Genderofolie : une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui ont conduit à sa mutilation

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« Serait-ce le début de la fin de ces expérimentations abominables, une des dérivées de la culture woke, culture de la non-identité, autre forme du nihilisme, premier principe de la culture de mort ? »

C’est un premier procès dans le monde de la genderofolie mais ce genre de mise sous accusation pourrait se multiplier dans les années à venir, au vu de nombre exponentiel de pauvres enfants et adolescents mutilés par des médecins apprentis-sorciers et contre-nature.


Le site web Epoch Times raconte dans son édition d’hier 13 novembre le calvaire d’une jeune adolescente américaine, livrée aux mains d’un service de santé sans scrupules, « à qui l’on a prescrit des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et qui a subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans » et qui a donc courageusement décidé de « poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure ».


Regrettant profondément ses choix accomplis alors qu’elle était mineure et en souffrance, aujourd’hui âgée de 18 ans, elle porte devant la justice son histoire et témoignant de al légèreté des médecins qui l’ont mutilée.


« Les adultes qui étaient censés prendre soin de moi et me guider lorsque j’étais enfant ne l’ont pas fait et en assumeront la responsabilité », a déclaré Chloé à Epoch Times le 11 novembre dernier.


En collaboration avec le Center for American Liberty, les avocats de Chloé « ont envoyé le 9 novembre la lettre d’intention de poursuite au Permanente Medical Group, à la Kaiser Foundation Health Plan, aux hôpitaux de la Kaiser Foundation et à plusieurs médecins qui ont ‘’pratiqué, supervisé ou conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale à Chloé Cole lorsqu’elle avait entre 13 et 17 ans‘’ » peut-on lire sur Epoch Times.


Chloé et ses avocats accusent Kaiser Permanente de négligence grave ayant causé « une mutilation et des dommages permanents et irréversibles sur son corps », selon la lettre.


« L’organisation, souligne Epoch Times, n’a pas répondu aux multiples demandes de commentaires qui lui ont été adressées à ce sujet en date du 11 novembre. »


Epoch Times révèle également que « la lettre accuse les professionnels de la santé d’avoir informé les parents de Chloé qu’elle présentait ‘’un risque élevé de suicide, à moins qu’elle ne subisse une transition sociale et médicale pour ressembler davantage à un homme‘’. On aurait demandé à ses parents : ‘’Préférez‑vous avoir une fille morte ou un fils vivant ?‘’ Selon la lettre, Chloé réclame ‘’des dommages et intérêts punitifs fondés sur des preuves de malveillance, d’oppression et de fraude‘’ ».


Harmeet Dhillon, PDG du Center for American Liberty, partie prenante dans ce procès, affirme à propos de cette affaire : « Le système médical ne devrait pas dicter l’avenir des jeunes enfants. Grâce à cette action en justice, les ‘professionnels’ impliqués seront tenus responsables de leur manipulation méprisable visant à mutiler des enfants et à en tirer un bénéfice financier. Nous briserons le cycle qui les pousse à détruire nos enfants avant qu’il ne soit trop tard ».


Fortement marquée par sa triste histoire, Chloé, relate Epoch Times « a récemment témoigné contre la législation sur les ‘’soins de santé tenant compte du genre‘’ qui faisait de la Californie un État sanctuaire pour les transgenres. Le mois dernier, le gouverneur de la Californie, Gavin Newsom, a promulgué le projet de loi 107 du Sénat, rédigé par le sénateur Scott Wiener (Parti démocrate‑San Francisco).



« La législation a été largement contestée par des groupes de défense des droits des parents qui s’opposent à ce que des mineurs puissent prendre des inhibiteurs de puberté, des traitements hormonaux et subir des opérations de réattribution sexuelle. »



Plus loin dans l’article, on peut lire d’autres faits regardant ces mutilations :



« Le Center for American Liberty a également accusé Kaiser de n’avoir pas informé les parents de Chloé des options de traitement psychiatrique ou de toute approche qui aurait pu permettre de traiter les troubles psychologiques sous‑jacents ‘’afin d’obtenir un état mental conforme au sexe biologique de Chloé‘’ ».



Ainsi, « Chloé accuse les professionnels de la santé de lui avoir fait croire que sa détresse liée à sa dysphorie de genre disparaîtrait avec sa transition. Après avoir subi plusieurs étapes de transition sur plusieurs années, son état psychologique n’a fait que se détériorer. ‘’En effet, sa santé mentale et ses angoisses suicidaires se sont considérablement aggravées après sa double mastectomie‘’, peut‑on lire dans la lettre. ‘’Chloé a fini par comprendre que la réponse à son problème ne reposait pas sur la chirurgie et les hormones, comme on le lui avait conseillé, mais sur un changement de perspective psychologique. Elle a réalisé que la seule façon pour elle d’être heureuse était d’accepter mentalement son sexe biologique et de choisir de vivre une vie en accord avec son genre d’origine.‘’ »


Kaiser Permanente dispose de 90 jours pour régler l’affaire ou répondre à la lettre d’intention de poursuite avant qu’une action en justice ne soit engagée.


« Ma vie d’adolescente a été marquée par des douleurs atroces, des regrets et, surtout, par l’injustice », a déclaré Chloé le 10 novembre dans un communiqué de presse.



« Le pire, c’est que je ne suis pas seule dans ma douleur. Je veillerai à ce que le sang et les larmes des détransitionneurs comme moi ne soient pas gaspillés. Il m’est impossible de récupérer ce que j’ai perdu, mais je veillerai à ce qu’aucun enfant ne soit blessé par les mains de ces menteurs et mutilateurs. »



Après des années de laxisme et d’impunité, ces médecins ‘mutileurs’ sont rattrapés par la réalité de la folie de leur théorie de genre qui ne résout pas, et le temps le montre, les problèmes des adolescents mais les amplifie.


Serait-ce le début de la fin de ces expérimentations abominables, une des dérivées de la culture woke, culture de la non-identité, autre forme du nihilisme, premier principe de la culture de mort ?