Au diable les belles-mères
Ne pas craindre de perdre et gagner
Le gouvernement Marois doit « y aller ». Maintenant. Quand bien même les trois belles-mères poseraient ensemble un genou par terre, quand bien même René Lévesque lui-même reviendrait pour poser lui aussi un genou par terre avec ses successeurs, ce dont je serais bien surpris, lui qui ne tremblait pas devant le West Island, Pauline Marois n’est pas tenue de les imiter. Si elle peut y aller, elle doit y aller…et que tout...