Affaire Michaud-Bouchard

Quel député s’est excusé aujourd’hui

ou s’est expliqué clairement ?

Tribune libre

Réveillez-vous, députés coupables du PQ, vous qui n’avez pas encore eu le courage de vous excuser d’avoir blâmé injustement M. Yves Michaud le 14 décembre 2000. Ça va faire 10 ans bientôt, pas nécessaire d’attendre un autre mois pour faire les 10 ans au complet de silence coupable, maintenant que Messieurs Landry, Facal et Mme Beaudoin l’on fait librement, suite à la parution récente du livre de Gaston Deschênes, ancien directeur de la recherche à l'Assemblée nationale, "Mon exécution parlementaire", sur l’odieuse affaire Michaud-Bouchard.
Celles et ceux du PQ, qui siègent encore à notre Assemblée nationale et qui n’ont pas encore eu le courage de reconnaître leurs fautes ou de dire clairement pourquoi ils avaient eu raison de voter ainsi, sans savoir ce que M. Michaud avait réellement dit sont au nombre de 8 : Pauline Marois, Agnès Maltais, Nicole Léger, Claude Pinard, Sylvain Simard, François Gendron, Stéphane Bédard et Danielle Doyer.
Il va sans dire que les députés du PLQ et celui de l’ADQ, aussi coupables mais moins du genre à compter dans leur propre filet, vu que c’était contre un adversaire, devraient s’excuser aussi. Ceux qui siègent encore à notre Assemblée nationale sont au nombre de 13 : Jean Charest, Pierre Paradis, Yvon Vallières, Laurence S. Bergman, Fatima Houda-Pepin, François-Henri Gautrin, Jean-Marc Fournier, Pierre Marsan, Line Beauchamp, Geoffrey Kelly, David Whissell, Yvon Marcoux, François Ouimet.
Ça n’exempte pas les autres députés de tous les partis, incluant M. Dumont de l’ADQ, de s’excuser aussi, s’ils veulent faire LA chose honorable


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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    1 novembre 2010

    Les 8 députés actuels du PQ, coupables d'avoir voté une motion de blâme envers M. Michaud le 14 décembre 2 000, s'ils s'excusent, pourraient être exemptés d'expliquer pourquoi ils l'ont fait, en se levant comme des ressorts, les uns après les autres, de leurs sièges, à l'Assemblée nationale, pour affirmer une chose fausse.
    Ils pourraient être exemptés d'explications, pour ne pas avoir à avouer qu'ils l'ont fait pour ne pas déplaire à leur chef, M. Bouchard, au carectère bouillant et par peur des Juifs, représentés par l’auteur de la motion, M. Bergman avec le vilain Boulerice qui ne représentait personne que lui-même.