Un document classé «top secret» révèle comment des policiers de la GRC ont voulu espionner les déplacements et appels téléphoniques d'un journaliste de La Presse pour démasquer la source qui lui avait fourni des informations sur les plans terroristes attribués à Adil Charkaoui.
Ce document fait partie de la preuve déposée à la Cour fédérale récemment, dans le cadre d'une poursuite de 27,5 millions intentée par le Montréalais Abousfian Abdelrazik contre Ottawa.
M. Abdelrazik, qui a passé six ans coincé au Soudan sur la base de soupçons de terrorisme sans être accusé de quoi que ce soit, prétend que des représentants du gouvernement ont laissé filtrer des informations confidentielles à son sujet pour ternir sa réputation.
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