Et si c'était Lisée ?
D’abord, un énorme remerciement à tous ceux et celles qui ont partagé avec moi leurs conseils, leurs témoignages et leur engagement depuis une semaine, sur ce blogue, dans des courriels privés ou dans des rencontres.
N'être pas pressé est une chose, avoir les deux pieds sur le frein en est une autre
RÉFÉRENDUM
Le candidat à la direction du Parti québécois, Alexandre Cloutier, n’était pas pressé vendredi de redémarrer la machine référendaire. « Notre niveau de préparation actuel est insuffisant », a-t-il affirmé sans ambages aux dizaines de personnes agglutinées dans la Boîte à Bleuets, à Alma.
Faut-il s'en réjouir ?
Plusieurs vétérans péquistes ont annoncé qu’ils quittaient la neutralité pour sauter dans l’arène
Le député fera l’annonce officielle de sa candidature demain à Alma et sera accompagné par des vétérans péquistes, alors que Véronique Hivon a obtenu l’appui du jeune député Mathieu Traversy.
C’est toute la machine à perdre du PQ qui a choisi Alexandre Cloutier.
C’est fait, la vieille garde a fait son choix. Sonnée pendant quelques jours par le départ de Pierre Karl Péladeau, dont elle avait tout fait pour favoriser la venue, elle a eu besoin de quelques jours pour se ressaisir.
«Défendre l’identité nationale à un moment où elle est fragilisée à la fois par le multiculturalisme canadien et la tentation d’une partie de nos élites d’en finir avec elle»
«[...] dans la course qui s'ouvre, les candidats devraient avoir un souci à l'esprit : ne pas plonger le PQ dans une guerre intestine qui pourrait le conduire à l'implosion. Ne pas le plonger dans une guerre fratricide.»
L'art de s'enfarger dans les fleurs du tapis et de détourner le débat de la finalité recherchée
COURSE À LA CHEFFERIE DU PQ
Alors que la course à la direction du Parti québécois commence sur les chapeaux de roue et que seule une candidate, Véronique Hivon, a officiellement plongé, la mécanique référendaire a émis ses premiers grincements.
Facal exprime à la perfection la position de Vigile
Tout au long de cette semaine, les aspirants à la direction du PQ se placeront sur les blocs de départ. Or, qui dit course dit débats d’idées.
Les femmes sont décidées
CHEFFERIE DU PQ
La députée de Joliette, Véronique Hivon, s’est lancée tête première lundi après-midi dans la course à la direction du Parti québécois. La candidate réformatrice a appelé les militants péquistes à « réinventer » le PQ, quitte à bousculer leurs certitudes durant l’exercice.
Hausser le niveau du débat
Des petits gains sans renoncer au grand large
À la veille d'une autre course à la chefferie rappelons quelques fondamentaux : L'indépendance c'est l'armée, les frontières, la monnaie et la banque. Voilà un point de départ incontournable. Tout indépendantiste sérieux ne peut éviter de traiter de ces questions, ce qui fut pourtant le cas lors de la dernière course à la chefferie où ces sujets sont demeurés tabous.
Et d'une !
PARTI QUÉBÉCOIS
La députée de Joliette Véronique Hivon se lancera lundi dans la course à la chefferie du Parti québécois (PQ), selon les informations obtenues par La Presse canadienne.
L'Indépendance à 41 % malgré les coups durs
À première vue, le dernier sondage Léger-Le Devoir a tout pour plaire à Alexandre Cloutier, qui part avec deux longueurs d’avance dans la course à la succession de Pierre Karl Péladeau. C’est avec lui que le PQ aurait les meilleures chances de battre les libéraux, et il est de loin celui qui est le mieux perçu par les caquistes et les solidaires.
Motif très honorable
Le député de Marie-Victorin a annoncé vendredi qu’il ne tenterait pas d’obtenir la direction de la formation politique, puisqu’il conserve son poste de leader parlementaire.
Heureusement !
Ce sera la course à la direction «la plus ouverte» de l’histoire du Parti québécois, selon un sondage
Le député Alexandre Cloutier part en tête, mais une véritable course à la direction du Parti québécois se dessine.
Une force s’est levée
PKP et l'indépendance nationale
On se crache dans les mains et on finit le travail
Une force s’est levée. Nous l’avons sentie vendredi soir au Centre des congrès de notre capitale nationale. Élu à la tête du Parti Québécois selon le mandat clair et fort qu’il avait appelé de ses vœux, Pierre Karl Péladeau a parlé d’une belle voix sonore et puissante, avec cette assurance de l’homme qui comprend avec certitude et confiance la voie sur laquelle il veut mener le Québec.
Passons maintenant aux vraies affaires
Pierre Karl Péladeau a demandé aux membres du Parti québécois de lui confier un « mandat clair et fort » pour « faire du Québec un pays ». Il l’a obtenu. L’ex-grand patron de Québecor a été élu vendredi soir 8e chef du Parti québécois avec 57,58 % des votes.
Une belle victoire que celle-là!
OUI. En quelque sorte et en résumé: une victoire du Oui que ce choix de Pierre Karl Péladeau comme chef du PQ.
Voyez, déjà, trembler ces Libéraux
«Qui a le choix a le tourment» dit un proverbe espagnol. Heureusement, pour le PQ, le choix est en train de se faire. Ce tourment s’achève.
La Presse donne le dernier mot à Pierre Céré dimanche pour noyer le succès du rassemblement de PKP samedi
Pitoyable fin de campagne au PQ
Les rivaux de PKP font la preuve qu’ils n’étaient pas de taille
Je ne suis pas porté sur les écarts de langage. Je suis plutôt du genre à les condamner. Il arrive toutefois un moment où se taire, et surtout taire son indignation, équivaut à s’écraser dans l’indignité. Je n’en suis pas là, et je prends donc le risque de parler vrai, quitte à ce que ce soit avec perte et fracas. De toute façon, je n’ai rien à gagner, ni à perdre.
Le péquiste antipéquiste? C’est louche
La farce est terminée: Pierre Céré s’est retiré de la course à la chefferie du PQ. Il aurait bien voulu aller jusqu’au bout, mais le réel l’a rattrapé : il n’a pas su ramasser les 10 000 dollars nécessaires pour concrétiser sa candidature. Le montant exigé n’était pourtant pas considérable.
Il n'y a jamais eu d'autre choix que PKP dans cette course, et il est pathétique que ses adversaires ne s'en soient pas rendus compte dès le départ
Tous derrière PKP !
Vigile le répète depuis le début
Les jeux sont faits. Le dernier débat des candidats à la direction du Parti Québécois s’est clos jeudi soir dernier avec la certitude, en ce qui concerne Vigile du moins, que Pierre Karl Péladeau sera le prochain chef de la formation destinée à mener le Québec à sa salutaire indépendance nationale.
Péladeau propose la convergence pour développer le Québec-
La fin de parcours pousse les candidats à sortir les griffes
De l’utilité des débats
Dans quelques heures – à 13h30 – à Rimouski, les candidat.es toujours en lice pour la course à la chefferie du PQ se mesureront, pour un 4e débat.
La véritable lutte commencera bientôt
On avait annoncé le couronnement de Pierre-Karl Péladeau à la chefferie du Parti Québécois. Jean-François Lisée s’est même retiré de la course en croyant que la course était déjà jouée et que son résultat était connu d’avance.
« Félicitations » aux candidats récalcitrants à la chefferie du PQ pour leur beau programme !
Campagne à la chefferie
Un mauvais spectacle qui s’étire au profit des Libéraux et au détriment des Québécois
Dès septembre dernier, après le premier sondage révélant la très forte avance de Pierre Karl Péladeau sur les autres candidats à la chefferie dans l’opinion des membres du PQ et de ses sympathisants, j’écrivais : « la campagne à la chefferie du PQ est terminée avant même d’avoir commencé ».
PKP est le seul candidat qui a le centre de gravité pour assumer les trois rapports de forces que supposent la cause : politique, économique et médiatique
Les tendances suicidaires du PQ
PKP, un préalable nécessaire à l'indépendance
Ce déclin tient en un mot : référendum.
Tendances suicidaires Part III
C’est un fait qu’elle est longue, cette course à la « chefferie » du Parti Québécois. Et sans doute les candidats la trouvent-ils encore plus longue que nous ne l’estimons. Presque 6 mois sur le qui-vive au fond; le qui-vive, c’est le cas de le dire! Même si l’un d’eux affirme en souriant qu’il en prendrait un mois de plus!
PKP, un leader qui suscite le ralliement
Il y a un an, le Parti québécois subissait une amère défaite électorale. Depuis lors, comme après chaque revers, les cyniques et les défaitistes s’en donnent à cœur joie : l’indépendance du Québec serait une cause perdue et le parti qui porte ce projet rien de moins qu’à l’article de la mort.
Pour La Presse, n'importe qui sauf PKP
Elle a touché au piano, fait de la flûte traversière, du ballet classique et du ballet jazz, elle n'est pas portée sur le sport de compétition mais elle fait de la natation, de la randonnée pédestre, elle s'adonne au ultimate Frisbee, elle adore le plein air et les voyages.
Pourquoi? La course est pourtant terminée
La députée Martine Ouellet, candidate à la chefferie du Parti québécois, a officialisé dimanche sa candidature en vue du vote qui se déroulera du 13 au 15 mai prochain.
Drainville a pris une décision politique intelligente
COURSE AU PQ
Bernard Drainville a créé la surprise en abandonnant la course à la chefferie du Parti québécois à trois semaines du vote. Surprise double puisque, en jetant l’éponge, il s’est rallié à celui qu’il avait qualifié de « mirage », Pierre Karl Péladeau. Il s’est rallié pour l’avenir du parti et aussi, plus égoïstement, pour son avenir en politique. Au sein du Parti québécois.
GÉOGRAPHIE
L'auteur de sa biographie le confirme dans une dédicace
Photo ci-contre, de gauche à droite : Félix-Antoine Duval, Sophie Deraspe et Mathyas Lefebure.
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