MONDIALISME

La liste de Schindler

La vérité et la repentance font bien mauvais ménage

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Tribune libre

Dans cet article, nous n’avons aucune intention de remettre en question la véracité de la Shoah. Comme le dit Jérôme Bourbon, le directeur du journal Rivarol, dans son éditorial du 19 juin 2019, à propos du crime des crimes contre l’humanité : « il est interdit de contester, même de manière insidieuse, indirecte, sous une forme dubitative ou interrogative, l’existence des chambres à gaz, la réalité et l’ampleur du génocide juif. La contestation de l’existence de crimes contre l’humanité n’a nul besoin d’être explicite pour que les tribunaux entrent en voie de condamnation. La simple expression du doute, l’utilisation d’un conditionnel, l’usage de guillemets, une formule ambigüe suffit à être condamné. »


Fin juillet 2004, souligne à son tour, l’abbé Olivier Rioult, à la page 305 de son livre, De la question juive. Synthèse, publié aux éditions Saint Agobard (2018), « le parlement d’Israël (Knesset) a même adopté à l’unanimité une loi permettant de réclamer l’extradition vers Israël de toute personne coupable, en n’importe quel point du globe, de déni d’holocauste ».


C’est assez étrange comme interdiction. Soixante quinze ans plus tard, on devrait pouvoir en discuter librement, chercher la contradiction comme on fait avec la réalité raciale, l’esclavage et la colonisation. Où est le problème ?


Mais c’est ainsi, et il n’y a rien à dire depuis que la Shoah est devenue un culte religieux auquel tout le monde est obligé de croire pour les raisons suivantes, selon le politologue et historien des religions, Youssef Hindi :



La sacralisation en cours de l’État hébreu nécessitait au préalable la sacralisation du peuple juif. Dans l’époque contemporaine, où règne, du moins en apparence, l’athéisme, il fallait, pour faire accepter aux goyim (les non-juifs) occidentaux l’idée de la sacralité des juifs, inventer un culte « profane », ou plus précisément, un culte dépourvu de transcendance. (1)



Dans cette version des choses, le culte de la Shoah est un substitut du christianisme servant entre autres à remplacer Jésus par le peuple juif lui-même qui s’est autoproclamé son propre messie. De fait, « le sionisme prône une rupture avec une attitude passive des juifs, qui depuis trop longtemps attendent un Messie. Il prône une prise en main du destin juif par les juifs eux-mêmes, une volonté de réaliser sur terre et maintenant, et par des moyens humains, quelque chose qui, jusque-là, avait été un horizon vague entre les mains de Dieu. (2) »


Dans cette optique, précise Y. Hindi, « le sacrifice sur la Croix est remplacé par la chambre à gaz et le four crématoire, le Golgotha, par Auschwitz, le chemin de croix, par les rails de train où passaient les wagons de déportés (d’où la commémoration quasi religieuse du Vel’ d’Hiv’ (3) ». On peut rajouter à cette liste, les églises, remplacées par les musées de la Shoah présents dans presque toutes les grandes villes d’Occident ; les saints, remplacés par d’anciens détenus des camps comme les grands menteurs, Élie Wiesel et Martin Grey ; les livres saints, remplacés par des livres comme le faux journal d’Anne Frank, etc. (4).


Mais pourquoi sacraliser les juifs et l’État d’Israël ?


Afin d’établir leur primauté sur le monde, il est vital que les juifs et l’État d’Israël soient non seulement protégés de toute critique, mais qu’ils obtiennent un traitement de faveur, les êtres humains étant naturellement plus indulgents envers les victimes. Le culte de la Shoah, de même que l’accusation d’antisémitisme et d’incitation à la haine sont à la fois l’épée et le bouclier grâce auxquels les juifs et l’État d’Israël, à l’aide de leur insupportable police de la pensée et de leurs alliés non-juifs (5), obtiennent des réparations financières (6)(7), censurent et persécutent leurs opposants, mobilisent leur communauté et réalisent leurs ambitions hégémoniques sur le monde. « C’est un instrument que l’on utilise beaucoup, souligne l’historien israélien, Moshé Zimmerman. D’une façon cynique, on peut dire que la Shoah est l’un des objets qui se prêtent le mieux à la manipulation du public, du peuple juif en particulier, en Israël et à l’extérieur. (8) »


Comme le dit l’écrivain juif, Philip Roth, c’est donc Auschwitz qui permet entre autres à Israël de faire reculer ses frontières. C’est Auschwitz qui justifie les bombardements des civils des pays limitrophes. C’est Auschwitz qui justifie que l’on brise les os des enfants palestiniens et que l’on mutile les maires arabes. C’est Auschwitz qui justifie des lois liberticides dignes des pires romans dystopiques. C’est Auschwitz qui bloque la résurgence des nations ethniquement homogènes. C’est Auschwitz, la clef de voute du mondialisme.


« Des juifs fous de pouvoir, voilà ce qu’ils sont, écrit l’écrivain juif, Philippe Roth, aucune différence avec les autres fous de leur espèce, sauf qu’eux utilisent le passé pour justifier leur désir éperdu de pouvoir et le fait qu’ils nous victimisent. (9) »


Mais revenons à La liste de Schindler, le film du réalisateur juif, Steven Spielberg, le sujet de cet article. Notre intention est de démontrer comment Hollywood, une entreprise de divertissements entièrement entre les mains du peuple choisi par Dieu pour dominer le monde, falsifie les faits, notamment afin d’inciter la haine non seulement des Allemands, mais des Blancs, en les faisant passer pour l’incarnation du mal absolu. Cette stigmatisation systématique dans un grand nombre de films et de séries télévisées sert entre autres à culpabiliser, et par le fait même, neutraliser l’instinct de défense des Blancs afin de leur faire accepter sans résister le multiculturalisme, le métissage, leur propre remplacement par des populations allogènes extra européennes et éventuellement, la gouvernance mondiale.


Dans ce film, le personnage de Schindler a bel et bien existé, même s‘il ne ressemblait pas du tout au personnage du film. Mais la scène la plus marquante, celle du commandant nazi qui tue pour s’amuser des prisonniers du haut de son balcon est complètement inventée.


Dans ce film de propagande mensongère, écrit l’ancien pilote de la US Navy, Benton Bradberry, dans son livre, Le mythe du sale boche. La stigmatisation de l’Allemagne à des fins hégémoniques (10) :



Le commandant nazi du camp de concentration (censément le camp de Plaszow situé en dehors de Cracovie, pas loin d'Auschwitz), torse nu sur le balcon de sa maison, tient à la main un fusil de chasse équipé d'une lentille télescopique. Dans le film, la maison est située sur une colline surplombant le camp, de sorte que le commandant puisse regarder vers le bas sur la foule de prisonniers qui se déplacent dans le camp en dessous. Soudainement, il épaule son fusil et se met à balayer la foule avec son télescope en passant d'un prisonnier à l'autre; l'image vue à travers le télescope remplit maintenant tout l'écran; les réticules du télescope s'arrêtent sur un prisonnier choisi au hasard; il appuie sur la gâchette et le prisonnier s'écroule, raide mort. L'image revient sur le commandant nazi que l'on voit machinalement recharger son fusil avec une insouciance évidente, le visage défiguré par l'ennui. Il épaule son fusil de nouveau, et tire sur un autre prisonnier qui s'écroule à son tour, raide mort. Puis, lassé par cet « exercice de tir à la cible », il tourne son attention vers la belle femme sexy et nue couchée sur son lit juste à l'intérieur de la maison adjacente au balcon. La femme est l’une de ses servantes juives choisies parmi les prisonnières du camp, et qui lui servent également d'esclave sexuel. Le visage du commandant affiche un cynisme révoltant. (11)



Or, selon, Benton Bradberry, le but de cette effroyable scène de même que la présence de la servante nue de confession juive est de faire passer l'officier nazi pour un psychopathe totalement dépravé. Les prisonniers assassinés étant tous juifs, à travers ce film de propagande, deux thèmes juifs populaires sont exploités et mis en valeur : 1. les nazis, et les Blancs par association, sont l’incarnation du Mal absolu ; 2. la persécution des juifs est précisément ce qui les singularise.


Mais qui a inventé cette histoire abracadabrante, et où se trouve la vérité, se demande Benton Bradberry ? Cet épisode entièrement fictif est tiré du roman de l'Australien, Thomas Keneally qui ne connaissait pour ainsi dire rien des camps de concentration. Voici ce qui s’est véritablement passé :



Le vrai camp de Plaszow était situé de l'autre côté d'une colline se trouvant entre la maison du commandant et le camp, et donc, complètement hors de vue du balcon du commandant. Ainsi, même si ce dernier l'avait voulu, ce qui est peu probable, il lui était donc impossible de tirer dans le camp du haut de son balcon comme il est montré dans le film. Le vrai commandant de Plaszow, Amon Goeth, sur lequel le personnage du film s’inspire, a vécu dans la maison avec sa fiancée, Ruth Kalder, la mère de son enfant. D'après Ruth, ils avaient eu l'intention de se marier, mais n'ont pu le faire en raison du chaos à la fin de la guerre. Mais après la guerre, avec l'aide du père d'Amon, elle et son enfant ont pris le nom de son mari, Amon Goeth, pendu après la guerre par le gouvernement polonais non pas pour avoir assassiné des prisonniers, mais pour avoir été membre du Parti national-socialiste et des Waffen-SS. Selon Ruth, Amon Goeth était un homme cultivé et nanti d’une belle voix de chanteur. Lorsqu'il était commandant, il avait bel et bien eu deux servantes juives choisies parmi les prisonnières du camp, mais elles n'étaient pas belles et sexy comme celles du film et rien n'indique qu’il ait eu des relations inconvenantes avec elles. Cette histoire de sexe a été ajoutée au film uniquement pour lui donner du piquant. (12)



Le choix de Sophie, le film du directeur juif, Alan J. Pakula, est un autre exemple de propagande mensongère qui restera longtemps gravé dans la mémoire des spectateurs. Dans ce film, Sophie et ses deux petits enfants sont envoyés à Auschwitz, le nouveau Golgotha de la religion schoatique. Durant la sélection dès l'arrivée – la sélection est désormais devenue l'une des étapes du chemin de croix de cette religion –, un officier nazi incroyablement cruel – d’une cruauté digne du célèbre Dr Joseph Mengele, l’un des Satan d’Auschwitz – lui annonce qu'elle doit garder seulement l'un de ses enfants, et que l'autre sera exécuté dans la chambre à gaz. Sophie désemparée est donc forcée de choisir lequel de ses deux enfants elle va garder et lequel elle va envoyer à la chambre à gaz; de là le titre du film, Le choix de Sophie.


Dans le film, le méchant officier nazi ne donne aucune raison ou explication pour exiger qu'un des enfants meure ou pour forcer Sophie à faire ce choix crève-cœur. Le fait qu'il soit un méchant nazi est présumé être une explication suffisante. Examinons maintenant ce qui selon, Benton Bradberry, se cache derrière cette fiction :



C’est une adaptation d'un roman de l'auteur américain, William Styron, qui n'avait absolument aucune connaissance pratique des camps. Auschwitz a tout simplement servi de décor pour une fable tout droit sortie de son imagination. En réalité, rien de la sorte ne s'est jamais produit. N'empêche que les histoires de méchants nazis de ce type sont depuis longtemps le pain et le beurre de Hollywood et de nombreux auteurs en mal de popularité, et qui sont prêts à tout pour faire de l’argent. Les amateurs de cinéma et de romans sont conditionnés par ce genre de balivernes au point de faire passer la fiction pour une vérité. Autrement dit, nous avons tous été entraînés à prendre ces absurdités au pied de la lettre. Comme les Allemands sont foncièrement « méchants », ils ne peuvent faire que des choses « méchantes ». Aucune autre explication n'est requise. (13)



Références


1. Youssef Hindi (2017). La sacralisation de l’État d’Israël. Blogue : youssefhindi.fr


2. Esther BenBassa, Jean-Christophe Attias (2001). Les juifs ont-ils un avenir ? Cité par l’abbé Olivier Rioult. Ouvrage cité, p. 301.


3. Youssef Hindi. Article cité.


4. Anne Kling (2013). Menteurs et affabulateurs de la Shoah. Éditions Mithra.


5. Anne Kling (2006). La France licratisée. Enquête au pays de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme. Éditions Mithtra.


6. Anne Kling (2015). Shoah. La saga des réparations. Éditions Mithtra.


7. Norman G. Finkelstein (2001). L’industrie de l’holocauste. Réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs. Éditions La fabrique.


8. Moshé Zimmerman cité par Y. M. Rabkin (2004) dans Au nom de la Torah. Une histoire de l’opposition juive au sionisme. Les presses de l’Université Laval, p. 211. Cité par l’abbé Olivier Rioult. Ouvrage cité, p. 304.


9. Philip Roth (1995). Opération Shylock. Gallimard, p. 137-142. Cité par l’abbé Olivier Rioult. Ouvrage cité, p. 302.


10. Benton Bradberry (2018). Le mythe du sale boche. La stigmatisation de l’Allemagne à des fins hégémoniques. Éditions Authorhouse.


11. Ibid.


12. Ibid.


13. Ibid.



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1 commentaire

  • Normand Guillemette Répondre

    11 juin 2020

    Bonjour M. Danten


    C'est le 1er article de vous que je lisais. J'ai beaucoup apprécié... La judéïté a, en effet, quelques chose d'ambigu et de sournois à la fois. Est-ce un peuple ? Est-ce un mouvement religieux ? Est-ce une race ? Le fait en est que le pays des juifs, c'est leur religion. Ils trainent leur pays avec eux et c'est pourquoi ils ne sont physiquement nulle part chez eux, sauf les sionistes modernes. Leur statut de nomades (puisqu'ils n'ont pas vraiment de pays) en fait des cosmopolites. Ils ont donc des réseaux internationaux, commerciaux, d'influence et d'espionnage. N'ayant pas d'assises stable avec la terre, ils se plaisent dans les cités et ils se spécialisent dans le commerce, la finance et les réseaux d'influence. Leurs préceptes religieux très laxistes au niveau de la morale en fait de redoutables gens d'affaires pour les goyms puisque leur loyauté et leur moralité s'adresse d'abord aux individus de leur clan. Ils n'ont pas d'armées. Leurs armes sont l'argent, le renseignement, l'affabulation, le mensonge, le chantage. Ils livrent leurs guerres en parasitant les force vives de leurs ennemis par l'intérieur à travers toutes les organisations vitales des nations et pays qui attirent leur convoitise. Ils incrustent leurs victoires à travers des lois les sanctifie à traves la Shoah qui les rendent collectivement plus ou moins intouchables... Ambiguïté et sournoiserie... Présentement, on peut presque dire qu'ils ont conquis l'Occident...