Editorial du "Monde" (la pollution du "Monde"? - Vigile)
Le face-à-face entre M. Moubarak et la place Tahrir est une affaire compliquée, à facettes multiples. Mais c’est d’abord une affaire égypto-égyptienne.
Pas "suffisant", a dit Barack Obama, en commentant, jeudi soir 10 février, l'allocution télévisée d'Hosni Moubarak. Le raïs égyptien venait d'annoncer qu'il déléguait ses prérogatives de chef de l'Etat à son vice-président, Omar Souleimane, mais qu'il n'en restait pas moins à la présidence (pour le moment).
Le propos de dépit de M. Obama illustre l'un des aspects les plus saillants de cette crise : la relative impui...