L'indépendance est toujours nécessaire.

Tribune libre

M.René Lévesque s'est battu pour préserver les écoles anglaises au Québec afin de ne pas brimer les droits de la minorité anglaise.
Pourtant le Québec n'était pas encore indépendant,ni souverain et René leur accordait des droits; il négociait à l'envers. Au lieu de faire la séparation et de négocier leur demande par la suite.
L'indépendance était,est et sera nécessaire tant qu'elle ne sera pas prononcée.
Monsieur Lévesque avait tellement peur de déranger l'establishment autant anglophone que francophone qu'il a préféré dire "à une prochaine fois".
Nous voterons l'indépendance, nous écrirons et ferons adopter notre constitution provisoire à l'Assemblée Nationale.
Puis,lorsque l'adversaire fédéraliste fera des réclamations,à ce moment-là et seulement à ce moment-là
notre gouvernement négociera des ententes..!!
Peut être pouvons-nous créer et fonder une banque du
Québec"banque de réserve nationale du Québec"qui appartiendrait aux Québécois par actionnariat.
Selon statistique Canada,dans 20 ans au CANADA,la moitié
de la population sera de religion musulmane.
Il est plus que temps de légiférer sur la laïcité pour
que nous puissions dans 20 ans continuer à pratiquer
notre religion,quelle qu'elle soit.
Conservons l'indépendance de nos institutions politiques
en faisant avant tout l'indépendance du Québec.


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6 commentaires

  • Gilles Lapointe Répondre

    13 mars 2010

    @ M.André Gignac,
    Pour la population,ce gouvernement à saveur fédéraliste est le pire que nous
    ayons eu. Il n'a réalisé aucune de ses promesses. Il n'a fait qu'accorder des
    faveurs à ses amis entrepreneurs; nous faisant croire que cela va créer des emplois.
    Nous savons très bien que les vrais entrepreneurs ont ça dans le sang et ils le font
    pour eux avant tout.Ce gouvernement n'a fait qu'abandonner la population
    francophone pour favoriser les anglos et les immigrants qui votent pour le parti
    libéral.
    Vous avez raison,dehors ce fédéraliste.

  • Archives de Vigile Répondre

    12 mars 2010

    Monsieur Lapointe
    Nos dirigeants politiques tant libéraux que péquistes ne sont que des mauviettes, des peureux, des lâches face à l'establishment économique et face à la minorité rhodésienne anglophone du West Island. Le peuple qui est souverain doit exiger tout de suite la démission de John James Charest et des nouvelles élections qui doivent être référendaires afin que le Québec devienne une république. Le temps presse et nous n'avons plus de temps à perdre avant que nous devenions trop minoritaires collectivement. Je crois sincèrement que les jours nous sont comptés si nous continuons à vivre dans ce système fédéraliste oppresseur et assimilateur. Il faut bouger rapidement car il y a urgence pour notre survie.
    André Gignac le 12 mars 2010

  • Gilles Lapointe Répondre

    12 mars 2010

    @ M.Gilles Bousquet.
    Comme vous le savez,au référendum de 1980,les fédéralistes ont fait peur aux gens
    agés en menaçant d'enlever les pensions de vieillesse. Il y a eu aussi le coup de la
    Brinks et l'exode des sièges sociaux de compagnie vers Toronto.
    Au référendum de 1995, le scandale des commandites débutait avec des dépenses
    considérables qui ont inondé le Québec de publicité. Il y a eu des autobus et des trains
    plein de gens du ROC qui sont venus nous dire combien ils nous aimaient et qu'ils
    voulaient que l'on demeure canadien.UN RALLEY qui sonnait faux tant qu'à moi.
    Maintenant que tout le monde sait qu'il n'y aura aucun changement à cette fédération
    centralisatrice.Qu'ils n'ont fait que des promesses en l'air.
    Maintenant que la population n'a plus peur.
    Maintenant que l'on sait que la francophonie est en voie de disparition.
    Que dans environ 20 ans nous serons une minorité chez NOUS,inondés dans
    un régime multiculturel.
    Nous pouvons gagner une élection référendaire, MAINTENANT.

  • Gilles Bousquet Répondre

    11 mars 2010

    Vous avez raison M. Lapointe, M. Lévesque avait peur de M. Bourgault parce que M. Bourgault faisait peur aux Québécois avec son projet sans association. Le génie de M. Lévesque a été de faire passer l’idée d’indépendance qui était à environ à 8 % jusqu’à 40 % en imaginant la souveraineté-association et le partenariat l’a fait passer à 49,5 %.
    J’aimais beaucoup M. Bourgault comme orateur qui soulevait les foules mais il n’avait pas le sens pratique, ni personnel ni pour le RIN. Si M. Lévesque n’avait pas viré souverainiste vers 1966, il serait collé au fond avec le RIN dont les dirigeants étaient en chicane quand il s’est fait hara-kiri pour se fondre dans le PQ. Est-ce que vous vous en souvenez ?

  • Gilles Lapointe Répondre

    11 mars 2010

    @ M.Gilles Bousquet
    M.Pierre Bourgault était optimiste,vous avez raison,le mouvement en aurait besoin
    de beaucoup d'autres comme lui.Mais René Lévesque l'a renié après qu'il eut joint
    les rangs du P.Q.,car il en avait peur.
    En ce qui a trait aux négociations entre deux parties. Le premier a ouvrir son jeu
    est de toujours le plus vulnérable.
    Les Québécois à l'époque de la souveraineté-association ne comprenait pas vraiment
    ce que René Lévesque obtiendrait pour eux qu'ils n'avaient déjà.
    Mais l'indépendance et la liberté, c'est très clair comme choix.

  • Gilles Bousquet Répondre

    11 mars 2010

    M. Lapointe, contrairement à M. René Lévesque, vous pensez que les Québécois vont risquer de se séparer du ROC avant de négocier une sorte association comme en 1980 ou comme M. Parizeau le proposait, de partenariat, en 1995.
    C'est bien d'être ainsi optimiste mais, si les Québécois n'ont même pas voulu de la souveraineté-association et de la souveraineté-partenariat en assez grand nombre, imaginez un peu ce qu'ils vont faire pour la séparation nette d'avec le ROC, que vous proposez, avant de négocier quoi que ce soit.
    M. Bourgault était optimiste comme vous mais, il n'a jamais rien gagné avec le RIN. Plein de vouloir mais peu de réalisations parce que ses projets faisaient peur aux Québécois.
    Le futur va nous prouver qui avait raison. Bonne chance quand même.