Un tour de table pour y voir plus clair

Des réponses aux vraies questions sur l'immigration

La population doit avoir droit de regard sur son avenir

Tribune libre


Immigration massive incontrôlée, état actuel
Les problèmes de frictions sociales auxquels nous faisons actuellement face ne sont pas imputables aux immigrants qui accomplissent diligemment leur devoir d'intégration mais à ceux qui refusent obstinément de le faire à commencer par l'adoption de l'anglais dans un processus unilatéral de canadianisation plutôt que de pleine adhésion à la société québécoise.

Cette problématique de l'immigration revêt plusieurs aspects qui se prêtent à la discussion. Le fait de l'aborder sous forme de questions et réponses permet de clarifier nombre de ces aspects. Essayons-nous à cet exercice afin de mieux comprendre les forces qui entrent en jeu. Et fi de la rectitude politique qui cherche à nous museler. Envisageons les choses sous l'angle de la protection de l'identité nationale.

- Sommes-nous dans l'obligation de laisser entrer des milliers de tiers-mondistes incompatibles pour les sauver de la misère?

Non, envoyons-leur plutôt de l'aide humanitaire.

- Les critères d'immigration actuels nuisent-ils à la cohésion sociale du Québec?

Oui, car ils favorisent les candidats parlant français du Maghreb et de l'Afrique, tous deux islamistes, créateurs de tensions sociales vérifiables, et aux mentalités divergentes et incompatibles.

- Faut-il un moratoire sur l'immigration?

Oui, d'au moins 5 ans, le temps d'intégrer ceux qui sont déjà là.

- Doit-on chercher à imposer de force certaines ethnies qui ont un taux de chômage dépassant 25%?

Non, il faut permettre à ces gens de retourner travailler chez eux.

- Le Québec a-t-il besoin de 55 000 nouveaux arrivants par année?

Non, 10 000 suffisent amplement, et de préférence des occidentaux qui s'intègrent volontiers.

- L'avis majoritaire des Québécois à l'effet que le taux d'immigration est trop élevé doit-il être pris en considération?

Oui, les dirigeants doivent respecter le choix du peuple de préserver son identité distincte.

- L'immigrant devrait-il avoir un accès gratuit à tous les avantages sociaux dès son arrivée?

Non, pas avant d'avoir payé suffisamment d'impôts pour le justifier.

- L'immigrant a-t-il le choix de s'intégrer ou pas à la société d'accueil?

Non, et des examens périodiques devraient l'encadrer dans sa démarche continue.

- Est-ce du racisme, de la xénophobie que de refuser l'immigration tiers-mondiste à outrance?

Non, c'est le réflexe de survie naturel et légitime de toute nation qui doit prendre les mesures requises pour assurer sa propre continuité et sa pérennité dans le respect de son héritage culturel.


Immigration massive incontrôlée, extrapolation pour 2011
Immigration: le Canada attirerait une fois et demi sa population actuelle qui est de 33 millions d'habitants, ce qui fait 50 millions de personnes de plus prêtes à débarquer ici demain matin: http://www.france24.com/fr/20100820-limmigration-pourrait-doubler-population-canada-tripler-celle-singapour
Alors que le taux de chômage de la population en général est à 7% au Québec, pour les Maghrébins, la situation est toute autre avec un chiffre qui dépasse les 28%. Source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/200901/06/01-686111-chomage-des-maghrebins-une-honte-pour-le-quebec.php

Se poser les bonnes questions, c'est s'orienter vers des solutions réalistes et pragmatiques.
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie875 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 875 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    14 décembre 2010

    Bravo monsieur Labrie,
    voila un questionnement très pertinent.L'échec des politiques d'immigration du Québec, des annés 50 à aujourd'hui est une évidence.Il n'y a que du point de vue fédéraliste que cette politique est avantageuse.Depuis toujours les immigrants s'angicisent au Québec et deviennent de farouches canadians.Ils l'ont clairement démontré au Référendum de 1995.Ils nous ont privé du pays que nous voulions devenir.Un moratoire sur l'immigration s'impose donc plus que jamais. Un moratoire jumelé à une nouvelle politique de valorisation de l'identité nationale du peuple français du Québec et qui ferait fi des critiques dénonçant son caractère ethnique.Faire du Québec un pays prend pleinement son sens que du point de vue des canadiens-français.Il faut délaisser le nationalisme civique pour revenir au nationalisme ethnique et ne pas avoir peur de porter fièrement dans l'arène politique le blason de notre identité culturelle.Un immigrant qui n'épouse pas la cause indépendantiste est pour moi une nuisance publique. J'en pense tout autant des canadiens-français fédéralistes qui pour moi prévilégient leur intérêts personnels à court terme au détriment des intérêts collectifs à long terme de la société québécoise.
    Mais le PQ s'entête depuis toujours à jouer la carte du nationalisme civique. Je ne milite plus au PQ depuis longtemps, vous comprenez pourquoi.Le dossier immigration est une des principales raison de ma désafection.

  • Marcel Haché Répondre

    13 décembre 2010

    Vous suggérez 10,000 immigrants par année. C’est encore trop.
    J’entends d’ici les braillards brailler et dénoncer le racisme, la xénophobie de pareille proposition.
    Les mêmes qui déploraient les contours de la loi 105 permettant aux riches de s’acheter un droit, par le moyen des écoles passerelles, sont les mêmes qui approuveraient 55,000 et plus d’immigrants par année au nom d’un humanisme « québécois ».
    Oublient-ils, ceux-là, que la mesure favorisant l’immigration des immigrants –investisseurs permet à ceux-ci de s’acheter TOUS les droits constitutionnels liés à la citoyenneté ?