, son fossoyeur, lui qui voulait être considéré comme son défenseur.