Tribune libre
Les candidats ne se bousculent pas au portillon
Frilosité eu égard à la chefferie du PQ
Dans tout ce brassage d’idées, je suis d’avis que le retour à sa base ne peut que redonner le souffle nécessaire à réanimer un PQ « agonisant », assommé par sa dernière dégelée du scrutin d’octobre 2018. Il lui reste trois ans pour se sortir de cette léthargie chronique, à défaut de quoi il risque de disparaître du feuilleton politique du Québec!