Rapatriement des armoiries royales de France (sur vidéo)

Soldat Sanspareil

Tribune libre 2009

Pour rendre hommage à nos ancêtres de 1759-1760, rapatrions les armoiries
de Québec sur le sol du berceau de la Nouvelle-France, voici le vidéo en
ligne sur Tag Télé au lien suivant:
http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
Vous pourrez aussi consulter le lien internet suivant pour plus
d’informations :
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
Merci de militer pour le retour de notre patrimoine.
Soldat Sanspareil
2e Bataillon du Régiment de La Sarre
VIVE LE ROY!
http://www.regimentdelasarre.ca
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --


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5 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    4 octobre 2010

    Photo des armoiries royales de France les armoiries de Québec à Ottawa.
    Voici un lien vous permettant de voir les armoiries:
    http://www.flickr.com/photos/warmuseum/5032849589/
    Rapatrions notre patrimoine!
    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!
    http://www.regimentdelasarre.ca
    http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
    François Mitterrand
    Un peuple qui n'enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité

  • Archives de Vigile Répondre

    15 mars 2010

    Ces paroles ont étés prononcés le 28 avril 1760, l'année 2010 marquera le 250ème anniversaire de la bataille de Ste-Foy.
    En espérant que ces paroles du Chevalier de Lévis ne tombe dans l’oubli , je souhaite que ceux-ci résonnent de nouveau sur les plaines. Qui sera le porte voie?
    Citation du chevalier de Lévis lors de la bataille de Ste-Foy 1760..
    La seconde bataille des plaines d’Abraham !
    Chevalier de Lévis
    « Nos espoirs sont élevés. Notre foi dans les gens est grande. Notre courage est fort. Et nos rêves pour ce magnifique pays ne mourront jamais. »
    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!
    http://www.regimentdelasarre.ca
    http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc

  • Archives de Vigile Répondre

    12 mars 2010

    François Mitterrand
    Un peuple qui n'enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité.
    (1982, lors d'un Conseil des Ministres)
    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!
    http://www.regimentdelasarre.ca
    http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc

  • Archives de Vigile Répondre

    10 février 2010

    Cette chanson en fin de programme du moulin à paroles provenait de France en Nouvelle-France par les soldats de Montcalm venus défendre l’Amérique Française contre les troupes Anglaises.
    Voila la contribution à notre culture de ces valeureux soldats du Roy!
    À la claire fontaine est sans conteste l’une des deux ou trois chansons traditionnelles les plus populaires de France ; à l’égal d’un Frère Jacques ou d’un Au clair de la lune. Il en existe des dizaines de versions différentes, sur des mélodies allant de la ballade sentimentale à l’air de danse franchement rythmé. La majorité d’entre elles se rattachent au thème du « retour de noces » :
    « M’en revenant de noces,
    J’étais bien fatigué ;
    Au bord d’une fontaine,
    Je me suis reposé :
    L’eau y était si belle,
    Que je m’y suis baigné… »
    Ce canevas de base se décline avec toutes sortes de refrains, mais l’histoire reste toujours plus ou moins identique, avec deux déroulements possibles : selon que le narrateur est un homme ou une femme, l’« ami Pierre » de l’avant-dernier couplet devient « ma douce amie », voire « ma tendre âme », « ma belle amie », etc.
    La version notée ici (voir la première partition en sol ou en mi b du CD) est très probablement originaire de Normandie ; pourtant, c’est par le biais du Québec que la chanson nous est revenue sous cette forme. Ayant traversé l’Atlantique, vers le milieu du XIIIe siècle, avec les soldats de Montcalm – ce qui explique le rythme de marche sur lequel elle est souvent chantée –, elle servit de chant national aux patriotes franco-canadiens lors de la grande révolte de 1837 contre l’hégémonie anglaise.
    Comme beaucoup de chansons populaires, celle-ci possède cependant des origines lettrées et se retrouve déjà, sous une forme voisine, dans le recueil Brunettes ou Petits Airs tendres, édité par Christophe Ballard en 1704.
    Si la mélodie donnée par ce dernier s’appuie sur celle d’un cantique publié d’après le poète Guillaume Colletet (1598-1659), son apparentement à celle que nous connaissons encore de nos jours est quand même assez flagrant. Cependant, bien que suivant fidèlement la même histoire, les paroles qu’il indique proposent une fin sensiblement différente :
    Sur les bords de la Seine
    Me suis lavé les pieds
    D’une feuille de chesne
    Me les suis essuyez.
    Refrain
    Que ne m’a-t-on donné
    Celuy que j’ay tant aimé ?
    J’ay entendu la voix
    D’un rossignol chanter
    Chante, Rossignol, chante
    Tu as le cœur tant gay
    Tu as le cœur tant gay
    Et moy je l’ay navré
    C’est de mon amy Pierre
    Qui s’en est allé
    Je luy ay fait chose
    Qui ait pu le facher
    Hors un bouquet de roses
    Que je luy refusay
    Au milieu de la rose
    Mon cœur est enchaîné.
    N’y serrurier en France
    Qui puis’le déchaîner;
    Sinon mon ami Pierre
    Qui en a pris la clef.
    Dans certaines versions, le « bouquet de rose » est remplacé par le « bouton de rose », ce qui rend la symbolique érotique de l’histoire encore plus limpide.
    De fait, d’une région à l’autre, les variantes sont importantes et peuvent donner à la chanson une signification bien différente.
    Elle commence chez Ballard :
    « Sur les bords de la Seine
    Me suis lavé les pieds… »
    Dans les régions de l’Ouest, c’est une jeune invitée qui chante :
    « En revenant des noces
    J’étais bien fatiguée
    Au bord d’une fontaine
    Je me suis reposée… »
    Alors que nous la chantons aujourd’hui comme les Canadiens :
    « À la claire fontaine
    M’en allant promener… »
    La fontaine, la feuillée, le rossignol et le chagrin d’amour font partie du cadre traditionnel des chansons de toile (ce sont, sans doute, des arrangements savants de chansons populaires que chantaient les femmes qui travaillaient la toile – fileuses, tisseuses… Elles remontent au XIIe siècle et parlent inlassablement d’amour).
    La chanson a été interprétée sur de nombreuses mélodies, mais l’air actuel dérive du timbre original. En Poitou et au Canada, il a pris un rythme de marche plus entraînant et propre à mobiliser chouans et patriotes.
    D’après Marc Robine, Anthologie de la chanson française. La Tradition. Des trouvères aux grands auteurs du xixe siècle, Albin Michel, 2000 et Martine David et Anne-Marie Delrieu, Refrains d’enfance. Histoire de 60 chansons populaires, Herscher, 1988
    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!
    http://www.regimentdelasarre.ca
    http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
    http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc

  • Archives de Vigile Répondre

    10 novembre 2009

    Aussi disponible sur You Tube pour une qualité visuelle supérieure:

    http://www.youtube.com/watch?v=ll9ryIwWqWo