Le 26 janvier, disons non à notre liquidation programmée !

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Ça va chauffer nonobstant janvier

Sans nous ! Il faut dire le mot, nous faisons sécession. Nous sommes devenus minoritaires chez nous et certains veulent notre disparition comme peuple et nation. Nous ne voulons pas de notre dissolution dans le cuit-tout multiculturel et la potée fourre-tout du métissage niveleur.
Tout le prouve, des signes d’expiation et de haine de soi d’un pays, et de ses élites au premier chef, avec ses obsessions mémorielles et ses lois du même nom, de l’éloge des nouvelles icônes qui se doivent de ne pas nous ressembler aux listes des personnalités préférées des Français toutes issues de la diversité, de l’élection des Miss France obligatoirement métissées et enfin de ces rapports scélérats sur la « France d’après », après la République unitaire, après le modèle français d’assimilation.
Nous serions privés d’un pays que nos parents et les parents de nos parents ont mis quinze siècles à construire, et en deux générations ce pays, la France, est menacé de disparition sous les coups de masse des fossoyeurs qui veulent nous faire passer aux poubelles de l’histoire.
Nous ne serons pas les derniers des Mohicans ! Non à la disparition de la République unitaire ! Ces cinq rapports prônant le passage au modèle multiculturel, défendant la dés-intégration de nos valeurs, de notre langue, de notre histoire, est un aboutissement. Les membres de ces commissions représentent tout ce que le socialisme a enfanté d’apparatchiks de parti et d’universitaires abrutis. Il faut les prendre au sérieux. J’ai consacré mes cinq derniers articles publiés sur Boulevard Voltaire au processus ayant vu les socialistes vendre la France aux communautaristes depuis trente années, sans penser que je serais aussi bien servi par l’actualité.
Nous sommes des Français au carré qui ne veulent pas mourir, qui ne se reconnaissent plus dans la voie suicidaire prise par ce pays, et dans des élites qui l’ont trahi, et nous sommes aussi des immigrants de toutes origines, sans distinction de race ou de religion, parfaitement intégrés à cette nation, infiniment redevables pour l’accueil qui leur a été réservé.
Nous en appelons à la résistance passive, comme une obligation sacrée inscrite à l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme de 1793 : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Il n’est plus temps de tergiverser, de gloser sans résultats. Il appartient à chacun de résister, dans la rue, au travail, par la veille-debout, avec les slogans qu’on voudra – de Hollande démission à Halte à la dictature socialiste – et les signes de reconnaissance, des bonnets aux couleurs que vous voudrez aux logos de la Manif pour tous, et même jusqu’à la quenelle. La coagulation que craint Hollande viendra d’elle-même.
Tous, massivement, nous irons dire notre colère le 26 janvier 2014. La chaîne humaine que nous formerons à travers la France sera le symbole de notre capacité à dire NON, comme Renaud Camus nous y a invité, à notre liquidation programmée.


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