Dans la foulée des allégations de collusion dans la sphère municipale, l'Ordre des ingénieurs du Québec réclame une commission d'enquête.
Derrière cette apparence de légalité, c'est encore la volonté du Canada anglais qui entre en contradiction avec les intérêts vitaux du Québec.
Le ministère des Transports n'est pas le seul terreau des firmes de génie-conseil
L'invalidation de la loi 104 s'inscrit donc dans une série de jugements qui apparaît comme un processus plus ou moins délibéré de la part de la plus haute instance judiciaire au pays de déconstruire, brique par brique, les fondements mêmes de la politique linguistique québécoise
Essai québécois
Léon Dion disait de Trudeau qu'il avait été «l'intellectuel le plus fascinant et le plus décevant des années cinquante »
PPPitoyable!
Quand les firmes de génie-conseil prennent le contrôle des projets au nom du ministère des Transports
Qui est réellement Gérald Tremblay? Le «faux naïf» décrit par Benoît Labonté ou le benêt dont rient derrière son dos les magouilleurs de l'Hôtel de Ville?
Tant que les citoyens ne s'investiront pas massivement dans la politique locale, les machines électorales municipales auront besoin d'argent sale et d'amis riches qui demanderont continuellement des retours d'ascenseur.
Un ex-président du comité exécutif se confie au Devoir
L'ADQ soulève une vague d'indignation en se fiant à la parole de Benoit Labonté
La Cour suprême tranche
Les écoliers allophones pourront «s'acheter» le droit d'étudier en anglais