MONDIALISME

La séparation et ses mécontents

Pourquoi l'antisémitisme ?

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Raison du refus:
Texte qui pourrait entraîner des poursuites judiciaires à l'encontre de Vigile pour « incitation à la haine ». Merci de votre compréhension.

Avertissement : dans cet article, nous faisons nôtres les précisions sur l’expression « les juifs » à la page 15 du livre de l’abbé Olivier Rioult, La question juive. Synthèse aux Éditions Saint-Rémi : « L’expression “les juifs” caractérise l’idéologie juive sans pour autant englober toutes les individualités juives. L’expression “les juifs” ne désigne donc pas tel ou tel juif ni tous les juifs, mais elle désigne ce qui leur est objectivement commun, ce qui les définit officiellement, socialement, religieusement, c’est-à-dire le judaïsme. »


***


Selon la version officielle, l’antisémitisme serait dû à une haine irrationnelle envers un peuple totalement inoffensif, mais victime depuis la nuit des temps de la pire persécution gratuite que l’on puisse imaginer.


Mais comme le dit le professeur, Kevin Macdonald, dans son livre, Seperations and its miscontents. Towards an evolutionnary theory of anti-semitism (La séparation et ses mécontents. Vers une théorie évolutionniste sur l’antisémitisme) ce sentiment anti-juif est trop persistant et omniprésent pour être irrationnel et ce qui frappe à son sujet, précise Macdonald, « c’est que peu importe l’endroit ou l’époque, les reproches qui sont faits aux juifs sont quasiment identiques. »


Cette antipathie ne se limite pas en effet à certains types de sociétés, mais selon Macdonald, semble être de nature universelle : « on trouve de l’antisémitisme dans une très grande variété de sociétés aussi bien occidentales que non occidentales, autant chez les chrétiens et les non-chrétiens que chez les précapitalistes, les capitalistes et les socialistes. (1) »


Théodore Herzl, le fondateur juif du sionisme pensait, quant à lui,  que l’hostilité envers les juifs était une conséquence naturelle de leur comportement : « Cette réaction parfaitement compréhensible fait suite aux défauts des juifs. (2) […] Les juifs sont un peuple distinct et séparé des autres, dont les intérêts sont différents, et souvent en conflit avec ceux des peuples parmi lesquels ils vivent. (3) »


Un sentiment partagé par Chaim Weizmann, le premier président d’Israël : « Chaque fois que dans un pays le nombre de juifs atteint un certain niveau de saturation, ce pays réagit contre eux… Or, cette réaction n’est pas de l’antisémitisme au sens ordinaire ou vulgaire du mot, mais une conséquence sociale et économique universelle de l’immigration juive ; il est impossible de ne pas en tenir compte. (4) »


Mais quelles sont donc les causes les plus fréquentes d’antisémitisme ?


Haine des non-juifs en général, mais surtout des chrétiens de race blanche


« Dès les origines, écrit l’Abbée Olivier Rioult, dans sa synthèse de la question juive, des juifs ont manifesté un antichristianisme multiforme, violent et permanent contre le Christ et les chrétiens. (5) » Plus généralement, cette haine des non-juifs s’exprime ouvertement dans leur livre sacré, le Talmud, « le livre le plus haineux, le plus raciste et le plus pervers qui ait jamais été écrit dans toute l’histoire de l’humanité (6) », constate l’Abbé Rioult.


« À la télévision et au cinéma, explique quant à lui, Hervé Ryssen, dans son livre-DVD documentaire, Satan à Hollywood. La christianophobie au cinéma, les chrétiens et principalement les catholiques sont le plus souvent représentés comme des gens bigots, bornés et intolérants, voire comme des violeurs ou des assassins. Quant au clergé catholique, il est le plus souvent dépeint comme un repère de sadiques. (7) »


Mais ce sont aussi les Blancs qui sont visés par les producteurs juifs à travers les catholiques qui ne sont jamais de race noire. Ainsi, dans les films et les téléséries, les Blancs sont des salauds et des pauvres types alors que les hommes des autres races sont toujours gentils, intelligents et débrouillards, la coqueluche des femmes blanches qui n’ont d’yeux que pour eux. L’objectif de ces stéréotypes stigmatisants, explique Ryssen, « est de culpabiliser suffisamment les Blancs pour qu’ils acceptent sans résister l’immigration de remplacement, le multiculturalisme et le métissage. (8) »


Vous pouvez facilement constater cette haine des catholiques de race blanche et des Blancs en général quasiment au quotidien, notamment dans les médias de propagande américains qui sont tous à l’instar d’Hollywood entre les mains de millionnaires juifs. CBS, ABC, NBC, CNN, PBS, The New York Times, The Washington Post, The Wall Street Journal, pour ne nommer que les plus connus, n’ont qu’un seul but dans la vie : salir la religion catholique, diaboliser la race blanche et monter contre elle les minorités visibles et les gauchistes blancs qui à force de se faire dire dans les écoles et partout que leur race est pourrie, l’a déteste davantage que les minorités elles-mêmes (9).


Le népotisme, l’intimidation médiatique, la corruption et la victimisation shoatique


Les enfants de la cabale sont paraît-il, intelligents, plus intelligents génétiquement que nous, les Blancs non-juifs. C’est ce qui expliquerait en partie pourquoi ils ont toujours eu beaucoup de succès dans presque tous les secteurs. Pourquoi pas, après tout, que les meilleurs gagnent du moment qu’ils ne nuisent pas au bien commun, car c’est vraiment cela le seul critère valide. Veulent-ils le bien de tout le monde ou seulement celui de leur propre tribu ? Et puis, sont-ils vraiment les meilleurs ?


Non, affirme Ron Unz, le rédacteur juif du site internet conservateur le plus influent en Amérique, The Ron Unz Review : « Compte tenu de la piètre performance des étudiants juifs dans les tests d’admission, il est totalement absurde et ridicule qu’ils soient admis en si grand nombre dans les universités d’élite des États-Unis. […] Ils sont apparemment admis à une fréquence 1000 % plus élevée que les étudiants blancs aussi méritants intellectuellement ».


Comment est-ce possible, les étudiants blancs étant 30 à 40 fois plus nombreux ?


Eh bien, selon Ron Unz, ce ne serait pas dû au népotisme, mais « ce n’est pas totalement clair », écrit Unz, hésitant et visiblement gêné, « et je ne pense pas que ce soit le cas », même si la plupart des doyens de ces institutions vénérables sont juifs, tout comme un nombre disproportionné d’administrateurs et de professeurs.


Unz penche plutôt sur la pression des médias américains qui sont tous sous contrôle juif. Ainsi, à la moindre baisse des effectifs juifs, les chiens de garde de la tribu ont vite fait de crier à l’antisémitisme, ce qui se traduit par une hausse subséquente du nombre des étudiants juifs. Les préposés aux admissions, qui sont mal payés et susceptibles d’être corrompus par les parents richissimes des postulants juifs, seraient également responsables de ce parti pris systématique.


Mais d’après, Ron Unz, la plus grande part de ce favoritisme serait due à la Shoah. Il suffirait en effet pour être admis que les candidats juifs jouent la carte de la grand-mère gazée à Auschwitz (10). À l’instar du prétendu racisme envers les minorités visibles, la victimisation shoatique est à la fois un bouclier contre l’antisémitisme et un sésame, au grand dam des étudiants blancs qui ne voient pas d’un bon œil cette discrimination insupportable qu’il leur est interdit de dénoncer publiquement sous peine de passer pour des antisémites.


L’hyper ethnocentrisme


Le fait d’être plus loyaux envers leur propre peuple qu’envers la nation dans laquelle ils vivent, le fait de constituer une « nation à l’intérieur d’une nation » ne les aide pas non plus à se faire aimer. Comme l’a montré de façon convaincante, Kevin Macdonald, dans son livre, La séparation et ses mécontents, l’hyper ethnocentrisme des juifs fait en sorte que les autres communautés parmi lesquelles ils vivent, n’existent pas. « Dans les cas extrêmes, note Macdonald, lorsque l’identification au groupe est très forte, le monde se divise en deux groupes, celui des juifs et celui des gentils, ce dernier groupe devenant une masse homogène sans caractéristiques définies autre que le fait de ne pas être juive. » Ce tribalisme exacerbé a toujours été au cours de l’histoire une source constante d’hostilité populaire. Que ce soit dans la Rome antique, au Moyen-Âge ou aujourd’hui, les juifs ont toujours placé leurs intérêts communautaires au-dessus du bien commun. Ils n’aiment qu’eux-mêmes. C’est plus fort qu’eux, « c’est biologique », souligne Macdonald (11).


La duplicité


Refuser de s’assimiler est une chose, mais faire semblant de s’assimiler tout en demeurant juif et hostile à la majorité relève de la plus extraordinaire duplicité qui soit. Lorsque le philosophe juif, Alain Finkelkraut, est en France, il clame à qui veut l’entendre son amour de la France, mais lorsqu’il est en Israël, la France n’a plus droit à son amour : « Je suis né à Paris et suis fils d’immigrants polonais, mon père a été déporté de France, ses parents ont été déportés et assassinés à Auschwitz, mon père est rentré d’Auschwitz en France. Ce pays mérite notre haine. (12) ».


Le journaliste Éric Zemmour quant à lui est l‘incarnation parfaite du juif perfide. En public, sur les plateaux de télévision, il est plus Français que les Français non-juifs eux-mêmes, mais en privé, chez lui ou à la synagogue, « il suit tous les rituels du judaïsme non par obligation religieuse, puisqu’il est athée, précise l’historien de la religion, Youssef Hindi, mais par appartenance raciale et tribale » (13).


Or, cette extraordinaire duplicité pose problème à bien des gens qui voient d’un mauvais œil cette communauté qui se prétend assimilée, mais qui n’agit qu’en fonction de ses intérêts.


Le type d’occupation


En Europe médiévale, l’impopularité des juifs s’expliquait en grande partie par leurs activités professionnelles. Ils travaillaient surtout comme courtiers ou marchands. Le travail manuel les révulsait. Comme les chrétiens n’avaient pas le droit de pratiquer l’usure, ils avaient le monopole du commerce de l’argent, prêtant à un taux d’intérêt entre 20 % à 40 %, voire 65 %. Une partie de cet argent, explique Macdonald, était versé sous forme de taxes aux rois et aux aristocrates avec qui ils nouaient des alliances. C’était aussi des collecteurs de taxes exemplaires, car se sentant séparés de la nation qu’ils habitaient, ils avaient peu de scrupules à percevoir les taxes les plus injustes. Connus pour leur dureté, les peuples les détestaient. Mais les nobles qui s’en servaient pour s’enrichir les protégeaient contre les jacqueries qu’ils déclenchaient par leur comportement (14).


Et ça n’a guère changé, les juifs sont toujours le peuple de l’argent. Leur implication disproportionnée en regard de leur minuscule poids démographique, dans la finance, l’usure, la spéculation, les escroqueries financières comme la taxe carbone et dans une grande variété de commerces illicites comme la traite des blanches, le commerce des organes et de la drogue est notoire (15).


C’est surtout grâce à leur richesse qu’ils peuvent par ailleurs acheter les politiciens, contrôler les médias et promouvoir leurs intérêts (16).


Est-ce pour ces raisons aussi que beaucoup de gens les détestent ?


Le tabou juif


« La plupart des gens savent, écrit Charles Bausman, rédacteur en chef du site, Russian Insider, dans un article intitulé, Il est temps de lever le tabou juif, qu’il est strictement tabou d’employer le mot « juif » pour critiquer les juifs en tant que groupe dans les médias. On ne peut même pas critiquer un petit sous-ensemble de juifs, un minuscule pourcentage de la population juive, même lorsqu’ils le méritent pleinement. (17) »


Or, ce tabou juif est une autre cause d’antisémitisme qui trouve parfois, selon l’intellectuel catholique, E. Michael Jones, un exutoire dans un attentat comme celui de la synagogue juive de Pittsburgh (18).  « Faut que ça cesse, s’écrie Michael Jones sur une chaine YouTube slovaque, on doit avoir le droit de les critiquer sans passer pour des antisémites. Ces gens-là, si on les laisse faire, vont nous amener droit vers une guerre mondiale (19).


Références


1. Kevin Macdonald (2004). Seperation and its discontents. Toward an evolutionary theory of anti-semitism. 1st Books.


2. Cité par Mark Weber dans : Anti-Semitism: Why Does It Exist? And Why Does it Persist? Institute of Historical Review [en ligne].


3. Kevin Macdonald. Ouvrage cité, p. 57.


4. Chaim Weizmann (1949). Trial and Error, p. 90. Cité par Mark Weber. Article cité.


5. Abbé Olivier Rioult (2018). De la question juive. Synthèse. Éditions Saint Agobard, p. 33.


6. Ibid, p. 59.


7. Hervé Ryssen (2016). Satan à Hollywood. La christianophobie au cinéma. DVD et livre. Baskerville.


8. Ibid.


9. Robert S. Griffin (2001). The Fame of a Dead Man’s Deeds. Up-Close Portrait of White Nationalist, William Pierce. 1stBooks, pp. 296-304. Sur le pouvoir des médias.


10. Ron Unz (2018). Racial discrimination at Harvard. The Unz Review: An Alternative Media Selection. A Collection of Interesting, Important, and Controversial Perspectives Largely Excluded from the American Mainstream Media [en ligne].


11. Kevin MacDonald. Ouvrage cité, p. 187.


12. Youssef Hindi (2018). Éric Zemmour : assimilation ou dissimulation ? www.youssefhindi.fr


13. Ibid.


14. Kevin Macdonald. Ouvrage cité.


15. Hervé Ryssen (2014). Les milliards d'Israël, escrocs juifs et financiers internationaux. Baskerville.


16. Philip Giraldi (2019). Jewish Power Rolls Over Washington. AIPAC gathering is full of lies and liars. The Unz Review [en ligne].


17. Charles Bausman (2018). It’s time to end the Jewish Taboo. Russian Insider [en ligne].


18. E. Michael Jones (2019). La vraie cause de la fusillade à la synagogue de Pittsburgh (version française). E. Michael Jones Chanel. YouTube [en ligne].


19. E. Michael Jones: Musíte sa postaviť židovskej tyranii! (You have to stand up to the Jewish tyranny!). YouTube [en ligne].


 


 


 


 


 


 


 



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