Amanda Simard, la rebelle

La députée de Glengarry-Prescott-Russell se range derrière la position du NPD...et claque la porte du Parti progressiste-conservateur

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Tribune libre

La députée de Glengarry-Prescott-Russell, une circonscription francophone à 70 %, Amanda Simard, persiste et signe : sabrer dans les services francophones est inadmissible, une position faisant référence à l’abolition du poste de commissaire aux services en français et à l’abandon du projet de l’Université de l’Ontario français par le gouvernement de Doug Ford.


Comme seule députée franco-ontarienne du caucus conservateur, Mme Simard argue, à raison, qu’elle aurait dû être consultée sur des décisions qui gravitent autour d’enjeux francophones.


Quoique consciente de l’imbroglio causée au sein du caucus par ses positions contre la majorité, Amanda Simard s’est attelée à la tâche de convaincre les autres membres de la députation de modifier l’énoncé économique automnal dans lequel le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford a discrètement annoncé les deux mesures qui ont suscité la colère des communautés francophones du pays tout entier.


De maintenir une dissidence avec autant de détermination relève, à mes yeux, d’un exploit qui mérite d’être souligné avec force auprès de tous les franco-canadiens pour qui Amanda Simard devrait se révéler un modèle de courage hors du commun! 


https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/amanda-simard-se-range-derrière-le-npd/ar-BBQdw13?ocid=spartandhp


Dernière nouvelle...


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1138767/depart-amanda-simard-conservateurs-doug-ford

 


Henri Marineau, Québec


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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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