Lettre d'appui à l'équipe de Pauline Marois
En marge du XVIe congrès national du Parti québécois, nous voulons vous dire que nous sommes fiers du travail accompli jusqu'à maintenant. Ce travail, il s'est effectué sous la direction de Pauline Marois. Jadis notre collègue, nous l'avons vue exceller et surprendre dans les fonctions qu'elle a occupées. Nous sommes des milliers de femmes et d'hommes, anciens ministres, députés, militants et sympathisants du ...
Droits de scolarité
Depuis de nombreuses années, la FEUQ et la FECQ défendent le gel des droits de scolarité. Mais les étudiants ...
Quand entre autres on lit que le vote sur la loi 101 au collégial a contribué au renversement de Bernard Landry, c’est n’importe quoi ! Du journalisme médiocre et bâclé ayant pour seul but de discréditer des militants souverainistes.
Il est sans doute difficile pour le ministre des Affaires intergouvernementales, Pierre Moreau, d'imaginer la vie dans un parti politique dont les congrès sont l'occasion de véritables débats. Malgré sa discipline légendaire, il fut un temps où le Parti libéral du Québec ne craignait pas les remises en question, mais l'époque du rapport Allaire est révolue depuis longtemps. Depuis que M. Moreau est entré en pol...
Le débat sur l'imposition de la loi 101 au collégial est aussi venu «polluer» le vote de confiance, analyse un apparatchik.
Congrès du Parti québécois
L’étudiant moyen travaille et s’endette de plus en plus. Au surplus, ce fléau du surendettem...
XVIe congrès
La CAQ de François Legault prendra position en début de semaine
Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Québec — La hausse et l'indexation de...
Jean-Marc Salvet Le Soleil (Québec) La direction du PQ demandera à ses 1700 délégués, réunis de vendredi à dimanche à Montréal, d'entériner officiellement la stratégie de «gouvernance souverainiste» de Pauline Marois. Avec cette stratégie, le Parti québécois, s'il est élu, jure de grignoter un par un les pouvoirs du fédéral. Il se réservera le droit de déclencher un référendum sur la souveraineté...
Reprise
Je suis fatigué de dire les mêmes choses urbi et orbi depuis plus de quarante ans et j'espère que je n'assisterai pas durant les jours qui me restent à vivre à un «Munich linguistique», à des coupables apaisements, à des suites de compromis et de compromissions devant le danger d'érosion de notre langue
La Blondasse de GESCA plus indépendantiste que la cheuffe?
Le PQ, une fois au pouvoir, devrait-il utiliser les fonds publics pour promouvoir la souveraineté? Oui, s'il place la souveraineté au centre de sa campagne électorale. Non, s'il se contente, comme il l'a fait pour chaque élection (sauf en 1994 avec Jacques Parizeau), d'insister sur des thèmes de bonne gouvernance
Si le PQ était un tant soit peu nationaliste il agirait différemment, le sens de ses positions serait clair et il recueillerait une forte majorité aux prochaines élections.
Ce que Jacques Parizeau appelle le «flou artistique» de la démarche péquiste peut être vu comme une forme d'acquiescement à l'analyse du porte-parole principal de la Coalition pour l'avenir du Québec. En ce sens, la réflexion de l'ancien premier ministre est tout à fait opportune.
Elle a répété qu'elle entendait diriger un gouvernement qui se comporterait en gouvernement «décidé à faire la souveraineté».
À deux semaines du congrès, cette proposition constitue en soi un vote de défiance
Personne au PQ ne souhaite que le congrès débouche sur un autre psychodrame, mais le risque de provoquer une démobilisation en reportant l'objectif toujours plus loin est tout aussi réel. La lettre de M. Parizeau traduit parfaitement ce que plusieurs pensent sans oser le dire.
Réflexions sur le congrès du Parti québécois - 15, 16 et 17 avril
Jacques Parizeau: «On doit transformer le rêve en projet, puis le projet en chantier.»
Le prochain congrès du Parti québécois aura lieu les 15, 16 et 17 avril. Ce sera le premier depuis six ans. Comme ...
Réplique aux propos de Jacques Parizeau dans Le Devoir du 28 mars 2011
Les vraies instances décisionnelles ne sont pas au PQ, elles sont où vous voudrez bien qu’elles soient. Le PQ conserve son utilité dans la mesure où il est au pouvoir le moment venu et qu’il est prêt à donner suite à la volonté de la population. Pour le reste, c’est sur nous-mêmes qu’il faut compter. À nous de nous organiser et d’agir en conséquence.
Le parti doit passer du rêve au projet souverainiste, dit l'ancien premier ministre
La «proposition Crémazie», du nom de la circonscription de Mme Lapointe, affirmait d'abord qu'une fois arrivé au pouvoir, le PQ créerait «une Commission de préparation à la réalisation de la souveraineté». Celle-ci ferait «périodiquement rapport de ses travaux aux instances du parti». De plus, elle indiquait qu'en arrivant au pouvoir, le PQ prendrait «les moyens techniques et juridiques nécessaires pour parachever les études, préciser les projets et en assurer la diffusion dans le public».
L'ex-premier ministre Jacques Parizeau soutient que la direction du Parti québécois fait preuve d'un « zèle intempestif » pour empêcher tout débat sur les...
Propositions de l'organisation du Québécois en prévision du prochain Congrès national du Parti Québécios
À notre point de vue, un gouvernement indépendantiste doit s’investir énergiquement et résolument dans la lutte de libération du Québec. Depuis les 10 dernières années, force nous est d’admettre que ni le PQ, ni le BQ n’ont agi en ce sens. Le règne de Pauline Marois, à ce chapitre, est une réelle déception. Mais il est encore temps de donner un coup de barre et de corriger le tir.
Délires électoralistes et bonbons à saveur de constitution Après les échecs de Meech et Charlottetown, un bouillonnement indépendantiste sans précédent caractérisait la société québécoise. Certains rêvaient même que le premier ministre libéral d’alors, Robert Bourassa, déclenche lui-même un référendum sur la souveraineté du Québec. Il ne l’a pas fait. Mais, une chose certaine, il a compris l’ampleur...
Ce n'est pas parce qu'on est dans l'opposition qu'on a le droit de dire n'importe quoi.
Le gouvernement Charest bat des records d'impopularité. Il est loin d'être évident qu'il puisse se remettre sur les rails d'ici la fin de son mandat. Sa meilleure chance, c'est que l'opposition péquiste continue à se comporter comme elle le fait depuis quelques mois. Même s'il est en tête, le PQ ne décolle pas vraiment. Malgré le taux d'insatisfaction record à l'égard du gouvernement libéral, 78%, les péquistes n...
La Proposition principale du Parti québécois laisse tomber ce qui constitue, depuis trente ans, l’élément central de notre politique linguistique. Rien sur le français en tant que langue commune. Il n’y est question que de sa primauté et de sa prédominance.
Comme "commérage" ou comme "dégage"...
Provoquer des conflits et marquer des points avec des querelles, voilà un programme de gouvernement constructif et enthousiasmant, vous ne trouvez pas?
L'argent et des votes ethniques...
Elle a également reconnu qu'il était «difficile» d'obtenir l'appui de la population dans la région montréalaise notamment en raison de la présence massive de nouveaux arrivants.