Un conte pour grandes personnes

L’abominable histoire du Coronavirus

Réveillons-nous et brisons ce mauvais rêve !

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Tribune libre

Il était une fois un peuple insouciant, qui vivait sur l’air du temps. Un bon roi veillait à son bien-être après une dynastie de potentats arrogants. Il faisait bon vivre puisqu’on pouvait acheter de tout dans les magasins. Il y en avait encore pour dire que la liberté ça devait être plus que ça, mais leur voix n’éveillait plus guère d’émotion durable.


Puis un jour, voilà qu’apparaît l’abominable petit monstre de la famille des Coronavirus baptisé Covid-19. Comment un si vilain personnage s’est-il insinué au royaume de la torpeur confortable pour y semer le bordel et la terreur?


Des mauvaises langues disent que des sorciers ont fabriqué le monstre dans un laboratoire militaire du puissant royaume voisin, et que le monstre s’est échappé dans la nature. Le roi de ce pays accuse plutôt les Chinois de l’avoir libéré en cuisinant des chauves-souris. Pouah! Même les Simpsons avaient prévu le coup.


En tout cas, la campagne de peur qui a suivi a semé l’épouvante dans le royaume. Heureusement, il y a encore des journalistes pour dire la vérité et montrer comme les experts indépendants que la prétendue «pandémie» est insignifiante en rapport avec les précédentes.


Les spécialistes de la santé publique avaient tout faux. Ils ont fait libérer des lits dans les hôpitaux et envoyé les malades dans des hôpitaux de longue durée, là où le risque était le plus élevé. Là ce fut l’hécatombe. Le personnel soignant s’est trouvé amputé par les quarantaines, ce qui a contribué au chaos. Et le tout était basé sur des tests frauduleux ce qui fait que les chiffres sont faux et les quarantaines arbitraires.


L’empereur d’opérette en a rajouté une couche en récompensant ceux qui restaient à la maison plutôt qu’au travail. Mais ces guignols de la santé publique, qu’on dirait sortis d’une comédie de Molière n’ont qu’un seul traitement : confiner, confiner, et confiner jusqu’à ce que la société meure au bout de son sang. Le confinement n’est pas le combat contre la maladie mais la fuite en avant.


Pendant ce temps, tapis dans l’ombre, les puissants barons de l’économie se préparent à profiter de la crise. Cette caste de puissants a déjà infiltré le pouvoir dans les «démocraties libérales». Ils ne veulent pas guérir les malades mais leur imposer un racket de protection par le moyen des vaccins.


En plus, ils comptent implanter des puces aux citoyens pour mieux les contrôler. En même temps, des lutins nerds testent les radio-fréquences «5G» sur leurs cobayes involontaires pour activer ce contrôle. Les radio-fréquences pourraient expliquer l’aggravation des cas de pneumonie. Ces vilains considèrent l’humanité comme du bétail à contrôler et à exploiter.


Après le dé-confinement, les entreprises affaiblies seront une proie facile pour ces barons de l’économie. Les citoyens réduits à la dépendance envers l’État deviendront les esclaves d’un gouvernement mondialisé. Ce sera l’étape finale d’un coup d’état.


Ces barons de l’économie n’en sont pas à leurs premiers méfaits. Il y a déjà eu le canular du H1N1. Avant il y a eu les guerres interminables au Proche-Orient, les guerres mondiales, les dépressions et les révolutions. Leur dernier exploit est la mise en faillite de l’économie mondiale. Ils utilisent le pouvoir illimité des banques centrales de créer de la fausse monnaie pour acquérir les actifs bien réels de l’économie en refilant les dettes au public. Voici une description du stratagème :



«Le comte Alexis Tolstoi, écrivain russe, parent lointain et plus jeune que Léon Tolstoï, avait brossé une tentative imaginaire de gens méchants pour s’emparer du monde. Cinq magnats américains avaient répandu la panique en disant que la lune était sur le point de fondre sur la terre et de tuer tout le monde. À l’insu de tous, ils bombardent la lune de leurs missiles puissants, et la réduisent en miettes. Comme les gens paniquent et que la Bourse plonge, les cinq magnats achètent tout et deviennent les maîtres du monde. Mais la crainte qui était supposée piéger tous les citoyens les libère. Ils n’en ont rien à faire, de la Bourse, et ils estiment que l’appropriation privée du monde entier, ça ne compte pas. A la fin de l’histoire, un jeune homme entre dans le sanctuaire très confiné des cinq magnats, et leur demande de sortir parce qu’il a besoin de l’emplacement pour le club de jeunes.»



Pourquoi n’y a-t’il pas de mandats d’arrestation contre ces présumés malfaiteurs? Malheureusement, cette coterie a depuis longtemps imposé sa vision des choses comme la norme de vertu sous le nom de «démocratie libérale». Selon cette vision, les vices privés sont les vertus publiques. Ils sont l’expression de la véritable nature humaine et leur libre cours assure l’équilibre naturel de la société. Les puissants se considèrent comme les élus de Dieu choisis pour accomplir un sort prédestiné.


Cette attitude déplorable est l’exact contraire de la culture chrétienne dont le peuple est issu. Selon cette vision, l’homme est appelé à l’amour de son prochain et au dépassement de soi. Ça s’appelle aussi le gros bon sens. C’est pourquoi les soignants et les travailleurs essentiels sont des héros car ils créent un bien immense : ils sauvent des vies.


Ce conte n’est pas fini. Les vilains barons et le leurs mauvais génies pavoisent. Ce n’est pas vrai que «Ça va bien aller» si le mauvais sort qui nous est jeté se réalise. Pour écarter la malédiction, il faut se poser quelques questions :



  1. Souhaitons-nous régresser à l’état infantile devant une intimidation grossière ou bien relever le défi de la liberté, du développement et de la dignité.

  2. Pouvons-nous exiger du gouvernement élu qu’il reprenne le contrôle de la santé et congédie les charlatans infiltrés ou les rappelle à l’ordre?

  3. Pouvons-nous faire lever immédiatement le confinement et la distanciation grotesques qui s’apparentent à la loi martiale, et laisser les individus et les groupes prendre leurs responsabilités librement et relancer l’économie?

  4. Pouvons-nous exiger le respect de la souveraineté du peuple.


Donc, oui le virus est réel comme la grippe mais gonflé par une campagne de peur. Pendant ce temps, les vilains barons se préparent à imposer un racket de vaccins à la population. Du même coup, ils comptent s’emparer de l’économie endettée par leur faute et achevée par le confinement. C’est un coup d’état.


Pour renverser le mauvais sort qui nous attend, il faut exiger que les gouvernements élus assument leur pouvoir légitime et commencent par lever le confinement. Et que Dieu sauve notre précieuse couenne...



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