Propagande de l'idéologie multiculturaliste à l'oeuvre

La représentation volontairement faussée des jeunes québécois à la télé

Le visage de Montréal n'est pas représentatif de tout le Québec

Tribune libre


L'autre jour, je suis tombé par hasard sur une dynamique émission pour la jeunesse qui s'appelle Le dernier passager. Chose frappante en cette ère de propagande idéologique multiculturaliste, on y voyait que des bandes de jeunes Québécois de souche joyeux, dynamiques et impliqués.

J'ai compris rapidement le pourquoi de la chose: les 3 équipes venaient de 3 villes du Québec et non de la région immédiate de Montréal comme c'est habituellement le cas. Car on se sert toujours du visage multiethnique de Montréal pour laisser croire que l'ensemble du Québec ressemble à ça ou le devrait, ce qui est de la fausse représentation aux objectifs oh combien douteux.


Par la présentation répétée de ce faux visage du Québec qu'on cherche à imposer, on vise évidemment à diminuer l'importance du peuple canadien-français en son propre pays, lequel devrait se plier de bonne grâce aux diktats des vues cosmopolitisantes des fédéralistes, des dénigreurs du peuple québécois, des dilueurs aveuglés des identités nationales, qui voient dans l'ethnicisation massive du Québec le stratagème parfait pour empêcher à jamais la réalisation de l'indépendance nationale.

Pas surprenant qu'un récent sondage révélait que 95% des communautés ethniques appuyaient M. Philippe Couillard du PLQ (même pourcentage que le Non allophone au dernier référendum). Les immigrants non-intégrables sont l'arme de destruction invasive invisible qui décomposent à petit feu l'âme des nations constituées. Pour 1 qui s'intègre, 99 le refusent. Ils font dévier la course de l'élan national légitime de chaque nation.


Pour revenir à l'émission en question, c'était on ne peut plus rafraîchissant de voir à quoi ressemble le vrai Québec hors l'Île. Surtout lorsqu'on sait que le mot d'ordre des médias est de présenter unilatéralement le Québec comme un vaste pot-pourri d'ethnies diverses où celles venues du tiers-monde sous-développé sont valorisées comme un enrichissement indispensable à notre société évoluée.

Les studios de télé étant concentrés à Montréal, cela a pour résultat de montrer une surreprésentation de minorités multi-ethniques dans un pourcentage qui ne reflète la réalité que d'une seule ville, Montréal, ceci dans le but évident de les imposer de force, même contre la volonté de la population native.

Cette distorsion est clairement au désavantage de la représentation de la majorité qui forme la population québécoise qu'on veut relativiser négativement en diminuant leur importance et la place qu'ils occupent démographiquement.

On le remarque également dans les nombreuses émissions avec public assis autour des invités. Le réalisateur choisit toujours soigneusement de placer diverses ethnies dans le champ de vision de la caméra, bien visibles entre les invités de l'émission, ça saute aux yeux.


En passant, avez-vous remarqué par exemple aux nouvelles de Radio-Canada le nombre frappant de non-canadiens-français parmi les reporters? Il y a là anguille sous roche, propagande fédéraliste multiculturaliste oblige.

Et il nous faudrait accepter tout cela béatement, docilement, fatalistement? Oh que nenni, s'exclama-t-il!

Il ne faut surtout pas baisser les bras et accepter de façon résignée que les médias laveurs de cerveaux nous bourrent le crâne avec la surreprésentation des minorités visibles dans le but de nous faire croire que tout le Québec ressemble à ça ou qu'il faut mettre tout en œuvre pour qu'il devienne ainsi le plus tôt possible. Ce serait faire le jeu des fédéraliseurs de bas acabit qui n'ont que la perte de l'identité de notre nation en tête.


Aux esprits susceptibles, répétons que l'objet de cet article était d'illustrer l'écart notable qui existe entre l'image qu'on cherche à donner du peuple québécois dans les médias, en faussant volontairement la représentation réelle du peuple canadien-français au profit d'une vision multiethnique qui se limite géographiquement à l'Île de Montréal, dans un but évident de propagande multiculturaliste.

Nous les Québécois avons une identité culturelle belle et forte, à nous de la maintenir fièrement et de transmettre cette fierté à nos enfants, cette jeunesse qui prendra la relève du flambeau de la noble quête de la souveraineté, pour la suite du monde.
Réjean Labrie

À propos de l'émission Le dernier passager: http://ww.telequebec.tv/emissions/ledernierpassager/presentation.aspx

Sur les photos, des jeunes de Sainte-Marie, Beauceville, Shawinigan, Drummondville, Plessisville.

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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14 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    15 juillet 2013

    @ M. Maronani,
    Vous dites:
    "Donner de l’argent a des gens ne leur donne pas toujours l’envie de faire des enfants..."
    Les faits semblent pourtant contredire ce que vous avancez. Depuis les 30 dernières années, c'est dans les couches socio-économiques les plus défavorisées du Québec qu'il y a eu le plus de solitude et le moins d'enfants...

  • Archives de Vigile Répondre

    14 juillet 2013

    ne sont plus ce que les femmes québécoises veulent entendre...elles veulent disposer de leur corps et controler leur fécondité...
    Le discours ne vient pas des femmes québécoises, mais d'une idéologie "féministe" issue de l'École de Francfort. Un discours de la culture marxiste qui prétend effacer la différence entre les sexes. qui fait la complémentarité, au nom de l'égalité absolue.
    La femme, gardienne du foyer. doit changer pour devenir un facteur de production dans la société. En poussant trop les femmes sur le marché du travail pour de bas salaires, c'est l'augmentation de la population active et une pression à la baisse sur les salaires. La capacité de l'homme ordinaire à subvenir aux besoins d'une famille diminue. Ce qui force les deux membres du couple à travailler hors-foyer pour un revenu qui convient au train de vie normal de la classe moyenne.
    Le mythe de la super-femme travaillant hors-foyer et capable de garder et d'éduquer les enfants prend le bord. Les tâches ménagères sont négligés, les enfants deviennent négligés ou grandissent sans tutelle serrée. Les couples se défont, alors faire des enfants, c'est une entreprise périlleuse.
    Les femmes qui obtiennent un bon salaire, se mettent à consommer de leur propre chef. Et l'augmentation du parc automobile au Québec, c'est surtout le facteur de la femme qui se permet un VUS ou une auto pour aller travailler et reconduire l'enfant à la garderie. Problème de congestions en hausse, ainsi que du smog et de la consommation pétrolière. Plus de détails des statistiques dans les livres de Richard Bergeron.
    L’économie de l’automobile au Québec (2003) ed. Hypothèse
    Le livre noir de l'automobile (1999) éd. Hypothèse
    Ce que la femme veut, est-ce vraiment sa volonté ou un conformisme social proche du syndrome de Stockholm ?
    Faire des enfants fait partie de sa biologie et de son système hormonal. Mais l'idéologie régnante le nie.
    L'égalité des sexes est un mythe là où je travaille. Soulever des caisses de 30 à 45 kg demande des femmes d'exception. Il y a deux femmes sur le plancher qui travaillent au niveau des débarcadères. Elles ont cumulé leur ancienneté dans la transformation avant la fermeture des ateliers. Maintenant, elles sont fréquemment en maladie pour dépression. Sans syndicat, elle ne seraient plus sur le plancher.

    Au Québéc l’indice de fécondité est en-dessous de 1.70 depuis le début des années 2002. Il est nécessaire d’avoir un taux de 2.1 pour renouveler les générations. Seules le prolongement de l’espérance de vie et l’immigration ont empechés une situation plus préocupante.

    Faut-il une population croisssante ou la diminuer pour la santé planétaire ?
    L'immigration ne pallie pas la baisse de fécondité et engendre déjà des coûts supplémentaires. Je me préoccupe plus de l'exploitation de la main-d’œuvre étrangère et des fossés sociologiques, que de la baisse de la population proprement locale. Au contraire des politiciens pour qui, croissance économique rythme avec croissance de l'assiette fiscale.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 juillet 2013

    @alain maronani
    /…Je ne comprends strictement rien à ces histoires cosmiques.../
    C’est la même chose pour moi. Une partie de moi tente de comprendre l’histoire humaine, d’en reconstituer le puzzle global avec l’aide d’éléments éparses, fragmentés, trafiqués, partiels, en espérant pouvoir reconstituer le tout afin de se donner un souffle de compréhension et une vue d’ensemble, et d’établir ainsi un semblant d’équilibre dans mon être. Et j’ai une autre partie de mon être qui me dit qu’il n’y a rien à comprendre de tout ce cirque qui n’a ni queue ni tête, et qu’il est illusoire de vouloir cerner avec notre cerveau et ses deux hémisphères ce qui appartient à l’inconnu.
    Cette partie de moi me laisse aussi entendre qu’élaborer des stratégies à partir du connu de l’histoire humaine pour toucher ce qui sous-tend l’histoire humaine est futile, et qu’au contraire, il faut que cette première partie de mon être capitule et renonce à essayer de comprendre ce qui ne se comprend pas. Faisant ainsi le vide dans ma conscience rudimentaire, un autre type de connaissance qui appartient à l’inconnu peut alors couler librement en mon être. Tant que cette première partie de mon être croit être en mesure de faire le tour de l’histoire, l’inconnu de mon être ne peut se révéler, s’installer, s’établir, même si lui est déjà là, présent, quelque part en arrière, attendant que je lâche prise avec cette vie matérielle que je crois être la seule réalité possible.
    Réfuter cette histoire humaine comme toutes les histoires, et non pas les rejeter, cette nuance est essentielle, comme étant illusoire, et la façon la plus logique d’ouvrir notre espace en faisant place à ce que nous sommes réellement au-delà de notre corps physique et de sa personnalité bien tangible pour la première partie de notre être, mais qu’en réalité, n’est pas ce que nous sommes réellement.
    Donc, si nous ne comprenons pas c’est bon signe! Que l’on ne comprenne pas ou que l’on semble comprendre n’a donc aucune espèce d’importance. Et même si l’on pouvait comprendre, cette compréhension ne nous ferait nullement sortir de la compréhension, car dans la réalité universelle, il n’y a rien à comprendre, comme aucunes croyances; c’est seulement les ignorants de la réalité-autre qui sont obligés de croire ou de comprendre afin de pouvoir se donner hypothétiquement un semblant d’identité.

  • Alain Maronani Répondre

    14 juillet 2013

    @Michel Bélisle alias Didier
    Donner de l'argent a des gens ne leur donne pas toujours l'envie de faire des enfants...et les propositions passées de Monsieur Labrie, entre autres, inciter les femmes enceintes a ne pas avorter, favoriser l'adoption, et tutti quanti, plus la ritourne habituelle de notre Sainte Mère l'Eglise..., ne sont plus ce que les femmes québécoises veulent entendre...elles veulent disposer de leur corps et controler leur fécondité...que cela vous plaise ou non.
    Au Québéc l'indice de fécondité est en-dessous de 1.70 depuis le début des années 2002. Il est nécessaire d'avoir un taux de 2.1 pour renouveler les générations. Seules le prolongement de l'espérance de vie et l'immigration ont empechés une situation plus préocupante.
    Enfin, perspective terrifiante..., pour certains, les immigrants font plus d'enfants que les autres, examiner la sortie d'une école a Montréal lève tout doute a ce sujet.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_du_Qu%C3%A9bec#.C3.89volution_d.C3.A9mographique_du_Qu.C3.A9bec_en_comparaison_du_reste_du_pays
    @Peter
    Je ne comprends strictement rien a ces histoires cosmiques...

  • Archives de Vigile Répondre

    14 juillet 2013

    @Michel Bélisle
    Cette dite contre-civilisation est supportée par un type d’éther de vie. Si un autre type d’éther de vie se présente à une fréquence de l’atome différente, le premier éther de vie doit obligatoirement se modifier si tu veux. C’est la transmutation. D’abord il y a afflux du nouvel éther de vie dans notre espace, puis il y a superposition pendant un moment des deux types d’éther de vie en deux strates si tu veux. Cette imbrication laisse ensuite la place à l’interpénétration des deux types d’éther qui cohabitent dans une sorte de fusion. Ensuite vient la dissolution du premier type d’éther et de ses composantes élémentaires sous l’action transmutative du nouvel éther.
    Si la fréquence de l’atome est différente, tout ce qui constituait la matière de l’ancienne civilisation est altérée, et cette existence matérielle ne peut plus être la même, et conséquemment tout ce qui appartenait à l’ancienne conformation de la matière se démantèle, se désagrège, se détériore et fini par disparaître complètement, pour laisser la place à une nouvelle conformation supportée par un nouveau type d’éther ou de lumière qui a pris toute la place laissée vacante par l’ancien éther. Les lois de la matière se trouvent alors bouleversés. Et si les propriétés de la lumière change, la structure même de la matière est altérée.
    À partir de là on peut extrapoler sur l’ensemble de la structure du système dans tous les domaines pour réaliser et bientôt expérimenter par nous-mêmes, que effectivement, nous vivons une période de déstructuration intensive de l’ancien pour faire place au nouveau. Pour l’instant tout ceci appartient encore à un inconnu pour notre conscience, parce que notre conscience repose encore pour le moment composée sur des paramètres qui s’appuient sur des principes de l’ancien éther. Nous ne pouvons pas encore pour le moment en concevoir des implications pratiques et différentes dans notre vie concrète. Nous les découvrirons à mesure que le nouvel éther deviendra effectif dans notre environnement. Cette modification de la matière même de cette dite contre-civilisation nous le vivons aujourd’hui, maintenant. Ce n’est pas pour plus tard, nous le vivons présentement, en étant plus ou moins conscient de ce qui se déroule en nous et autour de nous.

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    @ Peter,
    "Laissons notre lumière s’occuper de tout"
    Il va falloir un peu plus que de la lumière pour changer quelque chose à notre contre-civilisation.
    Depuis 30 ans, c'est dans les couches socio-économiques les plus défavorisées au Québec qu'on a vu le plus de solitude et le moins d'enfants.
    Monsieur Labrie, un ardent patriote nationaliste en faveur de la protection de l'identité québécoise, devrait normalement s'insurger contre cet état de fait qui a fait descendre notre niveau de fécondité pas à peu près.
    Le revenu universel serait un bon moyen de permettre à tous les Québécois sans exception d'avoir accès à une vie décente où ils pourraient fonder une famille et contribuer à la conservation de l'identité québécoise.

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    Quelle est l’identité de tous ceux qui vivent aux Québec ? C’est le cœur des québécois à l’unisson ! Et ce cœur à la propriété d’enflammer tous les cœurs. Ce cœur transcende tout, et va bien au-delà de toutes les divisions. Lorsque ce cœur vibre, des empires s’écroulent ! Là est la vérité, la seule, l’amour de ce cœur peut faire fondre n’importe quel système ! Ce cœur est un feu, et il s’allume en ce moment et se répand partout, même à notre insu, à travers le feu du cœur de chaque québécois, de chaque homme sur cette terre, et tel le feu sacré de la Saint-Jean-Baptiste, il enflammera tout le Québec, les nations et le monde entier. Là est la puissance de l’amour, et rien ne résiste à la lumière. Ce qui marque et marquera le monde, c’est la lumière du Québec et d’ailleurs. Lorsque le soleil se lève, les ténèbres se dissipent naturellement sans lutte ni combat. Il n’y a qu’à rester tranquille, et tout rentrera dans l’ordre : l’amour s’occupe de tout. Le cœur des québécois est un soleil. Le cœur de tous les hommes est un soleil. Et rien n'existe sans le soleil. Réaliser que tous les hommes sont des soleils, que le soleil est un, qu'il n'y a pas de séparation entre les hommes, c'est mettre un terme à la dualité de ce monde. Et c'est ce qui vient! Et est déjà là! Les hommes, comme tous les québécois, en ont marre de tous ces combats futiles. Seule cette lumière peut résoudre l'équation du bien et du mal. Des luttes incessantes. Laissons notre lumière s'occuper de tout! La lumière et l’homme ne font qu’Un.

  • Lucille Labrie Répondre

    13 juillet 2013

    Je ne comprends pas tout à fait la raison de votre article. Tout comme vous
    je suis à 100% pour l'affirmation de notre peuple québécois de souche, mais de là à penser que le fait de voir d'autres personnes de différentes ethnies à la télé
    serait un complot contre nous, il ne faut quand pas exagérer!
    Les artistes et journalistes qui parlent français et vivent au quotidien la réalité québécoise devrait être pourtant apprécier de nous tous qui sommes indépendantistes!
    Faut pas chercher des bibites noires partout, il y en a suffisammnet comme çà!

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    http://www.youtube.com/watch?v=_etFGQXq2N4
    Emmanuelle
    ET C'EST PAS FINI!
    Paroles et musique: Stéphane Venne
    Je t'ai vu faire lever le jour
    En chantant des chansons d'amour
    Je t'ai vu monter vers le ciel
    Car tu as dans la tête bien mieux que des ailes
    Et je dis sans même trembler
    Que j'arrive à te ressembler
    Je suis toi et toi tu es moi
    Et nous sommes le monde et nous sommes bientôt
    Ce qu'il y a de plus beau dans le monde, dans le monde
    Et c'est pas fini, c'est rien qu'un début
    Le vrai soleil on l'a pas encore vu
    Et jusqu'aujourd'hui, on n'a rien vécu
    La grande extase, on l'a pas encore eue
    Non c'est pas fini, c'est rien qu'un début
    Mais c'est le plus beau des commencements
    Han han, han han, han han han
    Je t'ai vu parler cœur à cœur
    A des voix qui venaient d'ailleurs
    Je t'ai vu leur faire un sourire
    Comme on fait quand on est sur le point de partir
    Et je dis que je suivrai
    Car c'est toi qui m'as délivrée
    De ma vie qui n'allait nulle part
    Mais la vie, l'autre vie, je la sens comme une onde
    Je la sens, je la suis dans le monde, dans le monde.
    Et c'est pas fini, c'est rien qu'un début
    Le vrai soleil on l'a pas encore vu
    Et jusqu'aujourd'hui, on n'a rien vécu
    La grande extase, on l'a pas encore eue
    Non c'est pas fini, c'est rien qu'un début
    Mais c'est le plus beau des commencements
    Han han, han han, han han han
    ------------------------
    http://www.youtube.com/watch?v=H_iv_dntzhE
    Voici l'un des tous premiers "lipdub" tourné avec des élèves du primaire. Réalisé le 11 novembre 2009 avec des jeunes du 3e cycle de la classe d'Emmanuel Bernet à l'école Saint-Émile, ce "lipdub" vous présente la chanson "Et s'est pas fini".

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    "cette jeunesse qui prendra la relève du flambeau de la noble quête de la souveraineté, pour la suite du monde."
    Les dernières révélations au sujet des opérations de surveillance sur à peu près tous les citoyens de tous les pays de la planète par le Système ne nous donnent-elles pas l'évidence qu'il n'y a plus de souveraineté ni d'indépendance possible par rapport au Système en ce 21e siècle?
    La "suite du monde" apparaît de plus en plus comme étant tout le contraire des mots "souveraineté" ou "indépendance".
    Comment se fait-il que les gens ne perçoivent toujours pas cela malgré les nouvelles qui nous parviennent de la surveillance massive dont nous sommes tous l'objet par le Système?

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    Ceux qui parmi cette jeunesse ont réussi selon les critères du système, et c’est la minorité, ont souvent vendu leur âme au système sans trop s’en rendre compte. Ils appliquent aveuglément, précisément, à la lettre, les directives provenant du haut de la pyramide ; ce sont de bons automates au service de la matrice, au service du ministère de l’endoctrinement. Eux ont bénéficié des avantages de leur soumission, plus ou moins consciemment, je dirais plus inconsciemment qu’autre chose.
    Les « têtes fortes » tant qu’à eux ont été mises de côté. Leur cœur n’était pas à vendre. Le système les a poursuivis, harcelés, menacés, décriés… Eux ont été mis au banc, on les a mis à l’index, on les a repoussé, c’était de mauvais candidat, et les avantages qu’ils ont pu retirer du système si on peut parler d’avantages, ce sont limités au minimum. Il ne faut surtout pas encourager la résilience se dit-il ! Beaucoup vivent dans nos rues, d’autres de « petites vies » tranquille, ou de « grande Vie » dépendant du point de vue que l’on adopte, et se contentent de p’tits jobs par-ci par-là, à droite à gauche ; ne restant pas longtemps au même endroit ; il ne faut surtout pas juger ces derniers ; les apparences ne sont pas ce qu’elles sont en réalité.
    D’autres sont des agents doubles, ils travaillent de l’intérieur, non sans problème ; souvent considérés comme de grands malades ; plus souvent repoussés qu’autre chose ; ce sont des grains de sable dans l’engrenage ; et le système tente par tous les moyens de les rejeter hors de son institution. Les plus muets sont les plus difficiles à détecter ; la vie leur a enseigné à être très prudents.
    Bref, la jeunesse québécoise n’est pas ce qu’elle laisse transparaître de l’extérieur, semblable à la lave qui semble dormir dans le ventre des volcans, un jour, bientôt, elle se réveille, et fracasse tout sur son passage ; car sa lumière est grande ; et cette lumière brûle tout ce qui n’est pas de cette essence. Ceux qui tiennent les rênes du pouvoir en ont plus peur qu’autre chose ; il faut les casser à tout prix se disent-ils ! On a qu’à constater tous les efforts que tentent désespérément le système pour récupérer les décrocheurs scolaires, qui sont en réalité des décrocheurs du système lui-même ; ils écoutent plus les voix de leur cœur, et les suivent sans se faire acheter par la manigance et le mensonge. Ce sont des purs et durs ! Et il en va de même pour le cœur du peuple québécois ! Il est plus proche de son cœur que de sa poche ! On ne peut l’acheter, même s’il en laisse l’impression, rien n’est plus faux ! Ne nous fions pas aux apparences !

  • Archives de Vigile Répondre

    13 juillet 2013

    On a tendance à rabaisser notre jeunesse lorsqu’on utilise les critères d’évaluation de ce système. Est-ce que nos enfants sont de bons travaillants ? Est-ce que nos enfants sont bien intégrés au système ? Est-ce que nos enfants ont bien réussis…sont-ils riches…ont-ils une belle maison…beaucoup de possessions matérielles…bref, ont-ils vendu leur âme au diable ?
    En regardant l’histoire de la vie de plusieurs de mes amis d’enfance jusqu’ici. Je peux faire ressortir que la jeunesse québécoise depuis un demi-siècle a eu de la difficulté à s’intégrer à ce système tel qu’il a été conçu.
    Du point de vue du système, cette jeunesse québécoise est une « tête de cochon » qu’on doit par tous les moyens contraindre, asservir, noyauter, assimiler…etc., etc. ; ce ne sont que des rebelles, des têtes fortes que l’on doit mâtées absolument !

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juillet 2013

    Monsieur Labrie,
    J'ai le regret de vous dire que vos jeunes Québécois de souche sont colonisés au point où à Québec, ils ne sont plus capables de présenter des artistes francophones au Festival d'été, jadis un festival tourné vers les artistes de la francophonie.
    Le Système a complètement absorbé les jeunes Québécois de souche, tellement que le PQ ne profite plus du vote de la jeunesse comme l'ont démontré les élections de septembre dernier.
    Même si en région, le visage du Québec est moins multiculturel, les jeunes des régions se font répéter depuis qu'ils sont au monde par les ténors du Système qu'ils n'ont pas d'autre identité que celle d'être une ressource humaine destinée à répondre aux besoins du Marché, bref qu'ils ne sont que des producteurs-consommateurs.
    Et s'ils n'arrivent pas à obtenir cette seule identité possible pour se faire une vie, ils seront selon les désignations du Système, soit chômeurs, BS, démunis, sans-abris etc...
    Si la société québécoise avait vraiment à coeur son identité, la tragédie des trente dernières années au Québec qui fait que c'est dans les couches socio-économiques les plus défavorisées qu'il y a eu le plus de solitude et le moins d'enfants ne serait pas arrivé.
    Quelqu'un, quelque part, aurait établi ce que le regretté Michel Chartrand appelait le revenu de citoyenneté universel afin que tous les Québécois aient accès à une vie décente et heureuse, puissent s'établir et fonder une famille et perpétuer l'ethnie québécoise qui, monsieur Labrie, vous tient supposément tant à coeur.

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juillet 2013

    La moitié de la population du Québec vit dans la région de Montréal. D'où la montréalisation de la télé.
    Il faut vraiment insister sur l'aspect campagne pour l'homogénéité raciale. (Le mot "race" prime sur celui d'"ethnie" [nation])
    Les ethnies sont répandues sur les deux rives entourant Montréal et l'île Jésus (Laval).
    Dans le bas du fleuve, on peut être surpris par des têtes rousses frisées et joues tachetés. C'est le sang irlandais. Parfois des grands blonds qui descendent de ces Allemands hessois mercenaires de l'armée britannique stationnées après que les Américains aient levé le siège de Québec.