Place au théâtre!

Le vrai visage de Justin Trudeau...

un comédien de haut niveau qui s’est vu octroyer le « rôle » de premier ministre du Canada

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Tribune libre

D’entrée de jeu, voici les grandes lignes de la formation académique et des diverses professions exercées par Justin Trudeau avant son saut en politique, tel que relatées dans L’encyclopédie canadienne :


« Quand Justin a 12 ans, Pierre se retire de la politique. Le père et ses fils déménagent à Montréal où Justin fait ses études secondaires au Collège Jean-de-Brébeuf, l’alma mater de son père.


Justin Trudeau fréquente l’Université McGill où il devient membre de l’équipe de débats et bénévole au centre d’agression sexuelle mis sur pied par les étudiants. Après avoir obtenu son B.A. en littérature anglaise en 1994, il voyage durant un an à l’étranger. Il revient à McGill où il étudie pour devenir enseignant. Avant d’avoir obtenu son diplôme, Justin Trudeau déménage à Whistler, en Colombie-Britannique, où il devient instructeur de planche à neige et travaille comme portier dans une boîte de nuit. Après plusieurs mois, il reprend ses études, cette fois-ci à l’Université de la Colombie-Britannique où il décroche un baccalauréat en enseignement en 1998.


Après avoir occupé le poste d’enseignant suppléant à Coquitlam, en Colombie-Britannique, il décroche un poste permanent à la West Point Grey Academy, une école privée située à Vancouver, où il enseigne le français et les mathématiques. Il passe éventuellement au système d’écoles publiques et enseigne à la Sir Winston Churchill Secondary School à Vancouver. »  - L’encyclopédie canadienne


https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/justin-trudeau


Trudeau, l’homme de théâtre


« J’ai de plus en plus l’impression que l’homme que nous avons élu à la tête du Canada n’est en fait qu’un comédien qui chaque jour, joue un rôle, celui de premier ministre. »


Sylvain Lévesque, Journal de Montréal, 20 février 2018 


https://www.journaldequebec.com/2018/02/20/trudeau-le-comedien


Bock-Côté en remet...


« Manifestement, Justin Trudeau n’aime rien tant au monde que se déguiser. Il entre dans la peau d’un personnage, il se donne un air grave, absolument pénétré par son rôle, et si on lui demande, il pleure sur commande. »


https://www.journaldemontreal.com/2018/02/22/trudeau-et-ses-deguisements?fbclid=IwAR3Gt2NDWHzLsY1XIgWESvU68iYbmz7ZK5w3AO9tDQosfBMj1k6hKaUzB9Q


J’ai eu personnellement la chance de jouer dans quelques pièces de théâtre amateur aux cours de mes études classiques. Lors de ma dernière année, j’ai pu interpréter le rôle de Tarzan dans la pièce Zone de Marcel Dubé, aux côtés du comédien Raymond Bouchard et assisté de la comédienne Monique Lepage et du comédien Yvon Dufour. Des conseils de ces comédiens chevronnés, j’ai retenu, entre autres, qu’une des plus grandes qualités d’un comédien, c’est d’arriver à « embarquer » son auditoire dans le personnage qu’il joue. Autrement dit, il doit être crédible.


Or, j’ai eu l’occasion d’observer à maintes reprises, chez Justin Trudeau, des mimiques du visage et des changements d’intonation qui se rapprochaient nettement de l’interprétation d’un rôle au théâtre, parvenant même à susciter une émotion aux bords des larmes pour gagner en crédibilité auprès de son auditoire.


Tel est, à mes yeux, le vrai visage de Justin Trudeau, un comédien de haut niveau qui s’est vu offert sur un plateau d’argent par une majorité de la population le « rôle » de premier ministre du Canada!


***


Trudeau n'est pas sorti du bois...


Si les libéraux de Justin Trudeau croyaient être enfin libérés du poids qui pesait sur eux eu égard à l’affaire SNC-Lavalin en expulsant Jody Wilson-Raybould et Jane Philpott du caucus, j’ai bien l’impression qu’ils devront réviser leur stratégie et s’apprêter à recevoir de nouvelles révélations de la part des deux « moutons noirs ».


À ce sujet, l’enregistrement audio fourni par Jodi Wilson-Raybould au comité permanent de la justice et des droits de la personne se révèle fort révélateur. On y apprend, entre autres, que le greffier du Conseil privé, Michael Wernick, a plaidé auprès de l’ex-ministre de la Justice que le premier ministre voulait pouvoir dire qu'il avait «tenté par tous les moyens légaux possibles de tuer le problème» de SNC-Lavalin «dans l'oeuf», et qu’il voulait comprendre pourquoi on refusait de recourir à un effort de réparation et comptait «parvenir à ses fins d'une façon ou d'une autre».


«Je suis convaincue à 100% que je n'ai rien fait d'inapproprié», a-t-elle affirmé au fil de cette discussion, alors que le plus haut fonctionnaire du gouvernement revenait à la charge.


«Non, bien sûr, mais peut-être que vous le seriez moins si vous décidiez d'appliquer l'un ou l'autre des outils prévus par la loi... Je crois qu'il veut que le gouvernement fasse tout en son pouvoir pour éviter la perte de 9000 emplois... et d'une entreprise canadienne de renom», lui a répondu M. Wernick.


«Oui, bon... encore une fois, je suis convaincue de ma décision, et ma position n'a pas changé à l'égard de SNC. On parle ici du principe constitutionnel de l'indépendance judiciaire. Michael, je dois dire que cette conversation, et les précédentes que j'ai eues avec le premier ministre et bien d'autres à ce sujet, est absolument inappropriée et que cela constitue de l'ingérence politique», a-t-elle répliqué.


Depuis lors, les deux comparses ne se gênent pas pour susciter leur présence dans les médias sociaux, et il semble bien que leur manège ne soit pas sur le point de cesser.


« Je ne serais pas surpris de les voir se lancer dans une tournée médiatique, de passer à la télé, pour parler de leur expérience, soutient l’expert en gestion de crise. Comme elles ne sont plus membres du parti, elles ont une marge de manœuvre plus importante. » affirme le politologue de l’Université Laval, Thierry Giasson.


Par ailleurs, les députés libéraux clament ad nauséam qu’ils respectent les champs de compétence du nouveau ministre de la Justice, David Lametti. Or, il s'avère que le procureur général n'a de cesse d'entendre jour après jour le caucus libéral monter aux nues les bienfaits d'une entente de réparation avec SNC-Lavalin. 


« Si ce n’est pas de la pression, je ne sais pas ce que c’est, argue M. Giasson. Les libéraux n’ont pas conscience de ce qu’ils disent. » 


En dernière heure...


https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/jane-philpott-affirme-que-justin-trudeau-a-enfreint-la-loi-en-lexpulsant/ar-BBVLHOX?ocid=spartandhp



https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/jane-philpott-veut-que-la-légalité-de-son-expulsion-soit-examinée/ar-BBVLHOX?ocid=spartandhp




Henri Marineau, Québec


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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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