Bilinguisme

6ième année

Pourquoi ne parle-t-on jamais du bilinguisme des anglophones?

Tribune libre

Et allons-y pour l'anglais intensif pour la seconde moitié de la 6ième année. A la limite ça peut aller. Mais pourquoi ne parle-t-on de bilinguisme que pour les francophones de 6ième année? Pourquoi ? Pourquoi ne parle-t-on jamais du bilinguisme des anglophones?
Et les anglophones et les allophones québécois n'auraient pas à faire le même parcourt en français? Seconde moitié de la 6ième année des écoles anglaises en français.
Belle équité envers nous les francophones. Et les anglos doivent bien se marrer.
A ce que je sache la langue officielle du Québec est bien le français!
A croire que le Québec est encore gouverné par les anglos.


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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    2 mars 2011

    Ils n'imposeront pas la langue française en 6ième année au réseau scolaire anglophone de la manière dont ils imposeront l'anglais aux francophones aux élèves de même niveau, car Charest et sa clique auraient beaucoup trop peur de la réaction outragée du Canada anglais ainsi que celle du Québec anglophone.
    La réaction de colonisé du gouvernement Charest montre bien qu'il ne désire aucunement que la langue publique commune au Québec soit le français, mais bel et bien l'anglais.
    Les étrangers qui viendront alors s'établir au Québec comprendront bien vite que le français est une langue de seconde importance tout juste bonne pour être pratiquée entre eux par les natifs de la bourgade.
    En bon colonisé qu'il est, Charest rempli docilement et à merveille le mandat que le Canada anglais lui avait confié en lui poussant dans le dos pour qu'il vienne au Québec.
    Jacques L. (Trois-Rivières)

  • Archives de Vigile Répondre

    2 mars 2011

    Sur le terrain, on voit ce que ça donne! J'ai un neveu de langue maternelle française qui a eu le droit (lien parental-Cour suprême) de fréquenter l'école anglaise à Sept-Iles. Résultat: il parle anglais, mais, à la fin du secondaire, il est incapable de lire un mot de français.
    J'ai aussi trois cousines qui ont eu le même droit de fréquenter l'école anglaise, à Québec cette fois. La plus âgée est «bilingue», parce qu'elle a appris le français «dans la rue», comme s'est félicité son père (!). Mais la famille a déménagé à Montréal. Résultat: les deux autres cousines sont «unilingue anglais».
    Quel «crime contre l'humanité» a été évité, comme dirait Bouchard. Comme Trudeau avant lui.l