Après Meech, déjà presque 20 ans
Les Québécois sont lents mais le PQ est patient
Faut franciser Indiens et immigrants
Après l’échec de l’entente du lac Meech en 1990, M. Bourassa déclara, à notre Assemblée nationale, que le Québec demeurait libre aujourd’hui et pour toujours une société distincte, capable d’assumer son destin et son développement « ce qui voulait strictement rien dire comme désir de changement puisque ». Quand une personne déclare qu’elle est libre, ce n’est pas une indication qu’elle désire se libérer davantage. Il ...