PKP largement favori
La course à la chefferie du PQ ne fait que commencer (l’élection est dans 6 mois environ, les 13-15 mai pour le premier tour). Il y a 5 candidats officiellement déclarés, mais le grand favori n’a en fait pas encore annoncé.
«La souveraineté, ça se décline, ça se matérialise, ça se cristallise...»
COURSE À LA CHEFFERIE DU PQ
Pierre Karl Péladeau n’a pas encore confirmé qu’il se portait candidat à la chefferie du Parti québécois, un parti pas comme les autres, dit-il, mais sa réflexion, qu’il mène activement, porte sur les orientations qu’il entend présenter.
L'art de s'auto-pelure-de-banane-iser
Les coûts de production du livre de Jean-François Lisée risquent de devoir être inscrits au carnet des dépenses de la campagne à la chefferie du député péquiste de Rosemont.
S'il est le seul candidat à pouvoir aider le PQ, faut-il en conclure que les autres ne peuvent que lui nuire ?
De tous les candidats prévisibles à la succession de Pauline Marois, Pierre Karl Péladeau est le seul capable d'aider le PQ aux prochaines élections. Mais l'entrée en scène du magnat des médias ressuscitera le clivage sur la question nationale, un débat qui pourrait jouer des tours aux péquistes.
Qui va profiter de toute cette division, pensez-vous ?
Le député de Lac-Saint-Jean, Alexandre Cloutier, saute à son tour dans la mêlée. L’ex-ministre annoncera son entrée dans la course à la direction du Parti québécois, lundi matin à Saint-Gédéon, puis il mettra le cap sur le quartier général du PQ, à Montréal.
Son défi : définir sa candidature
Sans surprise, l'ex-ministre Bernard Drainville fera le saut dans la course à la direction du Parti québécois de façon imminente, une semaine après l'entrée en course de sa collègue Martine Ouellet.
Mais oui, les jeux sont faits
Au soir du scrutin du 7 avril, quelques minutes avant que Pauline Marois n'annonce sa démission, trois hommes étaient au micro pour aider les partisans accablés à passer le temps avant l'arrivée de la première ministre : Pierre Karl Péladeau, Jean-François Lisée et Bernard Drainville.
N'importe quoi pour arrêter PKP
Les liens de Pierre Karl Péladeau avec Québecor
Ses adversaires cherchent à disqualifier PKP dans l’opinion sous de faux prétextes
La sollicitude dont fait soudain l’objet l’indépendance de la presse au Québec pourrait presque passer pour un regain de conscience salutaire si elle ne servait pas de cache-misère à des intérêts bassement mesquins et partisans. Le contexte dans lequel la question fait soudain irruption a déjà tout pour nous mettre la puce à l’oreille. Le principal prétendant à la direction du Parti Québécois, Pierre Karl Péladeau est l’actionnaire de contrôle du groupe Québecor Media après l’avoir dirigé pendant plusieurs années.
« Nous sommes à un moment charnière »
Une course à la chefferie pour nuire à PKP
Le PQ joue un jeu dangereux
Quand bien même PKP devenait premier ministre et conservait Québécor, ce ne serait pas le premier cas en occident, ni le pire. Alors calmez-vous les puristes péquistes et les fédéralistes.
À qui profite l'alarme prématurée ?
Après avoir pesté pendant des décennies contre les grands patrons de presse ligués contre la souveraineté, les militants péquistes se réjouissent, et on peut le comprendre, d’avoir enfin réussi à en recruter un, et non le moindre.
Spéculer en pure perte
Le Parti québécois joue à l'autruche en tentant de marginaliser la réflexion de Jean-François Lisée. Le contrôle de Pierre Karl Péladeau sur Québecor soulève une question importante d'apparence de conflit d'intérêts, même avec l'intermédiaire d'une fiducie sans droit de regard.
L'heure du retour de l'enfant-prodigue n'a pas sonné
L'ancien chef d'Option nationale l'a confirmé au quotidien Le Devoir, mettant ainsi fin à des rumeurs qui circulaient à ce sujet.
Il y a de quoi !
Les commentaires de Jean-François Lisée sur le double rôle de Pierre Karl Péladeau en tant que propriétaire de Québecor et politicien ont monopolisé les conversations samedi matin à la rencontre du Parti québécois qui décidera des règles de la course à la chefferie.
Pour qui roule Jean-François Lisée ?
Pierre Karl Péladeau ne peut pas devenir chef du Parti québécois tout en restant l'actionnaire de contrôle de Québecor, soutient son collègue péquiste Jean-François Lisée.
Le ferment de la division
D'entrée de jeu samedi, la Conférence nationale des présidents du Parti québécois a tourné à l'affrontement. Jean-François Lisée et Pierre Karl Péladeau, deux adversaires probables dans la course à la succession de Pauline Marois, ont exprimé des positions diamétralement opposées.
Le PQ et ses chefs
L'adoption des règles du jeu, aujourd'hui, à Sherbrooke, marquera le coup d'envoi de la course à la direction du Parti québécois, la huitième de son histoire. Notre chef de bureau à l'Assemblée nationale revient sur les batailles passées, entre sprints, marathons, et parfois des couronnements.
« PKP, c’est la revanche des Québécois sur l’histoire »
Chefferie du PQ – La douche... écossaise !
Ses rivaux ne sont pas de taille
Il fallait que certains aspirants au leadership soient très déconnectés de la réalité pour ne pas avoir anticipé les résultats du sondage Léger Marketing – Le Devoir rendus publics samedi dernier, et il est assez pathétique de les voir malgré tout tenter de forcer leur chance en insistant sur la tenue d’une course à la chefferie dont il est non seulement assuré qu’ils vont faire les frais, mais qui risque en plus de creuser des divisions déjà suffisamment néfastes dans les rangs du PQ et du mouvement indépendantiste.
Un gros défi, à la mesure de l'homme
PKP tout de suite ou dans six mois ?
Reste à savoir si tout va bien ou rien ne va plus
Les résultats du sondage Léger Marketing parus samedi dans Le Devoir sont éloquents : « Même dans l’ombre, Pierre Karl Péladeau s’impose comme le favori du Parti québécois (PQ). Sans mener ouvertement campagne, le député et actionnaire de contrôle de l’empire Québecor éclipse tous les autres aspirants pressentis à la chefferie du parti, avec 53 % d’appuis chez les sympathisants péquistes. » La campagne à la chefferie du PQ est donc terminée avant même d’avoir commencé, tant l’avance qu’il détient sur tous les autres candidats, déclarés ou connus, est insurmontable. Face à lui, aucun d’entre eux n’est capable de se démarquer.
PKP devient l'homme à abattre
CHEFFERIE
Libéraux et caquistes voient en Péladeau un adversaire
Pierre Karl Péladeau n’a eu qu’à sortir de son mutisme pour que la course à la chefferie du Parti québécois semble lancée. Même ses adversaires politiques se sont mis de la partie pour égratigner le vernis de gauche de ses positions.
L'organisation se met en place
Le péquiste Pascal Bérubé ne sera pas candidat à la direction du parti. En effet, le député de Matane-Matapédia a confirmé qu'il appuiera son collègue Pierre Karl Péladeau.
Archi-prévisible ! Le PQ doit en tirer très vite les conséquences
SONDAGE LÉGER
Même dans l’ombre, Pierre Karl Péladeau s’impose comme le favori du Parti québécois (PQ). Sans mener ouvertement campagne, le député et actionnaire de contrôle de l’empire Québecor éclipse tous les autres aspirants pressentis à la chefferie du parti, avec 53 % d’appuis chez les sympathisants péquistes.
Les spéculations vont bon train
CHEFFERIE DU PARTI QUÉBÉCOIS
Candidat probable à la chefferie du Parti québécois, Pierre Karl Péladeau restesilencieux sur son positionnement, du moins publiquement. Or des rumeurs veulent qu’il s’engage, lorsqu’il se présentera, à ne pas tenir de référendum avant que la situation économique et financière du Québec s’assainisse.
Les entourloupettes de Lisée
Bon, il y a trois ou quatre propositions sur la table et il va falloir se brancher d'ici quelques semaines, car c'est le 4 octobre que le Parti québécois doit faire connaître les règles et mécanismes pour la course à la direction du PQ.
Une proposition intéressante
Avec Alexandre Cloutier comme chef, le Parti québécois (PQ) ne ferait de référendum qu'après avoir reçu l'appui d'au moins un million de Québécois ayant apposé leur signature dans un registre officiel.
Les choses se précisent
Essentiellement pour se démarquer sur la ligne de départ et fédérer les plus pressés parmi les militants, l'ex-ministre Martine Ouellet proposera la tenue d'un référendum dans un premier mandat péquiste.
Le champ s'éclaircit
Après une « longue » et « sérieuse » réflexion, Véronique Hivon a fait le choix de ne pas briguer la direction du Parti québécois, malgré un large appui à l’intérieur et à l’extérieur des rangs péquistes.
Jusqu'où ira-t-on dans la division ?
COURSE AU PQ
Seul un «club privé» pourra participer, dénonce l’aspirant-candidat Pierre Céré
Les règles proposées par l’exécutif du Parti québécois pour la course au leadership feront en sorte que seuls des « candidats friqués membres d’un club privé » pourront y participer, dénonce un nouveau prétendant, Pierre Céré. Celui-ci estime que les conditions suggérées sont trop sévères. Et il n’est pas le seul à les critiquer.
Le plus apte à battre Philippe Couillard
Pierre Karl Péladeau bénéficierait de l'appui d'au moins la moitié de l'aile parlementaire du Parti québécois, même s'il ne s'est pas encore déclaré candidat dans la course à venir pour trouver un successeur à Pauline Marois.
Un peu de cuisine
La course à la chefferie du PQ pourrait s’ouvrir aux sympathisants
Les militants du Parti québécois devront « travailler plus fort » au cours des prochains mois s’ils choisissent de tenir des primaires ouvertes ou semi-ouvertes, avertit le président du conseil exécutif national, Raymond Archambault.
Vraiment? Le sérieux d’un candidat correspond à sa capacité de verser 35 000 $ ?
CHEFFERIE
Le parti exigera des candidats 35 000 $ et 2000 signatures
L’exécutif du Parti québécois (PQ) veut à tout prix éviter que la course à la succession de Pauline Marois ressemble à celle de 2005, où neuf candidats s’étaient affrontés. Pour filtrer les prétendants, le PQ songe donc à imposer des « frais d’inscription dissuasifs », et à doubler le nombre de signatures nécessaires pour être admis.
GÉOGRAPHIE
L'auteur de sa biographie le confirme dans une dédicace
Photo ci-contre, de gauche à droite : Félix-Antoine Duval, Sophie Deraspe et Mathyas Lefebure.
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