Par la Démocratie directe l’on pourra éviter de faire partie de la folle course guerrière des politiciens égarés* et corrompus au Canada-Québec lors d’une l’élection-référendaire en 2026

Pourquoi le Québec doit s’affirmer comme un État de neutralité perpétuelle aux Amériques Nord-Sud comme la Suisse en Europe**

L’expansionnisme du secteur militaro-industriel en Europe-Canada-Québec, la nouvelle mission des spoliateurs de fonds publics et privés par la néo-aristocratie gouvernante va-t-en-guerre au diktat des cabinets-conseils***

Tribune libre

<< La Suisse n’est pas neutre pour elle-même, la Suisse est neutre pour les autres, puisque la présence d’un État neutre au cœur de l’Europe répond à l’intérêt particulier de chacun des États du continent européen. >> Pictet-de-Rochemont (diplomate suisse, 1815)


Fidèle à la nation, non à un régime politique. (La raison d’être du Patriote)


Le nouveau paradigme d’un Québec s’affirmant comme un État de neutralité perpétuelle aux Amériques nord-sud aurait des multiples avantages socioéconomiques, politiques, financières, géostratégiques, diplomatiques, monétaires… Dans le document exposé au lien suivant l’on peut apprécier quelques avantages traitant les raisons de ce statut étatique de neutralité permanente. Il ne s’agit pas seulement d’une condition de pacifisme, sinon d’un critère de pragmatisme dans ce monde des dualismes exacerbés :  


https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/politique-exterieure/droit-international-public/neutralite.html


Face à l’actuel contexte d’investissements de milliers de milliards de dollars pour la folle course aux armements conventionnels mettant le bienêtre de la population mondiale dans une situation de paupérisation assidue par l’effet pernicieux de l’endettement public abyssal au bénéfice exclusif de la néo-aristocratie mondialiste gouvernante et ses complices, une réalité se révèle : à quoi serviront tant de milliers de milliards de dollars provenant surtout des fonds publics dépensés dans cette course folle pour la fabrication d’armement conventionnel sachant qu’avec les arsenaux nucléaires des pays les possédant situés dans tous les continents comme indiqué ici-bas, ces armes conventionnelles seront presque inutilisées dans un conflit mondial :


Les pays reconnus comme puissances nucléaires sont les États-Unis, la Russie, le Royaume-Uni, la France et la Chine. D'autres pays possèdent également des armes nucléaires, même s'ils ne le reconnaissent pas officiellement pour Israël, ou n'ont pas signé le Traité sur la non-prolifération nucléaire (TNP), comme l'Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.


Cette brève information fournie par l’IA et par celle exhaustive de Wikipédia (1) font ressortir par leur appréciation respective que la dissuasion par la menace nucléaire de ces pays suffit pour déterminer de manière inéquivoque que la prolifération des armes, armées conventionnelles, systèmes opérationnels multi-offensifs… dans un contexte de conflit de guerre mondiale seront voués à l’inutilité. Alors quel est le sens de la course effrénée pour relancer le secteur militaro-industriel en Occident ? La réponse à cette question est que le << canular >> du réchauffement climatique, avec ses retombés économico-financiers de milliards de dollars par année aux bénéfices exclusifs de la néo-aristocratie et ses complices vassaux woke-écolo-bureaucrates mondialistes(2), allait être le nouveau moyen de leur enrichissement au dépend des contraintes sociales, économiques et financières imposées à la classe moyenne. C’est-à-dire, la taxe carbone, la restriction de voitures à essence en 2040, la limitation de l’espace urbain à la circulation automobile, le financement public destiné au maintien de la supercherie climatique, la restriction des hydrocarbures, l’interdiction de nouveaux oléoducs…, se sont avérés un échec total en raison du retrait des États-Unis de la COP-26 et COP-30 par les décrets du 45-47ème Président américain.


Cette nouvelle réalité confirmée par la rupture des accords entre pays producteurs d’hydrocarbures, charbon, importateurs, pays avec d’oléoducs ou à construire dans leur territoire ayant assisté à la COP30 au Brésil ainsi que les bureaucrates-voyageurs au nombre de 40 000 des 200 pays participants(3) est le résultat du changement radical de l’<< arnaque >> du réchauffement climatique(4).


À cet effet de débâcle mondialiste concernant l’imposture du réchauffement climatique, une nouvelle << arnaque >> a pris le dessous, celle de l’expansionnisme du secteur militaro-industriel comme si c’était le << nouvel eldorado >> pour la néo-aristocratie gouvernante va-t-en-guerre, ses complices vassaux woke-écolo-bureaucrates et ceux de la consultocratie qui se recycleront avec leur cynisme habituel dans la  nouvelle donne contre la prolifération des armements (une fois que des milliers de milliards de dollars ont été dépensés) et contre le processus de la << Paix par la force >> du Président Trump avec son Nouvel Ordre Mondial.


Cet extrait sur l’expansionnisme du secteur militaro-industriel au Canada-Québec est exemple de ce changement évoqué précédemment au sujet de l’imposture du réchauffement climatique :


Après les milliards de dollars pour la filière batterie, les Québécois doivent s'attendre à une série d'annonces de subventions pour l'industrie de la défense et de la sécurité, notamment pour la production d'armes. Les entreprises intéressées ne s'en cachent plus.


En entrevue avec Radio-Canada, la ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Christine Fréchette, décrit l'effervescence qui agite de nombreuses entreprises québécoises actuellement. De grandes compagnies, mais aussi beaucoup de PME, sont attirées par les centaines de milliards de dollars supplémentaires que le Canada et ses alliés ont promis d'ajouter dans leurs dépenses militaires, pour satisfaire Donald Trump.


Il y a environ un an, Investissement Québec avait sondé les entreprises à savoir lesquelles étaient actives dans le domaine de la défense et il y en avait à peu près 470 qui avaient levé la main, raconte la ministre. Ils ont refait le même exercice, cette année, et là ils ont eu 1200 entreprises qui sont actives ou souhaitent le devenir.


Le gouvernement Legault compte soutenir ces entreprises dans leur transition vers ce nouvel eldorado où les contrats vont pleuvoir.


D'ici avril 2026le Canada prévoit d'ajouter 9 milliards de dollars à ses dépenses militaires et, dans les années suivantes, le budget sera multiplié par trois pour atteindre plus de 100 milliardsL'Union européenne a l'intention d'investir 1250 milliards pour renforcer la défense de ses pays membres.


<< Puisque ces fonds considérables vont être dépensés, aussi bien que ça vienne au Québec. [...] On a déjà toute l’expertise requise. >> -- Christine Fréchette, ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie


(…).


Québec « lève le tabou » de l’argent public pour l’industrie de la défense


Le gouvernement, la Caisse de dépôt et placement du Québec et des banques peuvent maintenant financer la production de matériel militaire.


Toutefois, la néo-aristocratie mondialiste va-t-en-guerre sachant qu’elle fait face au 45-47ème Président patriote-humaniste des États-Unis, qui emploie le sens commun comme un moyen de persuasion tel qu’appliqué sur les 8 confits entre belligérants déjà arrêtés par l’intermédiation de Donald J. Trump, se voit privée du protagonisme que cette néo-aristocratie jouait avant le premier mandat du Président Trump (2017-2021) et pendant la présidence illégitime de Joe Biden (2021-2025). Mais, le retour de Donald J. Trump à la Maison-Blanche, 20 janvier 2025, a complètement tout changé en imposant son Nouvel Ordre Mondial(5) :


En effet, lors du << sommet G20 >> en Afrique du Sud, les pays participants (sans les États-Unis) ont constaté leur impuissance géopolitique concernant l’absence des États-Unis d’Amérique en rapport à leurs Pouvoirs géomilitaires mondiaux et contraires au multilatéralisme consensuel de ces pays en quête d’une alliance mondialiste anti-USA-Trump :


Le Canada s'est joint à des pays européens et au Japon pour rejeter le plan du président américain Donald Trump visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.


Ce plan est largement considéré comme favorable à la Russie, dans la mesure où il demande à l'Ukraine de céder des territoires, de réduire la taille de son armée et de ne pas rejoindre les rangs de l'OTAN, tout en offrant des garanties de sécurité limitées à Kiev.


Dans une déclaration commune en marge du G20, le Canada, la France, le Royaume-Uni, le Japon, l'Allemagne, l'Italie, la Finlande, l'Espagne, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal et l'Union européenne disent soutenir les efforts américains en faveur de la paix, mais estiment que le plan doit être retravaillé.


(…).


<< Nous sommes prêts à nous mobiliser pour assurer une paix durable. Nous soutenons clairement le principe selon lequel les frontières ne doivent pas être modifiées par la force. >> Déclaration commune du G20 (sans les États-Unis D’Amérique)


(…).


Le G20 arrive peut-être à la fin d'un cycle (...) On vit un moment de notre géopolitique où nous avons beaucoup de mal à régler autour de cette table (...) les grandes crises internationales, a déclaré le président français Emmanuel Macron à ses pairs.


Le premier ministre chinois Li Qiang a estimé, lui, que l'unilatéralisme et le protectionnisme sont omniprésents et que beaucoup de gens se demandent ce qui arrive exactement à la solidarité mondiale.


(…).


Le premier ministre Carney a aussi rencontré personnellement divers dirigeants, notamment le président de la République française, Emmanuel Macron. Les deux hommes ont notamment discuté du G7 alors que la présidence canadienne tire à sa fin et que la France s’apprête à assumer ce rôle. Les dirigeants continuent de se concentrer sur de grandes priorités mondiales, comme les minéraux critiques, l’énergie propre et l’intelligence artificielle (IA).


(…).


Le porte-parole du gouvernement sud-africain, Vincent Magwenya, a déclaré que les pays avaient accepté d'approuver une déclaration commune, même si les États-Unis n'étaient pas présents, et a laissé entendre qu'elle inclurait un libellé sur le changement climatique et les droits des femmes.


(…).


Le Canada se joint à d’autres pays pour rejeter le plan de paix de Trump en Ukraine


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209187/plan-paix-trump-ukraine-rejet-canada


Le plan de paix en Ukraine critiqué au sommet du G20


Le Canada critique le plan de paix de Donald Trump pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Dans une déclaration commune en marge du G20, qui se tient en Afrique du Sud sans le président américain, 12 dirigeants, dont Mark Carney, affirment que le plan, qu'ils jugent trop favorable à la Russie, doit être modifié.


https://ici.radio-canada.ca/info/videos/1-10529791/plan-paix-en-ukraine-critique-au-sommet-g20


Dans ce contexte d’expansionnisme du secteur militaro-industriel mondialiste, le rôle des cabinets-conseils se révèle, une fois de plus, comme une action organisée entre gouvernements antipatriotes et ces groupes lobbyistes consacrés à la spoliation de fonds publics, l’endettement et la paupérisation de la classe moyenne afin de la soumettre à la soumission de leur pouvoir totalitaire :


L'associé chargé du secteur de la défense chez McKinsey a assisté le 14 février dernier au discours du vice-président américain, J.-D. Vance, médusé comme le reste de l'auditoire, industriels américains compris. Il explique les défis que la nouvelle donne transatlantique posent aux constructeurs d'armement.


(…).


« Il n'y aura pas de montée en régime de la défense européenne sans celle de son industrie » estime le spécialiste défense de McKinsey


Hugues Lavandier, consultant spécialiste de l'industrie de défense chez McKinsey, estime que la conférence de Munich sur la sécurité constitue un tournant pour l'Europe. La capacité des industriels européens à suivre la croissance des dépenses sera déterminante.


https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/il-ny-aura-pas-de-montee-en-regime-de-la-defense-europeenne-sans-celle-de-son-industrie-estime-le-specialiste-defense-de-mckinsey-2150545


En effet, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne, des ex-empires cherchent par tous les moyens possibles de s'acquitter de leur défaite impériale respective voulant ainsi provoquer la 3ème guerre mondiale prenant l’Ukraine en otage dû à sa vulnérabilité face au conflit armé contre la Russie. Cette autre guerre a commencé comme les autres conflits entre belligérants paneuropéens qui pourraient faire du continent euroasiatique un nouveau champ de bataille comme les deux autres guerres mondiales précédentes.


Dans ce contexte belliciste, le chef du PLC et premier ministre du Canada, l’imposteur Mark Carney, s’invite à participer à ce conflit armé russo-ukrainien, lequel le Président Trump se consacre depuis son retour à la Maison-Blanche à mettre un terme à cette guerre << fratricide >> :


"Nous nous félicitons de la conclusion des négociations sur un accord concernant la participation du Canada à SAFE", ont indiqué dans un communiqué commun la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le Premier ministre canadien, Mark Carney.


Annoncé le 1er décembre, l'accord prévoit l'intégration du Canada à l'initiative phare de l'UE en matière d'aide à l’industrie de défense. Doté de 150 milliards d'euros, le programme SAFE (Security Action for Europe) doit financer des achats conjoints d'armements.


Cet accord renforce la coopération transatlantique en matière de défense et ouvre des opportunités pour les industries canadiennes, tout en boostant la base industrielle européenne.


Le Canada, premier pays tiers à participer au programme


L'adhésion du Canada au programme SAFE constitue la première participation formelle d'un pays non membre de l'Union à cette initiative. Concrètement, l'accord scellé va offrir à Ottawa la possibilité de participer à des projets de défense financés en commun et permettre aux entreprises canadiennes de répondre aux appels d'offres liés aux achats conjoints soutenus par l'UE. Pour Bruxelles, intégrer un partenaire du G7 renforce la crédibilité de SAFE, qui vise à coordonner durablement la demande en armement et à consolider l'industrie européenne de défense.


(…).


Défense : l'UE et le Canada scellent un accord sur la participation d'Ottawa au programme d'armement SAFE


Annoncé lundi 1er décembre, cet accord prévoit l'intégration des Canadiens au programme européen d'aide à l'industrie de défense, doté de 150 milliards d'euros. Le Canada devient le premier pays tiers à participer officiellement à l'initiative majeure d'achats groupés d'armement de l'UE.


https://www.touteleurope.eu/l-ue-dans-le-monde/defense-l-ue-et-le-canada-scellent-un-accord-sur-la-participation-d-ottawa-au-programme-d-armement-safe/


De plus, le gouvernement de Mark Carney voulant désavouer le plan de paix du Président des États-Unis, Donald J. Trump, entre la Russie et l’Ukraine, prend la décision cavalière de financer la poursuite de ce conflit armé sans tenir compte des répercussions politico-militaro-géostratégiques avec celles concernant le NORAD (https://fr.wikipedia.org/wiki/Commandement_de_la_d%C3%A9fense_a%C3%A9rospatiale_de_l%27Am%C3%A9rique_du_Nord) :


Le gouvernement fédéral s'engage à verser 235 millions de dollars supplémentaires à l'Ukraine pour l'aider à se défendre dans sa guerre qui se poursuit contre la Russie.


Le ministre de la Défense nationale, David McGuinty, et la ministre des Affaires étrangères, Anita Anand, ont annoncé les derniers engagements pris par le Canada mercredi.


M. McGuinty a précisé que le Canada collaborera avec ses alliés de l'OTAN pour acheter un ensemble de capacités militaires essentielles provenant des États-Unis, d'une valeur d'environ 500 millions de dollars américains.


La contribution du Canada à la liste des besoins prioritaires de l'Ukraine s'élèvera à 200 millions.


(…).


Ottawa annonce de nouvelles mesures d’une valeur de 235 millions $ pour l’Ukraine


Depuis 2022, le Canada s'est engagé à verser près de 22 milliards de dollars à l'Ukraine.


https://ici.radio-canada.ca/rci/fr/nouvelle/2211233/ottawa-annonce-mesures-valeur-millions-ukraine


Cette dérive belliciste, de folie guerrière et financière du PLC-Carney contre les intérêts nationaux du Québec en raison de sa condition pacifiste et passé historique d’entité sociétale antitotalitaire doit être revendiquée visant à se doter dudit statut de Neutralité perpétuelle qui serait autre spécificité des atouts programmatiques des souverainistes lors de l’élection-référendaire de 2026.


À cet égard, une fois de plus, le centralisme du pouvoir colonialiste d’Ottawa envers le Québec se retrouvera confronté à la réalité de l’intention politique d’arriver à doter les Canadiens Français de sa pleine souveraineté nationale. Par conséquent, afin d’éviter un deuxième vol de cette souveraineté nationale par la mafia du PLC-PLQ et ses complices antipatriotes au Québec, il n’y a qu’un seul moyen démocratique, celui d’une élection-référendaire telle qu’indiquée précédemment.


Au cas où cette élection-référendaire ne se convoque pas à la date indiquée, la pleine souveraineté du Québec sera à tout jamais une cause perdue en raison de la démographie exponentielle en cours au Québec, étant contraire (10 % de plus qu’en 1995) à cette indépendance nationale. Cette nouvelle réalité est doublement pertinente comme l’avait courageusement affirmé le Premier ministre Jacques Parizeau lors du referendum de 1995 : << L’argent du fédéral et le vote ethnique. >> a été la << défaite >> du camp du OUI pour l’indépendance du Québec.


Alors, quel choix ont les nationalistes-indépendantistes (CAQ, PQ, BQ et ceux qui ne sont pas affiliés à ces partis) face à ce scénario concernant la mouvance ethnique contre un Québec pleinement souverain de la tutelle colonialiste d’Ottawa ? L’information exposée ici-bas donne déjà un aperçu de ce que les fédéralistes sont prêts à faire pour empêcher, une fois de plus, de manière antidémocratique l’indépendance du Québec étant donné que le PLQ est en déroute par sa situation des scandales internes et corruption organisationnelle :


La dominance du Parti québécois (PQ) dans les sondages depuis près de deux ans et la promesse du chef, Paul St-Pierre Plamondon, de tenir un référendum dans un premier mandat ont des échos jusque dans la capitale fédérale. Selon nos informations, des membres du gouvernement Carney ont eu des discussions cet automne pour déterminer comment Ottawa devrait répondre au discours péquiste.


Jusqu’à maintenant, le bureau du premier ministre et ceux de son lieutenant au Québec et du ministre Dominic LeBlanc se sont impliqués dans ces conversations, selon deux sources libérales au fait du dossier.


L’idée, précise une source, n’est pas pour le gouvernement à Ottawa de devenir le contrepoids du PQ : << C’est au Parti libéral du Québec de faire ça >>. Il s’agit plutôt de s’assurer que le message des élus dans le camp Carney soit cohérent.


(…).


Ottawa amorce une réflexion sur la possibilité référendaire au Québec


L’élection potentielle du Parti québécois suscite des inquiétudes chez certains élus fédéraux.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2211459/pq-reponse-ottawa-referendum-carney


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Jean-Louis Pérez-Martel


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*. Le terme « politiciens égarés » peut faire référence à plusieurs situations, comme des politiciens qui ont échoué à atteindre leurs objectifs politiques, des personnalités qui sont tombées en disgrâce ou ont été écartées, ou encore des politiciens qui ont perdu leur poste de manière inattendue. Le concept peut aussi se rapporter à des erreurs politiques factuelles, comme la mauvaise interprétation d'une statistique, ou plus largement à un désintérêt croissant pour la politique. (information fournie par l’IA)


De plus, éviter la corruption institutionnalisée rapporterait 3 fois plus de bénéfice net pour le Québec que les projets destinés à la production d’armements pour la guerre, soit environ 6 milliards de dollars par année.


Indice de perception de la corruption


https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_de_perception_de_la_corruption


Ukraine : à qui profite la paix ? - JT du vendredi 28 novembre 2025


https://www.youtube.com/watch?v=wn_bQDc--Yk


**. La neutralité perpétuelle de la Suisse est un pilier de sa politique étrangère, formellement reconnue en 1815 au Congrès de Vienne, garantissant son indépendance et l'inviolabilité de son territoire, et s'appuie aujourd'hui sur le droit international (Conventions de La Haye de 1907) qui interdit la participation aux guerres entre États, tout en autorisant les prises de position politiques et les sanctions économiques. Ce statut « permanent » signifie que la Suisse ne s'engage pas dans des alliances militaires (comme l'OTAN) et s'abstient de participer aux conflits armés, servant de médiatrice et de "pont" entre les nations.


Neutralité perpétuelle de la Suisse


https://fr.wikipedia.org/wiki/Neutralit%C3%A9_perp%C3%A9tuelle_de_la_Suisse


L’enjeu ultime de la neutralité perpétuelle du Québec est déjà un fait historique par son parcours démocratique, absence de conflit fratricide, pacifisme enraciné et armée imposée. Ces conditions uniques parmi les nations du monde sont celles rendant le Québec modèle pour être reconnu à l’Assemblée Nationale du Québec comme identité de neutralité perpétuelle. Par ce statut de neutralité, le Québec pourra suivre l’exemple de la Suisse en ce qui concerne, entre autres atouts socioéconomiques, démocratiques, financiers, institutionnels…, le secteur militaro-industriel :


Le secteur militaro-industriel suisse, bien que technologiquement avancé, est en difficulté à cause des strictes restrictions à l'exportation, de la loi sur le matériel de guerre et de sa politique de neutralité, malgré une demande mondiale croissante. Les entreprises font face à des baisses de ventes et à des difficultés économiques, certaines délocalisant leur production ou réduisant leurs effectifs. Des débats sont en cours pour assouplir la loi sur le matériel de guerre afin de soutenir la compétitivité du secteur, car il est perçu comme essentiel pour la sécurité du pays. (information fournie par l’IA)


De plus, la neutralité perpétuelle de la Suisse la conditionne à maintenir son secteur militaro-industriel sous contrôle par sa constitution de Démocratie directe


Face à une instabilité et un contexte international inédit, l'Europe se réarme et l'industrie de l'armement en profite. Mais pas les fabricants helvétiques, car la neutralité éloigne les acheteurs qui rechignent à y acquérir du matériel de guerre.


Alors que les entreprises internationales du secteur de l'armement voient leurs titres bondir en bourse et leurs résultats progresser avec la guerre en Ukraine, la situation est tout autre en Suisse.


Le secteur de l'armement est en effet soumis à la loi sur le matériel de guerre, qui interdit notamment de livrer des armes à des pays impliqués dans des conflits internes ou internationaux, comme l'Ukraine.


Le débat sur cette contrainte n'est pas nouveau, mais il a ressurgi quand l'Allemagne, le premier marché de la Confédération, a renoncé aux armes fabriquées en Suisse. Berlin n'a pas apprécié le veto du Conseil fédéral l'année dernière à sa demande de réexporter des munitions suisses à l'armée ukrainienne.


>> Relire : La Suisse interdit à l'Allemagne de transmettre des munitions suisses à l'Ukraine


De nombreuses entreprises d'armement


Les ventes du secteur sont en baisse. Selon les informations du Secrétariat d'État à l'économie (SECO), en 2023, les exportations suisses de matériel de guerre, chiffrées à un peu moins de 700 millions de francs, ont reculé de 27% par rapport à l'année précédente. Il faut toutefois noter que ces chiffres doivent être pris avec précaution, parce qu'en 2022, les ventes avaient été poussées par les achats du Qatar, qui s'équipait lourdement pour l'organisation de la Coupe du Monde de football.


(…).


L'industrie suisse de l'armement est en difficulté alors que l'Europe cherche à se réarmer


https://www.rts.ch/info/economie/2025/article/l-industrie-suisse-de-l-armement-penalisee-par-la-neutralite-du-pays-28816376.html#:~:text=La%20Suisse%20compte%20de%20gros,l'entreprise%20Ruag%2C%20d%C3%A9tenue%20par


Avec le recul, on voit les multiples avantages de la neutralité perpétuelle de la Suisse révélée par le diplomate suisse Pictet-de-Rochemont quand il avait déclaré en 1815 : << La Suisse n’est pas neutre pour elle-même, la Suisse est neutre pour les autres, puisque la présence d’un État neutre au cœur de l’Europe répond à l’intérêt particulier de chacun des États du continent européen. >> 


D’autres avantages de la Suisse à partir de la date citée concernant son statut de neutralité perpétuelle considérée par des pays en conflits armés comme étant un gage de sécurité territoriale ou par d’autres considérations organisationnelles de gérances administratives et fiscales…, des atouts indispensables aux résultats ciblés par ledit état de neutralité :


Des responsables ukrainiens et américains se retrouveront prochainement en Suisse pour discuter du plan de Donald Trump visant à mettre fin à près de quatre ans d'invasion russe de l'Ukraine, une initiative face à laquelle Kiev et ses alliés européens peinent à trouver une réponse.


Ce plan en 28 points est vu avec une grande inquiétude à Kiev puisqu'il reprend plusieurs exigences clés de la Russie, à savoir que l'Ukraine lui cède des territoires, qu'elle accepte une réduction de la taille de son armée et qu'elle renonce à intégrer l'OTAN.


Il offre cependant des garanties de sécurité occidentales à Kiev pour prévenir toute nouvelle attaque russe.


Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a repoussé vendredi ce plan, que Donald Trump et Vladimir Poutine le pressent d'accepter, assurant qu'il allait proposer << d'autres options >> aux Américains.


<< Dans les prochains jours, nous lancerons en Suisse des consultations entre de hauts responsables ukrainiens et américains sur les paramètres possibles d'un futur accord de paix >>, a annoncé samedi sur Facebook Roustem Oumerov, qui dirige le Conseil de sécurité ukrainien.


(…).


Zelensky sous pression américaine


Donald Trump a donné jusqu'au 27 novembre, jour de la fête de l'Action de grâces aux États-Unis, à l'Ukraine pour donner sa réponse aux solutions proposées.


 <<Il faudra bien que [ce plan, NDLR] lui plaise, et si cela ne lui plaît pas, alors, vous savez, ils n'auront qu'à continuer à se battre. >> -- Donald Trump, président des États-Unis


(…).


Ukrainiens et Américains se retrouveront en Suisse pour discuter du plan de Trump


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209166/ukraine-etats-unis-suisse-plan-trump-guerre


Le secrétaire d'État américain Marco Rubio et le négociateur ukrainien Andriï Iermak ont salué dimanche les « bons progrès » dans leurs pourparlers en cours en Suisse sur le plan de Donald Trump pour mettre fin à la guerre avec la Russie.


(…).


Volodymyr Zelensky a déclaré qu'il était << personnellement >> reconnaissant à Donald Trump après la publication par le président américain d'un message sur les réseaux sociaux accusant une nouvelle fois Kiev de ne faire preuve << d'aucune gratitude. >>


<< Les responsables ukrainiens n'ont exprimé aucune gratitude pour nos efforts >>, a écrit le président américain sur Truth Social, affirmant avoir << hérité d'une guerre qui n'aurait jamais dû arriver. >>


(…).


Kiev et Washington saluent de « bons progrès » dans les pourparlers en Suisse


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209257/plan-ukraine-rubio-geneve-negociations


Comment les occidentaux comptaient ils démembrer la Russie ? Nicolas Tacchi ?


https://www.youtube.com/watch?v=nHvNvOU0CCE


***. Voulant suivre la géopolitique incarnée par le Nouvel Ordre Mondial du Président Trump, les pays membres de l’OTAN embarqués dans le financement de leur secteur militaro-industriel vont tomber dans le piège du surendettement exponentiel et de la spoliation de fonds publics en paupérisant davantage leur peuple respectif :


Le Canada achètera des milliers de bombes et de missiles aux États-Unis, pour une valeur de presque 3,75 milliards de dollars canadiens.


Ce contrat d'armement comprend la vente de milliers de bombes de tous types, dont jusqu'à 3414 bombes BLU-111, qui pèsent chacune 225 kg, et plus de 3100 bombes GBU-39, qui sont destinées à frapper avec précision des cibles fixes, ainsi que d'ogives pénétrantes, a indiqué le département d'État américain dans une notification au Congrès comme l'exige la loi des États-Unis.


(…).


Le premier ministre canadien Mark Carney avait annoncé en juin que son pays consacrerait cette année 2 % de son PIB à la défense pour atteindre l'objectif de l'OTAN avec une demi-décennie d'avance sur le calendrier en raison des menaces qui se multiplient.


Il avait aussi annoncé que le Canada voulait réduire sa dépendance militaire aux États-Unis et que la nouvelle attitude américaine sur le plan international avait de lourdes conséquences.


Depuis son retour au pouvoir, Donald Trump a souvent dénigré le Canada, affirmant que ce pays devrait être le 51e État des États-Unis, et lui mène une guerre commerciale à coups de droits de douane.


(…).


Le Canada achète pour 3,7 milliards $ de bombes aux États-Unis


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2211776/canada-achat-armes-bombes-etats-unis


En outre, dans ce contexte de conflit armé Russie-Ukraine (2022-2025) déclenché par les 2 révolutions et la violation des Accords de Minsk I et II, déjà évoqués, il faut rappeler aussi que ce conflit avait un objectif machiavélique de la part de ceux qui avaient accepté ces accords en 2012-2014, soit les deux signataires de l’UE : François Hollande, Angela Merkel avec le consentement du président-imposteur-apostat traître Barack Hussein Obama.


Un processus révolutionnaire instigué à partir de 2004 par les intérêts militaro-industriels, socioéconomiques, politico-géostratégiques et de configuration territoriale antirusses :


Révolution Orange https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_orange


Suivie de celle de la Révolution de Maïdan :


https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_de_la_Dignit%C3%A9


Ces deux révolutions étaient le prélude désigné par des alliances expansionnistes antirusses voulant provoquer un conflit armé comme ce fut par la Guerre russo-ukrainienne


https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_russo-ukrainienne


L’aboutissement de ce conflit armé paneuropéen préconfiguré dans l’objectif-belliciste de la France décadente et ruinée financièrement par les gouvernements successifs post De Gaulle jusqu’à l’actuel imposteur va-t-en-guerre Emmanuel Macron et sa grande complice Ursula von der Leyen (ex-ministre de la défense allemande et la corrompue présidente de la Commission Européenne :   https://www.youtube.com/watch?v=P1Yf859CTZM), n’est nul autre que pouvoir relancer son secteur militaro-industriel, l’agriculture du blé à l’exportation et reprendre le contrôle de ses ex-colonies en Afrique, lesquelles étaient les principales pourvoyeuses des ressources naturelles pour son industrie manufacturière, gazière, nucléaire, main-d’œuvre esclave et de mercenaires pour son armée en Afrique


(https://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_colonial_fran%C3%A7ais).


Dans l’actuel contexte belliqueux préconfiguré par l’Axe Franco-Allemand se servant de l’Union Européenne comme alliance pan-continentale pour son expansionnisme géopolitique, ces deux ex-empires voudraient s'acquitter de leur défaite impérialiste respective en voulant provoquer une énième guerre contre la Russie comme ce fut dans le passé.


Au sujet du blé comme ressource naturelle et denrée géopolitique pour l’alimentation de base dans le monde :


Le blé est la deuxième céréale au monde par les volumes produits, mais la première par les volumes échangés. Céréale historiquement consommée dans plusieurs aires géographiques (Bassin méditerranéen, Chine et Inde, Europe, Amérique du Nord), le blé l'est de plus en plus hors de ces régions, sous l'effet de la mondialisation et des stratégies des pays producteurs à la recherche de débouchés. Certains États dépendent intégralement des marchés internationaux pour leur approvisionnement en blé. Dans un contexte de forte augmentation du prix des denrées agricoles, c'est la sécurité alimentaire de régions entières qui est menacée.


Sommaire


1. Géoéconomie du blé, un produit mondialisé et une planète inégalement dotée


2. Une géopolitique du blé entre puissances et fragilités


Géopolitique du blé : une céréale dans la mondialisation


https://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-thematiques/geographie-critique-des-ressources/articles/geopolitique-du-ble


Il faut rappeler que l’Ukraine était l’un des grands producteurs et exportateurs de blé du monde et le confit armé Russie-Ukraine a provoqué une augmentation du prix d’environ 45 % du blé sur le marché mondial :


Comment la guerre en Ukraine vide l’assiette mondiale


https://ici.radio-canada.ca/mordu/4257/guerre-ukraine-russie-ble-orge-mais-engrais-alimentation


Guerre en Ukraine : l'ancien grenier à blé de l'Europe plombé par la guerre


Alors que la guerre perturbe les semis et que l'accord commercial avec l'Union européenne arrive à échéance, l'Ukraine s'inquiète pour son secteur agricole, dont les pertes pourraient atteindre 83 milliards de dollars d'ici à fin 2025.


https://www.lesechos.fr/monde/europe/guerre-en-ukraine-lancien-grenier-a-ble-de-leurope-plombe-par-la-guerre-2169536


En effet, l’échéance du dit accord UE-Ukraine donnerait à la France la possibilité d’exporter son blé dans des marchés autres que celui de l’Algérie :


En 2018, la France exportait plus de 5 millions de tonnes de blé vers l’Algérie. En 2025, en pleine crise diplomatique entre les deux pays, ce chiffre devrait tomber à zéro.


Longtemps premier acheteur du blé français, l’Algérie boude désormais les céréales de l’ancienne puissance coloniale. En 2025, ses importations devraient être réduites à néant. Un boycott qui illustre la crise diplomatique entre les deux pays et un manque à gagner important pour les céréaliers français.


Crise France-Algérie : le blé, l’autre champ de bataille


https://www.la-croix.com/economie/crise-france-algerie-le-ble-l-autre-champ-de-bataille-20250907


Afin de saisir la dynamique belliciste de la guerre Russie-Ukraine et l’ampleur de la destruction socioéconomique d’un pays par l’action de va-t-en-guerre de la néo-aristocratie mondialiste : ce sont déjà des dizaines de milliers de kilomètres carrés de terres agricoles hautement productives conquises par la Russie en Ukraine depuis le commencement du conflit armé russo-ukrainien en déclenché 24 février 2022. Une guerre qui aboutira à la capitulation du gouvernement corrompu du clown-président belliqueux Zelenski et ses complices oligarques spoliateurs de dizaines de milliards de dollars provenant du financement des États-Unis d’Amérique sous la présidence du tandem mafieux de la politique Obama-Biden :


Rencontre Poutine-Witkoff : « pas de compromis » trouvé sur les territoires occupés


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2211176/rencontre-poutine-witkoff-territoires-occupes-ukraine


Corruption en Ukraine : « Tout le monde sait, Washington veut en finir ! » - Xavier Moreau


https://www.youtube.com/watch?v=64QTtQpP8U4


Ukraine : plan de paix ou capitulation ?


https://www.youtube.com/watch?v=RCatjaB6YT4


Comment les occidentaux comptaient ils démembrer la Russie ? Nicolas Tacchi


https://www.youtube.com/watch?v=nHvNvOU0CCE


Les faucons ne lâcheront pas leur projet de démantèlement de la Russie -Chocs du Monde avec N Tacchi


https://www.youtube.com/watch?v=4RiGCirLMLs


Alors, la prolifération d’exportations de matériels militaires à l’Ukraine est l’autre moyen de la soumettre à sortir de sa neutralité territoriale afin que le conflit armé russo-ukrainien se prolonge proliférant ainsi les intérêts de l’Axe franco-allemand comme, entre autres, celui du secteur militaro-industriel :  


L'Ukraine s'engage à acheter 100 avions de chasse français Rafale pour protéger son espace aérien. Un accord « historique », a dit le président ukrainien Volodymyr Zelensky lors d'une conférence de presse aux côtés de son homologue français Emmanuel Macron, lundi, à l'Élysée.


Il s'agit d'un accord porté vers l'avenir dans un autre espace de temps que celui de la guerre actuelle avec la Russie, a déclaré le président français.


Il s'agit du temps de la régénération de l'armée ukrainienne dans l'avenir, afin de dissuader toute nouvelle incursion une fois la paix ou un cessez-le-feu conclu, a-t-il ajouté.


(…).


L’Ukraine et la France signent un accord « historique » pour l’achat d’avions de chasse


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208070/ukraine-france-avions-rafale


Repoussant l’accord de paix entre l’Ukraine et la Russie, une fois de plus, le tandem présidentiel va-t-en-guerre Macron-Zelensky, va provoquer davantage le conflit armé en Ukraine avec la décision de l’imposteur-président Emmanuel Macron, le << petit napoléon >>, et son complice macroniste-belliciste le général Fabien Mandon responsable des armées françaises et l’instigateur de la réinstauration du service militaire obligatoire en France :


Xavier Moreau : Je conteste totalement une "iranisation" de l’économie russe ! - Le Zoom - TVL


https://www.youtube.com/watch?v=VsSfJCwZ4o4


Arrêtez de mentir : Poutine n’est pas l’ennemi, c’est l’Ukraine l'agresseur. tension sur LCI


https://www.youtube.com/watch?v=QhD_qOhosXI


Vladimir Poutine a averti mardi que la Russie était « prête » à la « guerre » dans l'éventualité où l'Europe lancerait des hostilités contre elle, juste avant une réunion très attendue à Moscou avec les émissaires américains pour des pourparlers sur l'Ukraine.


Le président russe, qui a lancé une offensive à grande échelle contre son voisin ukrainien en février 2022, expose son dédain pour l'Union européenne, alliée de Kiev, et rejette son rôle dans les négociations en vue d'un plan de paix.


<< Nous n'avons pas l'intention de faire la guerre à l'Europe, mais si l'Europe le souhaite et commence, nous sommes prêts dès maintenant. >> -- Vladimir Poutine, président de la Russie


Il a accusé les Européens de vouloir << empêcher >> les efforts américains visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.


(…).


Si l’Europe veut la « guerre », « nous sommes prêts », lance Vladimir Poutine


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2211008/ukraine-americain-steve-witkoff-rencontre-poutine-moscou


Zelensky signe ou Zelensky tombe? Le piège politique de Trump pour l'Ukraine.


https://www.youtube.com/watch?v=r93kcBQJVhc


Dans cette situation, le clown-président et corrompu Volodymyr Zelensky piégé par l’imposteur Emmanuel Macron, le << petit napoléon >>, en cette escalade guerrière ne fait que se comporter comme la marionnette belliciste du ce mercenaire de la politique assujetti à son tour par la néo-aristocratie mondialiste et ses complices des cabinets-conseils anti-USA-Trump :


McKinsey à nouveau perquisitionné dans le cadre de l’affaire des campagnes de Macron


Les locaux parisiens du cabinet ont été à nouveau visités par la police le 6 novembre 2025, suite aux procédures lancées en octobre 2022 autour des liens entre monde du conseil et parti présidentiel.


https://www.consultor.fr/articles/mckinsey-a-nouveau-perquisitionne-dans-le-cadre-de-laffaire-des-campagnes-de-macron


Ukraine: la paix de Trump encore repoussée par Zelensky et Macron ? JT du mercredi 26 novembre 2025


https://www.youtube.com/watch?v=ufdRfRbeMo8


L'Ukraine dévoile le programme McKinsey pour les bâtisseurs de nation


https://unherd.com/newsroom/ukraines-unveils-mckinsey-programme-for-nation-builders/


BlackRock, JPMorgan et McKinsey collaborent à la banque de reconstruction de l'Ukraine


https://www.consultancy.eu/news/9070/blackrock-jpmorgan-and-mckinsey-working-on-ukraine-reconstruction-bank


Afin que le Québec ne tombe pas dans le piège de l’expansionnisme de la prolifération du secteur militaro-industriel hors contrôle du pouvoir politique, il doit adopter comme l’une des priorités patriotiques la neutralité perpétuelle en la proclamant à l’Assemblée Nationale du Québec et l’insérant dans sa future Constitution :    


La Ville de Montréal lève la main pour accueillir une nouvelle institution financière internationale qui sera chargée de financer et de coordonner des projets de défense, ont annoncé vendredi le premier ministre du Québec, François Legault, et la mairesse Soraya Martinez Ferrada.


(…).


La Ville de Montréal, qui accueille << déjà 68 organisations internationales, dont six bureaux de l'ONU >>, serait un choix tout indiqué pour le siège social de la Banque de la défense, de la sécurité et de la résilience, ont plaidé M. Legault et Mme Martinez Ferrada.


Cette nouvelle institution financière internationale, en cours de création, doit permettre de financer des projets afin d'aider les pays de l’OTAN, dont le Canada, à atteindre leur objectif de consacrer 5 % du PIB national à la défense.


Le siège social permettrait de créer quelque 3500 emplois de qualité à Montréal, a estimé M. Legault.


<< Actuellement, il y a d'autres villes qui pourraient être intéressées, mais je pense qu’on a une belle opportunité de positionner Montréal, le Québec et le Canada dans cette institution multilatérale qui va émaner de l’OTAN.>> -- Soraya Martinez Ferrada, mairesse de Montréal


Montréal ambitionne d’accueillir une nouvelle banque internationale de défense


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209033/montreal-banque-internationale-defense-legault


Ce phénomène de l’actuel expansionnisme du secteur militaro-industriel en Europe-Canada-Québec, ne serait qu’avoir le même effet spéculatif en Bourse pour les sociétés cotisées ou non opérant dans ce secteur technologico-industriel financé avec des milliers de milliards de dollars de fonds publics, comme ce fut le cas lors du crash de la << bulle technologique au début des années 2000 >>, tel que rapporté dans le suivant article :


Analyse I Intelligence artificielle : trop beau pour être vrai?


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209102/intelligence-artificielle-bourse-valeur-bulle-technologique


L’industrie européenne de l’armement connaît une période faste. La demande, le chiffre d’affaires, les profits et les cours boursiers ont explosé ces dernières années. La valorisation boursière du fabricant allemand de munitions Rheinmetall est passée de moins de 5 milliards d’euros en février 2022 à plus de 77 milliards début mai 2025, soit une hausse d’environ 1.500 %. Les trois principaux groupes européens du secteur — Airbus, Leonardo et Thales — ont vu leurs carnets de commandes se remplir de milliards d’euros de contrats.


L’Europe traverse une phase de militarisation et d’armement intense. En s’appuyant sur la menace — non étayée par des faits — d’une attaque russe, l’Union européenne (UE) a adopté ces dernières années une série de mesures nouvelles pour soutenir l’industrie de l’armement en y consacrant des milliards d’euros. L’industrie récolte ici les fruits d’un lobbying intensif mené de longue date, qui a permis de tisser des liens étroits avec les décideurs politiques.


(…).


Comment le lobby de l’armement pilote l’Union européenne


Tant à l’échelle européenne qu’au sein des États membres, les liens entre décideurs politiques, forces armées et industrie de l’armement se resserrent de plus en plus. Le complexe militaro-industriel européen est en pleine expansion.


https://lavamedia.be/fr/comment-le-lobby-de-larmement-pilote-lunion-europeenne/


L’<< arnaque >> de l’expansionnisme du secteur militaro-industriel en Europe se confirme par la dégringolade en Bourse de la multinationale française Thales :


Thales : «le plongeon en Bourse sur rumeur de paix en Ukraine est-il un tournant ?» L’oeil du Loup de Zurich


Les actions Thales vont-elles poursuivre leur plongeon ou le géant de la défense du CAC 40 a-t-il un potentiel de rebond en Bourse ? Que penser de l’impact d’une possible paix en Ukraine ? Quelles perspectives pour les actions Thales selon l’analyse financière et l’analyse technique ?


https://www.capital.fr/entreprises-marches/thales-le-plongeon-en-bourse-sur-rumeur-de-paix-en-ukraine-est-il-un-tournant-loeil-du-loup-de-zurich-1521451


En outre, dans l’optique de l’actuel expansionnisme du secteur militaro-industriel, le gouvernement suédois, autre va-t-en-guerre, fait tout son possible avant de la conclusion de l’accord de Paix Russie-Ukraine du Président Trump, pour vendre l’avion de chasse Gripen du constructeur suédois SAAB en concurrence avec le F-35. Pourtant l’avion suédois n’a aucune possibilité de détrôner l’avion américain même en faisant du lobbyisme au Canada en connivence avec la mercenaire multi-ministérielle anti-USA-Trump, Mélanie Joly. C’est-à-dire, comme rapporté par TVL dans l’information postérieure à celles d’ici-bas, ce gouvernement suédois veut que l’aide financière de l’UE à l’Ukraine ne soit pas arrêtée afin de soutenir le secteur militaro-industriel suédois engagé dans la mouvance belliciste de la néo-aristocratie mondialiste :


La ministre canadienne Mélanie Joly est en pourparlers avec la société suédoise Saab au sujet de ses avions de chasse Gripen, dans un contexte où le gouvernement réévalue les retombées économiques de l'achat des F-35 de Lockheed Martin, jugées insuffisantes. Saab a proposé la création de jusqu'à 10 000 emplois au Canada si elle obtenait un contrat, potentiellement en plus des F-35, ce qui fait du fabricant suédois un candidat à considérer pour la sécurité et l'industrie de défense du Canada. (information fournie par l’IA).


Saab pourrait s’installer au Canada si Ottawa lui achète des avions de combat


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209074/saab-canada-lockheed-avions-chasse#:~:text=La%20ministre%20Joly%20s'est,mani%C3%A8re%20continue%20pendant%20des%20d%C3%A9cennies%20.


L'Union européenne et le Canada ont annoncé lundi un accord sur la participation des Canadiens à un programme européen d'aide à l'industrie de la défense, nommé SAFE et doté de 150 milliards d'euros (environ 243 milliards $ CA).


<< Nous nous félicitons de la conclusion des négociations sur un accord concernant la participation du Canada à SAFE >>, ont indiqué la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le premier ministre du Canada, Mark Carney, dans un communiqué commun.


(…).


Défense : le Canada participera à un programme européen d’armement


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2210953/canada-safe-programme-europeen-armement


Aide à l’Ukraine : le ministre de la défense de Suède s’inquiète d’une baisse des contributions en Europe et plaide pour des ‘’prêts de réparation‘’ pour soutenir Kiev.


Paix en Ukraine : Trump avance, Macron s’agite - JT du lundi 1er décembre 2025


https://www.youtube.com/watch?v=rhCkJGQC6SE


Dans ces réalités évoquées apparaît, une fois de plus, le cabinet-conseil McKinsey & Company comme fournisseur de logiciels dans le secteur militaro-industriel impliquant une multinationale française fournissant du matériel militaire dans la guerre Russie-Ukraine :


McKinsey & Company et Thales ont une relation de collaboration, notamment par le recrutement de hauts dirigeants de McKinsey par Thales pour occuper des postes stratégiques dans des domaines comme l'intelligence artificielle (IA) et la sécurité. De plus, McKinsey est un cabinet de conseil qui a conseillé Thales, un groupe technologique spécialisé dans l'aérospatiale, la défense et le transport. (information fournie par l’IA)


Cette autre information donne davantage de détails sur la relation d’affaire entre le cabinet-conseil McKinsey & Company et le groupe militaro-industriel de la multinationale française Thales :


Un partner de McKinsey prend la tête de l’accélérateur d’IA de Thales


Mickael Brossard (D.R.)


La création de cortAIx, un intégrateur et accélérateur qui regroupe toutes les capacités en IA de Thales en matière de recherche, de capteurs et de systèmes, avait été annoncée en juin dernier. Revendiquant plus de 600 experts en IA et l’accueil d’une centaine de doctorants en intelligence artificielle chaque année, le groupe se positionne sur « l’IA de confiance, transparente, explicable et éthique ».


Mickael Brossard, 12 ans passés chez McKinsey, dont 5 au sein de QuantumBlack (l’entité dédiée à l’IA, à la data et à l’informatique quantique du cabinet), a pris ses fonctions le 2 décembre.


(…).


Un partner de McKinsey prend la tête de l’accélérateur d’IA de Thales


Fin novembre, Mickael Brossard annonçait son départ de QuantumBlack et donc, de McKinsey. Sa destination est désormais connue : l’ancien partner va piloter CortAIx Factory, voué à fournir des solutions d’IA sécurisées aux industries sensibles.


https://www.consultor.fr/articles/un-partner-de-mckinsey-prend-la-tete-de-laccelerateur-dia-de-thales


Comme le cabinet-conseil McKinsey & Company n’est pas enregistré comme lobbyiste au Québec (ni ailleurs dans le monde), la multinationale française Thales le fait pour avoir accès à ceux qui décident au gouvernement Legault d’accorder les subventions :


Le géant français Thales, dont le chiffre d’affaires dépasse les 25 milliards de dollars, demande jusqu'à 75 millions de dollars à Québec avec ses partenaires pour un projet d’intelligence artificielle.


« Le Québec est un chef de file mondial en IA responsable », a offert en guise d’explication au Journal Samara Ben-Reuven, aux communications de la multinationale française.


(…).


Fonds publics


Dans son inscription au Registre des lobbyistes, Thales évoque cette fois un projet de recherche technologique et de développement, appelé Confiance.IA.Qc, de chercheurs académiques et industriels.


Thales cible le ministre de l’Économie et de l’Innovation, Eric Girard, le Secrétariat du Québec aux relations canadiennes, en la personne de Sonia LeBel, et le député de Terrebonne, Pierre Fitzgibbon.


L’an dernier, Thales a reçu 1,2 million de dollars avec ses partenaires de la supergrappe SCALE AI, qui a reçu plus de 300 millions de dollars de fonds publics de toutes sortes du fédéral et du provincial.


(…).


Thales demande jusqu'à 75 M$ à Québec pour un projet d’intelligence artificielle


https://www.journaldemontreal.com/2021/07/23/thales-demande-75m-a-quebec-pour-un-projet-dintelligence-artificielle


1. Arme nucléaire https://fr.wikipedia.org/wiki/Arme_nucl%C3%A9aire


2. Ce fragment extrait de l’article cité ici-bas au sujet du volte-face du gouvernement caquiste concernant le << canular >> du réchauffement climatique est assez symptomatique de la manipulation traitant cette imposture climatique :  François Legault a confié au ministre de l'Environnement, Bernard Drainville, le mandat de faire le ménage dans les règles et les autorisations…


(…).


Antérieurement à l’extrait précédent, le journaliste qui signe ledit article s’en prend au 45-47ème Président des États-Unis relatif à la réforme en cours de la Maison-Blanche aux frais de ceux qui ont payé des centaines de millions dollars pour avoir diffamé ce président nationaliste-patriote-humaniste, afin de justifier son argumentation biaisée sur le climat de manière hors du sujet de l’imposture climatique :


Il est difficile d'imaginer un symbole plus frappant du sort réservé à la politique climatique des États-Unis que la démolition de l'aile est de la Maison-Blanche cette semaine par Donald Trump. En quelques coups de pelles mécaniques, un pan entier de la « maison du peuple » s'écroulait.


Une destruction qui fait écho au démantèlement rapide par le président américain des lois et des institutions destinées à protéger l’environnement et le climat.


En matière d’environnement, il est toujours plus facile de défaire que de construire.


(…).


Analyse I La planète à l’heure des reculs sur le climat


La lutte contre les changements climatiques est en perte de vitesse. Un peu partout dans le monde, les États se désengagent les uns après les autres. Dix ans après la signature de l’Accord de Paris, les répercussions mondiales de ces reculs suscitent des craintes.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2202055/changements-climatiques-trump-carney-drainville


En outre, Bernard Drainville, l’<< ex-péquiste transfuge >> et << parachuté politique >> devenu caquiste par son sens carriériste imperturbable :


Pour des raisons de priorité, le ministre de l’Environnement Bernard Drainville n’a pas le «temps» de participer à la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques au Brésil


Il ne s'agit pas d'une priorité pour le nouveau ministre


https://www.journaldequebec.com/2025/10/29/pour-des-raisons-de-priorite-le-ministre-de-lenvironnement-bernard-drainville-na-pas-le-temps-de-participer-a-la-conference-des-nations-unies-sur-les-changements-climatiques-au-bresil


Voici les priorités du << caquiste >> Bernard Drainville, une fois que les États-Unis d’Amérique se sont retirés du << canular >> climatique COP-30 et suivants…, sous la présidence de Trump et imposer des tarifs douaniers contre les exportations des pays ou États anti-USA :


Le moment est venu pour le Québec d’évaluer sa cible de réduction des gaz à effet de serre (GES), mais à l’heure des tarifs douaniers, le ministre québécois de l’Environnement, Bernard Drainville, veut considérer les « coûts économiques liés à l’atteinte de la cible ».


(…).


Cible de GES : « Je dois protéger le climat et protéger les emplois », dit Drainville


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209493/cibles-ges-climat-emplois-bernard-drainville-environnement


3. Les négociations climatiques de la COP30 au Brésil entre près de 200 pays sont entrées officiellement en prolongation vendredi après deux semaines de négociations infructueuses, sans compromis en vue sur la question du pétrole, du gaz et du charbon.


Au point que l'Union européenne, sommée de donner des gages aux pays en développement, évoque ouvertement la perspective de quitter Belém sans accord, ce qui serait un échec humiliant pour le Brésil et cette première conférence climatique de l'ONU en Amazonie.


La présidence brésilienne du sommet, débuté le 10 novembre, fait défiler depuis 17 h (heure locale) petits et grands pays pour tenter de dénouer la situation : Chine, Inde, Arabie saoudite, Européens, groupe africain, Japon, Honduras, entre autres.


(…).


Prolongation pour la COP30, engluée dans la dispute sur la sortie des énergies fossiles


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2208937/nations-opposition-energies-fossiles-cop30-amazonie


Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi à la COP30 un modeste consensus sur l'action climatique sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat jugé prévisible dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques.


Près de 200 pays réunis en Amazonie brésilienne ont adopté samedi, à la COP30, un modeste consensus sur l'action climatique sans plan de sortie des énergies fossiles, un résultat décevant pour l'Europe mais salué par d'autres dans une année bouleversée par les rivalités géopolitiques.


Le Brésil espérait un symbole en Amazonie. Il a réussi à montrer que la coopération climatique n'est pas morte alors que les batailles douanières et les guerres ont pris le pas politiquement sur le climat pour de nombreux gouvernements. Les États-Unis étaient le seul grand pays absent à Belém.


(…).


COP30 : un accord climatique sans plan de sortie des énergies fossiles


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2209189/cop30-accord-climatique-energies-fossiles


4. La construction d’un nouvel oléoduc dès l’Alberta jusqu’à la Colombie Britannique, approuvé par l’imposteur premier ministre du Canada Mark Carney, est l’exemple du cynisme et de corruption programmatique électoraliste caractérisée par la mafia politique du PLC depuis 1968.


C'est officiel : le premier ministre du Canada, Mark Carney, et la première ministre de l'Alberta, Danielle Smith, ont conclu une entente qui devrait permettre, à terme, la construction d'un nouvel oléoduc pour transporter plus d'un million de barils de pétrole albertain vers l'Asie.


<< Un grand jour pour le Canada>>, a déclaré M. Carney juste avant la signature de l'accord, à Calgary. À ses côtés, Danielle Smith, tout sourire, a parlé d'une entente << pour enlever ou réviser les lois qui pèsent sur le climat d'investissement >> dans sa province.


(…).


Ottawa donne officiellement le feu vert à un nouvel oléoduc en Alberta


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2210097/mark-carney-accord-alberta-oleoduc


5. Le document présenté aujourd’hui, 5 décembre 2025, par le Gouvernement du 45-47ème Président des États-Unis, précise davantage les objectifs prioritaires du Nouvel Ordre Mondial du Président Trump. Ce document intitulé Stratégie de sécurité nationale reflète sa détermination patriote-nationaliste pour sauver les États-Unis comme 1ère puissance mondiale face à leurs adversaires mondialistes et avides de détrôner cette puissance globale par des multiples moyens institutionnels, technologiques, commerciaux, militaires, monétaires financés par les mêmes États-Unis d’Amérique :


L'ère du libre-échange et de la mondialisation tous azimuts est bel et bien terminée aux États-Unis, si l'on en croit la nouvelle « Stratégie de sécurité nationale » dévoilée par l’administration Trump.


<< Au cours des neuf derniers mois, nous avons ramené notre nation – et le monde – [qui était] au bord de la catastrophe et du désastre. >> Extrait du préambule rédigé par Donald Trump


Selon le document d’une trentaine de pages, qui établit les priorités et les objectifs du gouvernement américain en matière de sécurité nationale, d’économie, d’énergie et de relations internationales, << le seul objectif >> de l’administration américaine sera désormais la protection des intérêts nationaux fondamentaux.


(…).


<< Nous voulons un monde où la migration n'est pas simplement ordonnée, mais où les pays souverains travaillent ensemble pour arrêter plutôt que faciliter les flux de population déstabilisateurs, et ont un contrôle total sur qui ils admettent et n'admettent pas >>, statue le document présidentiel.


(…).


Dans le contexte de la guerre tarifaire qui embrase depuis le printemps ses relations commerciales, Washington somme notamment le Canada, le Mexique, l’Europe et le Japon à adopter des politiques commerciales plus sévères envers la Chine. Un alignement que l’administration Trump entend << encourager >> en usant au besoin de pressions commerciales ou tarifaires.


Le temps où le Canada pouvait diversifier ses échanges commerciaux à sa guise avec l'Asie tout en profitant de l’accord de libre-échange avec les États-Unis pourrait bientôt tirer à sa fin.


La volonté des États-Unis de rapatrier sur leur territoire les chaînes d'approvisionnement industrielles et les entreprises menace également le secteur manufacturier de l’Ontario et du Québec.


(…).


La « protection des intérêts nationaux » devient la priorité absolue de Donald Trump


La nouvelle « Stratégie de sécurité nationale » du président Trump déclare la guerre à l'immigration massive.


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2211936/strategie-securite-nationale-etats-unis-trump



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