Retour sur Égalité ou indépendance de Daniel Johnson.
La fin du référendisme.
Et maintenant.... https://vigile.quebec/articles/la-fin...
Le droit à l'autodétermination, une fiction politique? https://vigile.quebec/articles/le-dro...
Vidéo Vigile
Il faut sortir du culte référendaire
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La realpolitik pour sortir du rêve référendaire
INDÉPENDANCE
Le ballon d'essai de PSPP ne passe pas
Deux expériences peu convaincantes - de qui se moque-t-on ?
CONSTITUTION QUÉBÉCOISE
L’Alberta force la révision de la péréquation
Vigile propose une stratégie au camp souverainiste
Vigile interpelle l'IRAI
Une question fondamentale qui mérite une réponse
SOUVERAINISME
Ballottés entre "le grand soir" et "les petits pas"
NATIONALISME
L’Alberta force la révision de la péréquation
Vigile propose une stratégie au camp souverainiste
SOUVERAINISME
Ballottés entre "le grand soir" et "les petits pas"
Vigile interpelle l'IRAI
Une question fondamentale qui mérite une réponse
Vidéo Vigile
Il faut sortir du culte référendaire
Chronique de Jean-Jacques Nantel
Au Canada, toutes les provinces sont égales devant la loi
Et pourquoi le Québec ne s'allie-t-il pas avec le Nunavut et l'Alberta?
Chronique de Rémi Hugues
MOYEN-ORIENT
Leçon de théorie politique tirée du Printemps arabe
Chronique de Pierre Gouin
Le pouvoir du peuple
Justice ou charité
Chronique de Gilles Verrier
LA GRANDE ALLIANCE
La relation exemplaire franco-amérindienne
Chronique de Rodrigue Tremblay
ÉCONOMIE
Si nous perdons la disposition de dérogation, la louisianisation guette le Québec
La chroniqueuse se fait pétroleuse
La réhabilitation: rien qu'une illusion
Les criminels récidivistes doivent être enfermés à vie pour la sécurité publique
La survie de la Nation Canadienne Française ne se réalisera que par un consensus d’Union des Patriotes
Autre subterfuge partisan-électoraliste de la CAQ afin de vouloir reprendre la cote de popularité* visant à se maintenir au Pouvoir lors des élections générales du 5 octobre 2026
...un projet de mine à ciel ouvert qui n’a toujours pas vu le jour au nord de Saguenay au bout de presque 10 ans.
Chronologie d’un processus d’ingénierie << spéculative >> impliquant des acteurs opérant dans les coulisses du Pouvoir
Une culture vivante dont tout le monde parlera
36 exemples
Décisions présidentielles radicales pour neutraliser davantage la mafia politique du Parti Démocrate Obama-Biden-Harris, << hors la loi >>, et ses complices mondialistes anti-USA
Le nationalisme consensuel et Démocratie directe, un binôme pour la survie nationale
Les mouvements patriotiques en Démocratie Directe, la seule voie démocratique de libération nationale
Le patriotisme politico-économique, une action indissociable pour reprendre le contrôle du Pouvoir de l’État
Les mouvements patriotiques en Démocratie Directe, la seule voie démocratique de libération nationale
Le patriotisme politico-économique, une action indissociable pour reprendre le contrôle du Pouvoir de l’État
«Le Devoir» doit nous entretenir des meilleurs livres au Québec
Face au centralisme colonisateur politico-financier et de politique immigratoire imposé par Ottawa, incompatible aux intérêts nationaux du Québec
Pourquoi dans l’actuel contexte de dualisme économico-géostratégique Trump vs Jinping-Poutine*, l’État québécois deviendra plus décadent et paupérisé
Commission Gallant
Une étonnante affirmation de Suzanne G. Chartrand dans «Le Devoir»
La théorie des fondements moraux du psychologue social Jonathan Haidt
Explique pourquoi tant d’immigrants sont incompatibles avec notre type de société
Pour les industriels du doublage, le temps est venu de faire profil bas
7 milliards de pauvres miséreux qui savent faire pitié se pressent à nos frontières
Qu'ils changent et améliorent leur propre pays s'il ne répond pas à leurs attentes
La réingénierie fédéraliste du Québec
L'État québécois vassalisé
La Paix par la force, une dichotomie cherchant à persuader les adversaires belliqueux des États-Unis par sa puissance économico-militaro-géostratégique mondiale*
Le BRIC, autre organisation anti-USA qui sera acculée à sa dérive socioéconomique et géostratégique à travers l’imposition des tarifs douaniers américains et le définancement international par les États-Unis***
Pour les industriels du doublage, le temps est venu de faire profil bas
Sans l’État-profond* le Parti Démocrate des Johnson, Clinton, Obama et Biden au Pouvoir de l’Administration fédérale, ce parti ne serait pas devenu une mafia politique légalisée
Le patriotisme assumé courageusement par le 45-47ème Président des États-Unis et ses supporteurs*** sera la fin du Parti Démocrate actuel
Soyons pragmatiques
Un pas dans la bonne direction
Les mouvements patriotiques en Démocratie Directe, la seule voie démocratique de libération nationale
Le patriotisme politico-économique, une action indissociable pour reprendre le contrôle du Pouvoir de l’État
Décisions présidentielles radicales pour neutraliser davantage la mafia politique du Parti Démocrate Obama-Biden-Harris, << hors la loi >>, et ses complices mondialistes anti-USA
Le nationalisme consensuel et Démocratie directe, un binôme pour la survie nationale
La guerre des idées, entre confusion et clarté
Les wokes, les féministes, les complotistes, les écolos, les LGBT+, les véganes, les pro-palestine, la gauche, la droite?
Face au centralisme colonisateur politico-financier et de politique immigratoire imposé par Ottawa, incompatible aux intérêts nationaux du Québec
Pourquoi dans l’actuel contexte de dualisme économico-géostratégique Trump vs Jinping-Poutine*, l’État québécois deviendra plus décadent et paupérisé
Plus de 115 800 crimes à Montréal en 2024, à la hausse
hors de proportion avec leur nombre réel
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3 commentaires
Jean-Claude Pomerleau Répondre
7 février 2019(sources) Frontières de Québec
Loi de l'extension des frontières de Québec, 1912
Sovereign injustice : forcible inclusion of the James Bay Crees and Cree territory into a sovereign Québec.
Éric F. Bouchard Répondre
14 février 2019Je voulais simplement vous signaler que la loi de 1898 n’a rien à voir avec celle de 1912. Qu’elle fixe la frontière de la Province of Quebec telle qu’elle était depuis 1774. Et qu’en conséquence, au sud de la rivière Eastmain, notre territoire n’était pas contestable.
De la même manière, je vous disais que vous confondiez notre droit à l’autodétermination avec un droit de sécession du Québec. Si le droit de sécession de la province est une possible fiction dans le cadre constitutionnel actuel, cela n’entraîne pas que le droit à l’autodétermination des peuples en soit une.
Et encore faut-il préciser qui se trouve concerné par ce droit. Vous semblez ignorer que ce droit s’applique aux nations historiques ne disposant pas d’un État national. Autrement dit, dans notre cas, la nation canadienne-française toujours en quête d’un État qui puisse ouvertement servir ses intérêts. Le « peuple québécois », de création récente et de nature pluri-identitaire, ne saurait prétendre à ce droit, ne serait-ce du fait que l’une de ses composantes majeures -la « communauté québécoise d’expression anglaise »- , noyau originel de la nation canadian, s’autodétermine déjà, depuis 1867, 1931 ou 1982, selon diverses écoles.
Ainsi, ce n’est pas parce que «la force prime le droit» que notre droit à l’autodétermination serait inopérant ou inexistant, mais bien parce qu’on en a dépossédé la nation canadienne-française. N’eut été de la fiction du « peuple québécois », le premier référendum eut été possiblement remporté de peu en 1980 et celui de 1995 eut connu un résultat largement gagnant. Cela n’aurait certes pas réglé toutes choses, mais le rapport de force avec Ottawa nous eût été beaucoup moins défavorable.
Ne pouvez-vous pas au moins convenir de cela?
Pour le reste, il faut certes admettre que, souvent dans l’Histoire, «la force prime le droit», mais cela ne signifie pas qu’il faille en faire un absolu. Les Irlandais, les Finnois et combien d’autres ont subi, comme les Canadiens-Français, des siècles de conquête, sans que la conviction de leur bon droit ne s’éteigne pour autant. Ils ont, à terme, obtenu leur indépendance à force d'abnégation et de courage.
Les Canadiens-Français auraient sans doute pu y parvenir eux-aussi, n’eût été de la québécitude, de cette pure idéologie progressiste reposant sur un autodénigrement national et sur une démission historique dont vous vous faites ici le relais.
Éric F. Bouchard Répondre
7 février 2019Un exemple M. Pomerleau de ce qu’un cercle de réflexion élargi pourrait vous apporter.
La loi de 1898 intitulée « An Act respecting the north-western, northern and north-eastern boundaries of the province of Quebec » n’agrandit pas le Québec comme vous l’affirmez. En cela vous faites le jeu des adversaires fédéralistes qui confondent à dessein cette loi avec celle de 1912.
En 1898, le législateur fixe une frontière qui ne l’avait jamais été auparavant, celle entre la Compagnie de la Baie d’Hudson et le Canada de la Nouvelle-France. La province de l’Ontario l’avait exigé pour délimiter son propre territoire, ce qui sera fait en 1878. En 1898, on enregistre la contrepartie québécoise qui découle de cette initiative.
En clair, dès 1898, on reconnait que l’Abitibi et la Jamésie jusqu’à la Rivière Eastmain ont toujours fait partie du Canada de la Nouvelle-France et que, depuis 1774, elles font partie de la Province of Quebec.
Cela signifie que ce vaste territoire est non contestable par le Fédéral et que, notamment, la Convention de la Baie James aurait dû en tenir compte. Un détail? C'est pourtant là plus du quart du Québec dont il est question.