Falardeau avait tout vu venir. Son personnage d'Elvis Gratton en est la meilleure preuve. Pour tourner ainsi en ridicule l'attachement puéril d'autant de Québécois à l'incarnation du grand rêve américain, il fallait qu'il sache que ce rêve était condamné.
Hommage à Pierre Falardeau
La chute brutale de l’empire américain : les chiffres
Le Québec ne peut compter que sur lui-même