De la poudre aux yeux, une rencontre organisée par
Jean Charest pour parler d'économie.
Beaucoup d'entreprises sont financés par l'État pour créer des emplois .
C'est comme ça,s'est écriée Liza Frulla,point final à
l'émission le Club des Ex.
Pourquoi négliger la créativité des entrepreneurs eux-mêmes
et des travailleurs.
Est-ce que l'argent de l'État est si nécessaire que ça
enrichir les patrons, d'où "créer de la richesse"par Jean
Charest.
Les ententes d'engagements entre employés et employeurs
peuvent être brisées,les travailleurs n'ont rien à y dire.
Les employeurs utilisent les argents des fonds de retraite
non versés,pour solidifier leur capital; c'est autorisé
par le gouvernement Charest.
QUI sauvent les entreprises depuis le premier janvier
2009 ??
Est-ce l'argent de fond publique qui vient des impôts des
travailleurs ??
Est-ce l'argent des fonds de retraite des travailleurs ??
Allez-y, servez-vous, Jean Charest l'autorise !!!
Poudre aux yeux
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3 commentaires
Archives de Vigile Répondre
24 janvier 2010Je vous donne raison,m.Lapointe.
Mon propos était simplement qu'Emploi Québec,qui n'est pas aux premières loges,comme dans le cas que vous exposez,est par contre aux premières lignes,et quotidiennement,quand il s'agit d'appuyer les entreprises privées proches du gouvernement québécois qui,incidemment,est un gouvernement libéral si ami des entreprises privées.
L'action du gouvernement n'est pas seulement"législatif",cela met à contribution l'administration publique bien plus lourdement que l'électorat ne le soupçonne.
Vous avez bien raison : y a pas mal trop d'aide consentie à ce qu'il faut bien appeler les welfare bums.
Gilles Lapointe Répondre
24 janvier 2010@ Monsieur Haché
Croyez-vous que le gouvernement avait raison de prêter plusieurs millions de dollars
à la firme INTRAWEST au Mont-Tremblant ?
Croyez-vous qu'un nouveau acheteur sera capable de rembourser un tel prêt ??
Était-il raisonnable d'aider ainsi une entreprise multi nationale ??
Renseignez-moi s'il vous plait ??
Gilles Lapointe.
Marcel Haché Répondre
24 janvier 2010Sous l’idée-alibi que l’argent vient du Canada, dans une entente Canada-Québec, l’organisme provincial Emploi-Québec est une puissant dispensateur d’argent auprès des entreprises.
Les services destinés aux utilisateurs individuels, les citoyens, placent un voile devant ceux destinés aux entreprises : celles sans but lucratif, mais aussi les entreprises privées.
L’idée-alibi ? Oui. L’idée que l’argent vient d’Ottawa et ne proviendrait pas du Québec lui-même, de Nous, est une idée fausse. C’est sur une pareille fausseté que l’alibi prend son envol.
Un vol de basse altitude, évidemment.