Une attitude méprisante!
Comme vous et moi, nous connaissons bien la mosaïque humaine. Il y a eu, il y a et il y aura toujours des gens qui n'apprennent pas à se mêler de leurs affaires. Pire encore, ils ne désirent pas le faire et se pensent habiletés à le faire au nom d'un pays entier croyant que leur rôle est, comme un justifier, de sauver un pays.
Non mais, de quoi se mêle la première ministre de la suprême, honorable, merveilleuse et surtout indispensable Colombie-Britannique où l'on respecte si bien les deux langues officielles: l'anglais et le mandarin. ( Français, connaît pas! ). Cette chère femme se nomme Mme Christy Clark.
Je tiens à féliciter cette dame qui possède parfaitement l'art de se mettre les pieds dans la bouche. Je dirais qu'elle est médaillée d'or à ce sujet. Si vous le voulez, regardons et analysons ses chef-d'oeuvres de déclarations à saveur de clown.
MES RÉPONSES OU RÉPLIQUES SONT EN CARACTÈRES GRAS.
1- Le Québec d’aujourd’hui n’étant plus celui d’il y a vingt ou trente ans, Pierre Karl Péladeau échouera s’il tente de «briser le Canada», croit la première ministre de la Colombie-Britannique, Christy Clark. C'est justement parce que le Québec d'aujourd'hui n'est plus ce qu'il était, que le temps presse et que le Canada, dans sa structure administrative actuelle ne répond pas du tout aux exigences des Québécois.

2- «Le PQ a toujours échoué (dans ses tentatives) de briser le Canada, à chaque fois qu’il a essayé». C'est parce que les Canadiens des autres provinces ne se mêlaient pas de leurs affaires. Ce n'est pas aux gens de la Saskatchewan ou de la Colombie-Britannique à décider pour nous. Tassez-vous!

3- «Je ne crois pas qu’ils (les péquistes) vont avoir plus de succès dans le futur et la raison pour laquelle je n’y crois pas, c’est que les Québécois ne sont pas différents des Britanno-Colombiens». Comment, avec son amour pour le Canada, peut-elle croire et aimer le Québec??? AU FOND, SAIT-ELLE QUE LE QUÉBEC EXISTE.

4- «Il y a une génération de gens qui regardent en avant, des citoyens du monde qui sont intéressés dans la création de la richesse. Bâtir leurs vies. Être partie prenante du monde, non seulement d’une partie du Québec ou du Canada», a déclaré la première ministre Clark. C'est justement, regarder en avant signifie faire du Québec un pays. L'avenir n'est pas derrière avec le Canada, il est plutôt devant avec le Québec.

5- «Je sais que M. Péladeau a de grandes ambitions, mais je pense que ses ambitions demeureront insatisfaites à long terme», a-t-elle indiqué. Elle a le droit de penser ce qu'elle veut, mais elle sera amèrement déçue.

Par ailleurs, le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Stephen McNeil a fait deux braillantes déclarations à la saveur Christy Clark.
A- Philippe Couillard s'avère un représentant hors pair pour le Québec. Quand on fait la génuflexion de parler anglais et de parler ainsi leur langue, on est donc gentil, beau, aimable et intelligent. Quand M. McNeill parle-t-il français???

B- Le rôle des membres du Conseil de la fédération est entre autres de travailler à «ce qui est le mieux pour le Canada». Le Canada n'est pas le Québec. Quand on travaille pour le Canada on travaille contre le Québec.

Maintenant, voici le tour de notre bon ami Brad Wall de la Saskatchewan.
A- «Les Québécois peuvent avoir l’assurance qu’ils ont un porte-parole énergique, direct et efficace, croyez-moi, pour le Québec», a lancé le premier ministre de la Saskatchewan, Brad Wall. Bien oui, quand on dit et pense comme eux, nous sommes beaux. Ce n'est pas nouveau.