Immigration : traitement de choc au Danemark, renoncement en France

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Le Danemark, un modèle contre l’invasion migratoire

La Première ministre sociale-démocrate, Mette Frederiksen,

 qui annonce « zéro demandeur d’asile en 2030 »


Immigration : traitement de choc au Danemark, mais Macron se soumet et poursuit sa politique d’invasion. Quand le Danemark se verrouille, la France accueille toute la planète.


Entre 2015 et 2021, les demandes d’asile ont été divisées par 10 au Danemark, mais ont augmenté de 25 % en France. Et seulement 3 % des déboutés sont expulsés.


Valeurs Actuelles nous livre un excellent dossier sur l’immigration et la méthode danoise.



Immigration : au Danemark, la volonté populaire prime sur Bruxelles



Mais avant de résumer ce programme, il convient de rappeler que le Danemark bénéficie depuis 1992, date de son « non » à Maastricht, d’une clause d’exemption lui permettant de s’affranchir des règles bruxelloises sur l’immigration.


Mais le peuple français, lui, a  voté « oui » au traité de Maastricht, il n’a donc  pas eu droit à cette clause d’exemption et ne maîtrise plus sa politique migratoire, entièrement aux mains des ayatollahs de Bruxelles.


Ce qui d’ailleurs, convient parfaitement à tous nos immigrationnistes que sont Sarkozy, Hollande ou Macron, tous totalement en phase avec les délires mondialistes de l’UE.


En matière d’asile et d’immigration, le Danemark a donc carte blanche pour décider de sa politique. 


Et si Emmanuel Macron livre sciemment notre modèle social et culturel à la submersion migratoire, laquelle menace notre identité et notre mode de vie au nom d’un illusoire « vivre-ensemble », les Danois ont, quant à eux, fait le choix inverse. 


Au laxisme et au renoncement criminel de Macron, Copenhague oppose un traitement de choc pour éviter la désintégration du royaume scandinave, en durcissant sa politique migratoire.


Soumis à une immigration d’origine « non occidentale », selon l’expression consacrée dans le pays, le Danemark a subi une arrivée massive de migrants venus de Turquie, du Pakistan, d’Irak, du Liban, de Somalie, d’ex-Yougoslavie, d’Iran ou de Syrie.


Les problèmes d’intégration n’ont pas tardé à surgir, avec ghettos, économies parallèles et violences multiples, comme en France. Dans ces ghettos, le niveau de criminalité et de chômage explose.


Depuis 1994, six programmes d’intégration ont vu le jour, sans succès. Mais en 2018, un virage est opéré, en rupture totale avec l’angélisme des programmes antérieurs.


Sont ciblés les quartiers où plus de 50 % des habitants sont d’origine extra-européenne, où plus de 60 % des 39-50 ans ne sont pas allés au-delà du collège, où plus de 2,7 % des majeurs ont été condamnés pénalement, où le revenu brut par habitant est inférieur de 55 % à la moyenne, où la proportion des 18-64 ans sans emploi ni formation dépasse les 40 %.


« Des lieux où la charia prend le pas sur la loi », dit l’ex-Premier Lars Lokke Rasmussen, instigateur du nouveau programme d’intégration, qui touche le logement, l’éducation et la réponse pénale :



  • Obligation d’inscrire les enfants dans les crèches, pour apprendre la langue, la culture et les valeurs du peuple danois. À défaut, les allocations familiales sont supprimées

  • Proportion d’élèves immigrés limitée à 30 % dans le second degré

  • Doublement des peines pour les crimes commis dans les quartiers ciblés

  • Destruction des grands ensembles et réduction à 40 % la part de logements sociaux

  • Expulsion des logements sociaux en cas de délits commis par les enfants

  • Expulsion en cas de non-recherche d’emploi

  • Durcissement de l’accès à la naturalisation

  • Externalisation des demandes de d’asile au Rwanda

  • Objectif affiché par la Première ministre danoise : zéro demandeur d’asile en 2030 !

  • Retour forcé des déboutés du droit d’asile, y compris en Afghanistan ou en Syrie.


Le Danemark a largement usé de sa liberté pour traiter les problèmes d’immigration



  • En 2015, il dit non aux quotas d’accueil des migrants, imposés par Bruxelles

  • En 2016, il rétablit les contrôles aux frontières avec l’Allemagne

  • En 2016, il confisque les biens des demandeurs d’asile pour financer leur séjour


En Europe, les Bisounours dénoncent des atteintes au droit. Mais compte tenu du très large consensus dont bénéficie la politique de fermeté auprès des Danois de souche, les jérémiades des mondialistes ne pèsent pas bien lourd.


Cette politique sans concession a permis de faire tomber le nombre de demandes d’asile de 25 000 en 2015 à 2600 en 2021.


Et quand bien même certaines dispositions s’opposeraient aux conventions internationales relatives au droit des réfugiés, la loi danoise a autorité sur tous les autres textes, au nom de la raison d’État.


Il est clair que ce ne sont ni Macron, ni Darmanin, ni Dupond-Moretti qui sont capables de protéger le peuple français contre le naufrage identitaire et culturel.


Le projet de Darmanin sur l’immigration est un catalogue de vœux pieux qui ne changeront rien au quotidien des Français, qui voient leur pays s’effondrer de jour en jour.


L’intérêt supérieur de la nation, c’est une notion totalement étrangère à Macron, qui sacrifie la France aux intérêts de l’Europe. C’est le pire fossoyeur de la France que le peuple vient de réélire, sans comprendre qu’il avait une chance inespérée de sortir de cette spirale immigrationniste infernale, qui va tout emporter.