Irak - les suites 2008

Retrait d'Irak : Washington capitule

Dans les jours qui ont suivi les élections du 4 novembre, les États-Unis ont perdu la guerre d'Irak.


La nouvelle, qui agite tout le Moyen-Orient, est passée inaperçue aux États-Unis, comme la guerre d'Irak elle-même était absente des débats depuis six mois.

Québec

5 ans de guerre

Bilan et perspectives en Irak



On ne peut comprendre la guerre en Irak si l’on ignore —ou feint d’ignorer— d’une part les intérêts économiques en jeu, les plans sionistes d’autre part, et la coalition de ces deux forces. On ne peut comprendre comment l’administration Bush a plongé les États-Unis dans cette guerre si l’on persiste dans le mensonge du 11 septembre et la fable de la « guerre au terrorisme ».

Québec

LE SOLEIL - ANALYSE

Irak: cela en valait-il la peine?



Voilà cinq ans que le président George W. Bush a lancé l'invasion de l'Irak. L'Irak parviendra-t-il à se relever de cette épreuve et à devenir un pays dont les habitants pourront mener une vie relativement heureuse dans un climat raisonnablement sûr ? Les forces américaines quitteront l'Irak — c'est probablement pour bientôt — et leur départ ne devrait pas provoquer une orgie de violence. La guerre civile a déjà ...

Des néocons aux cons de chez nous



(...) lorsque la même naïveté, volontaire ou pas, sort de la plume de spécialistes patentés, on ne peut que s'indigner d'une mentalité au mieux provinciale, dans le sens le plus péjoratif possible du terme, et au pire hypocrite et malhonnête au point d'en faire les comparses d'un empire encore moins reluisant que le Troisième Reich, dont le parti de son Führer avait d'ailleurs été alimenté généreusement par les mêmes multinationales états-uniennes qui contrôlent aujourd'hui la mouvance des néocons.

"Énormes gaffes"? "Aveuglement idéologique"? "Idéalisme béat"? "Erreur"? "Brouillard sur la mission"? Tout ne montre-t-il pas, au contraire, l'immense succès de l'opération "destruction de l'Irak"?

Occupation en Irak - Cinq ans plus tard: l'erreur



Si la catastrophe était une image, ce serait les nombreuses scènes de pillage de Bagdad, qui ont eu lieu dès les premières heures de sa libération, le 9 avril 2003. Hormis l'affaissement de la statue de Saddam Hussein, aucun événement n'est venu réjouir les troupes américaines, alors que ce pillage, imprévu par elles, a rapidement terni leur conviction d'avoir remporté une victoire efficace et rapide contre l'ar...

Pour les amateurs d'irrationalité....

Noam Chomsky, les terroristes voulaient la fin du monde

Prenons un peu de distance et posons-nous cette question : qui sont les criminels qui veulent la fin du monde ?


La « terreur » en est un très bon exemple. Celle-ci est quelque chose qui, par définition (récente), est perpétré par des groupes ou mouvements flottants à l’encontre de civils innocents, et est hautement répréhensible (à moins que ces groupes s’avèrent être la CIA qui lance des voitures piégées dans Bagdad ou des voitures piégées ainsi que des bombes aériennes en Afghanistan ; dans ce cas-là ce n’est pas un sujet dont on parle beaucoup dans notre monde, ni que l’on condamne)

"Idéalisme béat" ? "Vision brouillée du réel"? Quelle géopolitique soporifique! Quel cynisme!

Non, il ne regrette rien

Il ne sert plus à rien de revenir sur la décision de déclencher l'opération irakienne, produit d'un idéalisme béat et, déjà, d'une vision brouillée du réel.


George W. Bush a peut-être livré, hier, sa dernière allocution d'importance sur l'Irak, à l'occasion du cinquième anniversaire de l'assaut contre Bagdad, déclenché au soir du 19 mars 2003. Il a qualifié de «compréhensible» le débat actuel sur le bien-fondé de cette opération; sur l'efficacité de la stratégie militaire et politique employée; sur la possibilité d'une victoire, non seulement des troupes américaines...

Iraq, 5 years later



It is taken for granted by many Canadians that the Iraq war has been a failure. But many of those who believe this seem to have stopped their mental clocks in 2006 at the height of the insurgency, when dozens of deaths by ambush and roadside bombs were a daily occurrence. Over the last year, during the "surge" that brought more U.S. troops to Iraq, remarkable gains have taken place. On this, the fifth annivers...

Le gâchis

Bref, Bush et compagnie croyaient que leur entreprise se traduirait par l'épanouissement de la démocratie partout dans la région, et qu'ont-ils récolté? Le réveil des haines qui agitent ce Moyen-Orient compliqué.


Cinq ans après le renversement de Saddam Hussein, la situation qui prévaut en Irak se résume en un mot: cul-de-sac. Si une réduction notable des violences a effectivement été observée au cours de la dernière année, il n'en reste pas moins que le pays est dans les limbes politiques. Et ce, à cause de l'aveuglement idéologique de l'administration Bush et de la mauvaise volonté foncière des leaders irakiens. Il y a ...

Bataille de chiffres autour du nombre de morts côté irakien

Selon les études, entre 100 000 et 1,2 million d'Irakiens auraient trouvé la mort depuis mars 2003.


Cinq ans après le début de l'opération "Iraqi Freedom" ("Liberté de l'Irak"), nul ne connaît le nombre de civils irakiens ayant trouvé la mort de façon violente. Les Etats-Unis recensent le nombre de disparus dans leurs propres rangs, qui approche désormais les 4 000, mais celui des victimes irakiennes continue de faire l'objet d'estimations contradictoires. Selon les études, entre 100 000 et 1,2 million d'Irakien...

Cinq ans de guerre en Irak : l'impasse



David L. Petraeus, le généralissime des 155 000 soldats américains stationnés en Irak, n'est pas content du gouvernement de Bagdad. Celui-ci n'ayant "pas fait, et de loin, les efforts politiques et législatifs" attendus "en matière de réconciliation nationale", le nouveau champion des militaires, troublé par la recrudescence des violences depuis deux mois, recommande le maintien de son contingent à au moins 135 00...

Québec

L'IRAK, CINQ ANS PLUS TARD

Désillusion et rancoeur



Il prend soin de préciser qu’à ses yeux, George W. Bush et les néoconservateurs qui ont fortement influencé sa politique étrangère ne sont pas des républicains. «Ce sont des radicaux».

Cinq ans après le début de la guerre en Irak, George W. Bush parle d'une "victoire stratégique majeure"



Dans un discours prononcé au Pentagone pour marquer le cinquième anniversaire du début de l'intervention américaine en Irak, le président américain, George W. Bush, a répété, mercredi 19 mars, que la décision de renverser Saddam Hussein était "la bonne", et ce alors qu...

Québec

La paix peut-elle s'installer en Irak ?

Cinq ans après le début de la guerre, une relative accalmie est observable, mais les Irakiens restent profondément divisés


Manifestation à Bagdad en septembre dernier contre les murs de béton érigés pour séparer hermétiquement des quartiers de la ville. Photo: Agence France-Presse Cinq ans après les premières salves de missiles, l'Irak vit une période de relative accalmie, dont une récente série d'attentats ont cependant révélé la précarité. La paix est-elle en train de s'y installer enfin ou est-ce le proverbial calme avant une no...

The Neocon Threat to Peace and Freedom



The Bush/Cheney White House, which told the American people in 2003 that the Iraqi invasion would be a three to six week affair, now tells us that the US occupation is permanent. Forever.

Québec

Irak: cinq ans plus tard



Le 19 mars 2003. Le jour où les États-Unis ont envahi l'Irak restera dans l'Histoire celui de l'erreur pour la politique étrangère des États-Unis. En effet, après l'attaque d'Oussama ben Laden et d'Al-Qaeda le 11 septembre 2001, les Américains ont répliqué en Afghanistan et se sont retrouvés en position de force à la fin de l'année. En 2002, George W. Bush et ses conseillers décident d'envahir l'Irak, au n...