Tribune libre
Un journal dévoyé
Le temps des adieux
Lettre ouverte à Brian Myles, directeur du Devoir
Lectrice de longue date du Devoir, monsieur Myles, cela dit sans vouloir vous offenser, bien honnêtement, ce journal, hormis quelques journalistes et chroniqueurs de grande valeur (une vraie peau de chagrin désormais, pour ce qui concerne ces valeureux irréductibles), n'est plus que l'ombre de lui-même depuis que le "Collège" eut la curieuse idée de vous élire à la direction de cette vénérable Institution.