De connaissance générale, tout le monde sait que c'est le PEUPLE, ce sont les citoyennes et citoyens qui votent pour faire élire ses représentants. C'est vrai au Québec et c'est vrai dans tous les Pays où les personnes sont appelées à voter pour élire leurs représentants.

Les ÉLUS, quels qu'ils soient, est-il possible qu'ils se doivent de satistaire à d'autres exigences?

Des organismes internationaux, telles les Nations-Unies, telle l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), tel l'OTAN, tel l'ALENA et vous pouvez en nommer bien d'autres sont de super puissances qui ont des contraintes pour tous les élus de notre système dit démocratique.

John Fitzgerald Kennedy a dit, quelque temps avant que de mourir: «Il y a des gens qui sont au-dessus de moi et ils contrôlent mes activités.» Une vidéo existe à cet égard. Ça se trouve sur la toile.

Alors, si l'homme le plus puissant de l'époque pouvait dire cela publiquement «en suppliant les journalistes d'en faire état», c'est qu'à un autre niveau, étant plus petit dans le sens que faisant partie d'un Pays moins puissant internationalement, il doit bien y avoir des contraintes également.

Croire que tel n'est pas le cas, c'est vouloir jouer à l'autruche et fabriquer des châteaux de cartes.

Le Québec n'a aucun contrôle sur les Banques et sur les mouvements des sommes d'argent qui se transigent dans le monde. Poser un geste en ce sens peut avoir des conséquences sur l'ensemble del'économie de notre société. Ça peut se faire, mais le jour où tous les Pays du monde se donneront les moyens d'agir en ce sens.

Tu ne peux le faire seul, dans ton coin.

Alors, que pouvons-nous faire?

C'est de faire de l'information dans notre milieu, nationalement et internationalement.

On a un rôle à jouer sur la scène internationale en parlant, en instruisant, en informant. Notre devoir, c'est d'en faire des démonstrations pour convaincre NOUS, d'abord, et le reste du monde.

Du monde convaincu, tu peux avancer.

Est-ce que notre monde est convaincu et dans quelle proportion? 5% 8%? Tu vas où avec ça ?

Dans un petit Pays d'Europe, les citoyens ont réussi à faire changer des choses et se prendre en mains. C'était et c'est un PAYS. Ce n'est pas notre cas formellement. Le Québec est dépendant. On n'a pas encore compris, ensemble, nationalement, nous, les Québécois de se donner NOTRE PAYS.

Par deux fois on s'est dit NON.

Certains nous font accroire que avec EUX, tout se ferait magiquement.

Depuis 58 je suis très actif politiquement, socialement, pédagogiquement. Des vessies pour des lanternes, on en a connu et on en voit encore. On ne se laisse pas avoir par les beaux parleurs.

Ils sont là, ils sont utiles pour la diffusion de la volonté de l'Indépendance et on peut les en remercier pour ce qu'ils font, à cet égard.

TOUT LE MONDE EST LIBRE et on n'attache personne au Québec.

La LIBERTÉ permet d'aller dans le sens que l'on souhaite pour le bien personnel et collectif.

On est tous d'accord là-dessus. Du moins, je le pense.

Les changements qui s'imposent financièrement pourraient se faire soit INTERNATIONALEMENT, avec tous les Pays, par une décision prise unanimement ou en grande majorité par l'Assemblée générale des Nations-Unies ou par le fait d'un PAYS indépendant.
Dans ce dernier cas, il serait avantageux d'avoir une quasi unanimité de notre population pour réussir sans trop de complications à l'international.

Robert Bertrand,
2013/02/20
Québec.
Taxe sur le capital des entreprises
Le ministre Marceau ferme la porte
http://www.journaldemontreal.com/2013/02/19/le-ministre-marceau-ferme-la-porte