ALERTE !

Le gouvernement Trudeau s’apprête à confronter simultanément les États-Unis et la Russie !

Le gouvernement fédéral craint que la présence de Trump ne favorise l’élection de Marine Le Pen et qu’à son tour celle-ci favorise la relance du mouvement indépendantiste québécois

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Y a-t-il un pilote dans l'avion ?

Ayant la responsabilité de préparer la revue de presse quotidienne de Vigile, j’ai été surpris ces derniers jours de voir apparaître sur des sites étrangers des articles sur la nouvelle ministre des Affaires étrangères du Canada, Cristya Freeland. Outre de mentionner que celle-ci avait été désignée à ce poste à la faveur de l’éviction sans cérémonie de Stéphane Dion, son prédécesseur, on y précisait que Mme Freeland, d’origine ukrainienne, avait enjolivé sur son curriculum vitae l’histoire de sa famille et dissimulé que son grand-père, éditeur d’un organe de presse important en Ukraine pendant la Deuxième Guerre mondiale, avait collaboré avec le régime nazi.

Pressentant l’importance de l’information, et même s’ils étaient en anglais, j’ai tout de suite retenu ces articles pour qu’ils soient mis en ligne sur Vigile. Paru samedi le 21 janvier, le premier a été surtitré « La Pologne enquête sur le passé nazi du grand-père de la ministre des Affaires étrangéres, Crystia Freeland. Interrogé à ce sujet, son cabinet se mure dans le silence ». Le second est paru quelques jours plus tard, mardi le 24 janvier avec le surtitre suivant : « Voici comment Stéphane Dion s’est fait évincer de son poste de ministre des Affaires étrangères ».

Je venais à peine de mettre en ligne mon dernier éditorial me faisait parvenir un autre article d’une autre source sur le même sujet. Son contenu était encore plus spectaculaire et fait l’objet du présent article. J’en ai fait la traduction pour votre bénéfice, et vous le trouverez plus bas. Mais avant que vous ne le lisiez, je tenais à vous fournir quelques précisions sur l’auteur, un journaliste d’enquête américain du nom de Wayne Madsen, un fréquent collaborateur des sites Strategic Culture et Counterpunch, auteur de plusieurs ouvrages, columnist pour une chaîne de journaux aux États-Unis, et ancien collaborateur du Houston Chronicle.

Madsen est aussi un ancien militaire qui a servi dans la marine américaine et un spécialiste du renseignement électronique. Il a également été à l’emploi de la NSA. Sur le plan politique, il est dans la mouvance qui a porté Trump au pouvoir et dans laquelle on retrouve justement plusieurs anciens militaires et spécialistes du renseignement.

À la lecture de cet article, on peut se demander si Madsen a obtenu ses informations, très précises, par des moyens de surveillance électronique. Que ce soit par lui-même ou qu’on les lui ait fournies importe peu. L’important est ce qu’il rapporte, et comme vous allez le voir, c’est proprement stupéfiant :

Les globalistes et les « neocons » se préparent à affronter les États-Unis et la Russie

Les néo-conservateurs et leurs alliés idéologiques globalistes sont persistants, à défaut d’être quoique ce soit d’autre. La décision de l’équipe de transition de l’administration Trump d’écarter de tout poste dans la nouvelle administration tous les conservateurs républicains qui avaient endossé le mouvement « Never Trump » obligent les globalistes et les néocons à se trouver de nouvelles bases d’opération.

Ils se sont regroupés pour combattre aussi bien la Russie que le nouveau président Trump. Avec les départs de Victoria Nuland de son perchoir au secrétariat d’État, Samantha Power de la délégation américaine aux Nations Unies, et Susan Rice du National Security Council, les élites néoconservatrices et globalistes ont identifié le Canada comme plateforme idéale pour la poursuite de leurs basses manœuvres et leur propagande.

Le premier ministre canadien Justin Trudeau vient de remercier son ministre des Affaires étrangères Stéphane Dion pour le remplacer par Chrystia Freeland, jusque-là ministre du Commerce, mais surtout un sosie maléfique de Nuland, Power, et Rice sur la scène mondiale. La politique de Dion de chercher à établir des liens avec la Russie serait à l’origine de sa disgrâce au moment où Ottawa se prépare à accueillir tous les groupes intéressés à déstabiliser l’administration Trump de façon à monter des opérations contre elle.

D’origine ukrainienne, Freeland est devenue la chouchou des globalistes après la négociation d’un accord de libre-échange avec l’Europe l’année dernière. Très contrariée par la résistance du gouvernement régional de la Wallonie qui faisait obstacle à la signature de l’accord par la Belgique, elle a mobilisé de fortes pressions contre lui. Même après l’annonce par le gouvernement wallon de l’abandon de ses réserves à l’Accord économique global Canada/Europe (AÉGCE), le gouvernement fédéral belge est revenu sur l’engagement pris envers les Wallons de soumettre le traité à la cour de justice européenne avant de signer l’accord.

Freeland a également présidé à la signature de l’accord de libre-échange Canada/Ukraine conclu avec le gouvernement néo-fasciste de Kiev. Bien ancrée dans le globalisme et l’affairisme de la doctrine du Parti Libéral du Canada, Freeland estime que les gouvernements régionaux, qu’il s’agisse de la Wallonie, de la Crimée ou du Québec, n’ont aucun droit à l’auto-détermination. Cette posture est centrale à l’idéologie globaliste affairiste. Les partenaires Libéraux de Freeland au Québec sont parvenus à neutraliser le mouvement souverainiste québécois. Cependant, si la candidate du Front nationale aux élections présidentielles françaises devait être élue, la France pourrait redonner vie au mouvement indépendantiste Québécois comme l’a fait le Général de Gaulle en 1967 avec son fameux discours du « Vive le Québec Libre ! ».

Avec la nomination de Freeland aux Affaires étrangères et du somalien Ahmed Hussen à l’Immigration, Trudeau a tracé une ligne rouge devant Trump sur le double enjeu de la mondialisation et de l’ouverture des frontières aux migrants. Ottawa deviendra rapidement le repère des opérations anti-Trump qui impliqueront presque certainement le fauteur de troubles globaliste milliardaire George Soros.

Tout comme Samantha Power, Freeland est une ancienne journaliste qui a monnayé sa réputation professionnelle pour devenir une marionnette du nouvel ordre mondial globaliste. Boursière Rhodes, diplômée de Harvard, et ancienne chargée de projet au Brookings Institution, elle a œuvré aux bureaux du Financial Times à Washington, New York, et Moscou.

Les positions anti-russes de Freeland, et notamment son soutien des sanctions contre la Russie en raison de ses actions en Ukraine et en Crimée lui ont valu d’être interdite de visa par le gouvernement russe. Au cours des derniers mois au bureau du Financial Times à Moscou, elle est devenue une critique très en vue de la nouvelle administration de Poutine, en l’accusant de vouloir imposer la dictature en Russie. La Russophobie de Freeland remonte à l’époque où elle était simple journaliste à Kiev. En fait, les préjugés de Freeland contre la Russie ont toujours été apparents dans ses reportages. Elle compte des amis dans tous les partis. Figurent parmi ceux-ci le sioniste de service du Parti Libéral, Irwin Cotler, Paul Grod, le président du Congrès canadien ukrainien, et Peter Kent, le porte-parole Conservateur en matière d’Affaires étrangères.

Dans l’une de ses premières déclarations en qualité de ministre des Affaires étrangères, Freeland s’est engagée à ne pas lever les sanctions contre la Russie. Le 10 janvier 2017, elle s’est engagée à ce que le Canada se dresse en « rempart contre le protectionnisme et la xénophobie ». Il s’agissait d’un avertissement très clair à Trump à Washington, à Marine Le Pen, au premier ministre hongrois Viktor Orban, et au politicien britannique de l’UKIP Nigel Farage. En décembre 2016, le Canada avait été l’hôte d’une réunion du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et des fondations Open Society de George Soros qui cherchent à accroître le déplacement des réfugiés depuis le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et l’Asie du Sud-Est vers les pays industrialisés de l’Occident. Il ne fait pas beaucoup de doute que les russophobes Freeland et Soros collaborent sur plusieurs fronts contre et la Russie et Trump.

Les petits roquets à la tête des pays européens sont ravis que le gouvernement Trudeau ait confié les Affaires étrangères du Canada à une russophobe. Freeland n’a pas fait mystère de son objectif de convaincre l’administration Trump de changer de politique sur la Russie. Elle s’est vantée de son « réseau très large de contacts » à Washington, et elle prétend avoir de l’expérience dans la navigation des « couloirs du pouvoir » au Congrès des É.-U., au Secrétariat d’État, et à la Maison Blanche. L’ambassadeur ukrainien à Ottawa, Andriy Shevchenko, espère que Freeland sera en mesure « d’éduquer » l’administration Trump sur l’importance de maintenir une pression politique et économique sur la Russie. Pour sa part l’ambassadeur de Lettonie à Ottawa, Karlis Eihenbaums, considère cette ville comme le centre de lancement d’une campagne de facto de l’OTAN visant à faire dérailler à Washington toute tentative de rapprochement entre les États-Unis et la Russie.

Freeland a manifesté ses intentions envers Trump et Poutine lors d'une rencontre récente avec le financier américain William Browder à Davos, en Suisse, à l'occasion du sommet économique. Browder, au coeur d’une vaste fraude en Russie dans laquelle se trouve impliquée son entreprise basée sur l’île de Guernesey, la Heritage Financial Management, est le petit-fils d’un ancien dirigeant du Parti Communiste des États-Unis, et, tout comme le financier escroc Mikhail Khodorkovsky, un critique farouche du gouvernement russe et du président Poutine.

Depuis Ottawa, Freeland va mener la charge globaliste et néo-conservatrice contre toute tentative de Trump de déchirer l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). Elle tentera aussi de sauver le Partenariat Trans-Pacifique (PTP) auquel le Canada a adhéré et que Trump s’est engagé à mettre aux poubelles. Elle devrait aussi ouvrir l’Arctique canadien aux forces armées de pays membres de l’OTAN hostiles à la Russie comme la Norvège, le Danemark et l’Allemagne de même qu’à des pays favorables à l’OTAN comme la Suède et la Finlande. Une présence accrue de l’OTAN dans cette région sans la présence des États-Unis ne va pas seulement contribuer à la militariser, elle va également envoyer à la Russie le signal que le Canada entend contrôler les couloirs navigables de l’Arctique qui sont de plus accessibles en raison des changements climatiques.

Ottawa devenant donc un pôle des activités anti-Trump ou anti-russes, le monde peut s’attendre à un refroidissement des relations entre le Canada et les États-Unis. Si Trump commence à voir le Canada comme la base des opérations lancées contre lui, la frontière des États-Unis avec le Mexique risque de ne pas être le seul point de crise dans les relations politiques nord-américaines.
[Ma traduction]

Ouf !

Vous êtes probablement aussi renversés que moi.

Si nous avions encore le moindre doute sur la gravité de ce qui est en train de se passer sur la scène internationale avec l’entrée en fonction du nouveau président des États-Unis, nous voilà renseignés. Et au fond, ce texte se trouve confirmé par les échos qui nous proviennent d’Europe où les élites dirigeantes ne se gênent pas pour exprimer leur incrédulité et leur colère devant le caractère radical des propos et des actions de Trump.

Avec l’article de Madsen, nous découvrons de quelle façon la partie va se jouer avec le Canada. Et il n’y a pas de quoi être rassurés. Dans mon dernier éditorial, je posais justement la question :

Enfin, sur le plan politique, il ne peut y avoir pour le Canada de plus grande menace qu’un président des États-Unis qui se déclare ouvertement souverainiste. Jamais la classe politique canadienne n’a pensé un seul instant qu’une telle situation puisse se présenter et il sera très intéressant de voir comment elle se positionnera, coincée qu’elle se retrouve entre le souci de ne pas s’aliéner son principal partenaire commercial et le besoin de justifier et réaffirmer sa vision politique pour le pays. Comme cadeau du 150e de la part de son seul voisin et plus grand partenaire d’affaires, c’est réussi !

La réponse que l’article de Madsen nous permet de découvrir n'est vraiment pas rassurante. Le Canada n’est tout simplement pas de taille à confronter les États-Unis ou la Russie, et encore moins les deux simultanément. D’une seule signature au bas d’un décret, le président Trump est capable d’envoyer revoler l’économie canadienne.

La confrontation n’est tout simplement pas une option pour le Canada, et ne faire que l’antagoniser n’est pas plus brillant. Trudeau n’est pas prêt de recevoir une invitation à la Maison-Blanche, et il se pourrait même que Trump retarde pour un bon moment la nomination d’un nouvel ambassadeur à Ottawa, juste pour aider les Canadiens à comprendre qui « runne le show ».

En temps normal, le Québec devrait intervenir auprès de Justin Trudeau pour qu’il modère ses transports, mais les positions prises par Couillard vont tout à fait dans le sens des gestes que pose Trudeau.

Les Québécois vont se rendre compte assez rapidement que le fédéralisme n’est pas si rentable que ça, et au rythme auquel se précipitent les événements, il n’est même pas certain qu’ils aient besoin d’attendre Marine Le Pen pour reprendre le flambeau de l'indépendance.


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24 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    26 février 2017

    Radio-Canada et CBC utilisent vos taxes et impôts pour la promotion de la mafia Israélo-Russe et les amis de l'OTAN.
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    _ Boris Nemtsov n'était pas un saint. Pourquoi le promoteur de M. Trudeau, M. Cotler, qui a dit OUI pour l'intervention en Libye qui a fait des dizaines de milliers de morts. Pourquoi on voit sur sa page FB M. Cotler enlacé avec l'ami Nemtsov, CBC? Le petits ami de Kasparov, Brzezinski, et al...
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    _ Pourquoi CBC supporte la mafia Israélo-Russe?
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    _ With the help of Nemtsov Wilson managed to privatize Balakhna Pulp and Paper
    mill at the giveaway price of just $7 million. The enterprise was sucked dry and then sold to the Wall Street-Swiss investment bank, CS First Boston bank. The annual turnover of the mill was reportedly $250 million.
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    CS First Boston bank also paid for Nemtsov's trips to the very expensive Davos World Economic Forum. When Nemtsov became a member of the cabinet, his protégé Brevnov was appointed the chairman of the Unified Energy System of Russia JSC. Two years later in 2009 Boris Nemtsov, today’s “Mr anti-corruption,” used his influence reportedly to get Brevnov off the hook for charges of embezzling billions from assets of Unified Energy System.
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    _ Nemtsov also took money from jailed Russian oligarch Mikhail Khodorkovsky in 1999 when the latter was using his billions to try to buy the Russian parliament or Duma. In 2004 Nemtsov met with exiled billionaire oligarch Boris Berezovsky in a secret gathering with other exiled Russian tycoons. When Nemtsov was detailed by Russian authorities for allegations of foreign funding of his new political party, “For Russia without Lawlessness and Corruption,” US Senators John McCain and Joe Liberman and Mike Hammer of the Obama National Security Council came to support of Nemtsov.
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    Nemtsov’s close crony, Vladimir Ryzhkov of Solidarnost is also closely tied to the Swiss Davos circles, even founding a Siberian Davos. According to Russian press accounts from April 2005, Ryzhkov formed a Committee 2008 in 2003 to “draw” funds of the imprisoned Khodorkovsky along with soliciting funds from fugitive oligarchs such as Boris Berezovsky and western foundations such as the Soros Foundation. The stated aim of the effort was to rally “democratic” forces against. Putin. On May 23, 2011 Ryzhkov, Nemtzov and several others filed to register a new Party of Peoples’ Freedom to ostensibly field a presidential candidate against Putin in 2012.
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    Another prominent face in the recent anti-Putin rallies is former world chess champion turned rightwing politician, Garry Kasparov, another founder of Solidarnost. Kasparov was identified several years ago as being a board member of a Washington neo-conservative military think-tank. In April
    2007, Kasparov admitted he was a board member of the National Security Advisory Council of Center for Security Policy, a "non-profit, non-partisan national security organization that specializes in identifying policies, actions, and resource needs that are vital to American security."
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    _ Inside Russia Kasparov is more infamous for his earlier financial ties to Leonid Nevzlin, former Yukos vice president and partner of Michael Khodorokvsky. Nevzlin fled to Israel on being charged in Russia on charges of murder and hiring contract killers to eliminate “objectionable people” while Yukos vicepresident.
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    _ In 2009 Kasparov and Boris Nemtsov met with no less than Barack Obama to discuss Russia’s opposition to Putin at the US President’s personal invitation at Washington’s Ritz Carlton Hotel. Nemtsov had called for Obama to meet with opposition forces in Russia: “If the White House agrees to Putin’s suggestion to speak only with pro-Putin organizations… this will mean that Putin has won, but not only that: Putin will become be assured that Obama is weak,” he said. During the same 2009 US trip Nemtsov was invited to speak at the New York Council on Foreign Relations, perhaps the most influential US foreign policy think-tank. Significantly, not only has the US State Department and US-backed political NGOs such as NED poured millions into building an anti-Putin coalition inside Russia. The President personally has intervened into the process.
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    _ Why Washington Wants ‘Finito’ with Putin
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    _ Par William Engdahl
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    _ http://www.engdahl.oilgeopolitics.net
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  • Archives de Vigile Répondre

    26 février 2017

    Le Canada et le Québec sont complètement contrôlés par les mondialistes, et ce, depuis longtemps. Ceux-ci ont joué un rôle majeur dans les deux échecs référendaires au Québec. L'indépendance du Québec va être éventuellement une cure contre le cancer mondialiste qui détruit la souveraineté des nations. Justin Trudeau est inquiétant, comme l'était son père, comme marionnette au service des intérêts de ces psychopathes (Soros, etc.).

  • Archives de Vigile Répondre

    4 février 2017

    Il existe des mouvements indépendantistes dans plusieurs des provinces du Canada. La grande différence entre eux et le mouvement séparatiste au Québec, c'est que le nôtre a une fondation beaucoup plus démocratique.
    Depuis la conquête, le Canada n'a jamais utilisé la démocratie pour nous garder au sein de la fédération.
    Nous manque t-il un Gandhi pour se sortir du pétrin?
    Justin gagnerait des point en agissant avec et pour le peuple... Ça ferait changement des premiers ministres précédents.
    J'aimerais bien un premier ministre élu... Ça aussi ça ferait changement!
    Il faudrait que Justin découvre rapidement que la mondialisation est une doctrine mourante. S'il ne veut pas entraîner le Canada dans la faillite, il lui faudra couper les amarres avec la finance. Cette dernière s'est montrée tout aussi mauvaise conseillère que de référence en matière de gestion, particulièrement depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Washington,Lincoln, Jackson, Garfield, Wilson et Kennedy l'on dit à maintes reprises... Attention aux banques! À la finance! Plusieurs l'ont payé cher!

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2017

    Ce semble que les globalistes irrépressibles dans leurs magouilles aiment recruter pour leurs sbires des femmes qui s’évertuent de déguiser leurs vraies histoires et leurs noms. Je cite Victoria Nuland, néo-conservatrice femme de Robert Kagan, lui, agent sioniste, et elle chargée avec sa mission de subvertir l’Ukraine ; avant, une Madeleine Albright, l’ange de mort contre la Serbie par bombardements et l’Iraq par des sanctions. Maintenant nous avons Cristya Freeland pour but à entrainer le Canada dans ces conflits et server l’élite. Ceci ne surprend personne car la paix ne paie aucun dividende aux maîtres du mal avec plan sinistre d’accabler et de saquer le monde. Justin Trudeau ne sait pas faire quoi qu’obéir au programme lui présenté, étant totalement incapable de la gouvernance (gourance oui). Kevin O’Leary a raison de ridiculiser le gouvernement des incompétents dépensiers qui nous obèrent avec dettes et plus dettes et dont politiques ne cessent pas de cafouiller. Une combinaison conçue dans l’enfer : Trudeau qui accueillit tous refugiés et Freeland qui se pose dans une position à créer plus d’eux.

  • Archives de Vigile Répondre

    1 février 2017

    mercredi 1 février 2017

    Les globalistes / neocons se préparent à combattre la Russie et les États-Unis
    Les néocons et leurs co-idéologues globalistes sont, à tout le moins, insistants. La décision de l’équipe de transition de Donald Trump d’empêcher les Républicains néocons qui ont signé le mouvement « Never Trump » d’avoir des postes dans son administration amènent les cercles mondialistes et néoconservateurs à chercher d’autres lieux d’action.
    Les néocons et les globalistes se sont regroupés, afin de lutter contre la Russie et contre le futur président américain Donald Trump. Avec le départ des archi-néocons : Victoria Nuland de son perchoir au Département d’État, Samantha Power de la mission américaine aux Nations Unies et Susan Rice du Conseil de Sécurité nationale, l’establishement néocon et globaliste, qui a en commun des vues atlantistes, a opté pour le Canada comme lieu idéal pour mener sa guerre de subterfuges et de propagande.
    Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, a congédié son ministre des Affaires étrangères, Stéphane Dion, pour faire place à un clone idéologique de Nuland, Power et Rice sur la scène mondiale : Chrystia Freeland, sa ministre du Commerce. La politique de Dion cherchant à se rapprocher de la Russie a fini par lui coûter son poste, alors qu’Ottawa se prépare à accueillir toute opération de déstabilisation de Trump qui se présente pour de futures actions contre son administration.
    Freeland, qui est d’ascendance ukrainienne, est devenue une chouchoute des globalistes, après qu’elle a forgé un accord de libre-échange avec l’Union européenne l’année dernière. Une Freeland frustrée s’est penchée lourdement sur le seul opposant à l’affaire, le gouvernement régional de Wallonie en Belgique. Même après avoir annoncé que le gouvernement wallon abandonnait ses réserves à l’Accord économique et commercial global Canada-Union européenne (CETA), le gouvernement central belge a renié un accord avec les Wallons qui aurait exigé que la Cour de justice de l’UE révise l’accord avant l’adhésion finale par Bruxelles.
    Freeland a également supervisé la signature de l’Accord de libre-échange Canada-Ukraine avec le gouvernement néo-fasciste de Kiev. Imprégnée du corporatisme et de la mondialisation de la doctrine du Parti libéral canadien, Freeland est d’avis que les gouvernements régionaux, qu’ils soient en Wallonie, en Crimée ou au Québec, n’ont aucun droit à l’autodétermination. Ce comportement est à la base de l’idéologie globaliste d’entreprise. Les amis libéraux de Freeland au Québec ont neutralisé le mouvement de souveraineté québécoise. Cependant, si la candidate à la présidence du Front national français Marine Le Pen est victorieuse lors des élections de cette année, la France peut donner une nouvelle vie au mouvement indépendantiste québécois, comme l’avait fait le président Charles de Gaulle à Montréal en 1967, avec son fameux discours « Vive le Québec libre ! » .
    Avec la nomination de Freeland comme ministre des Affaires étrangères et d’Ahmed Hussen (né somalien) comme ministre de l’Immigration, Trudeau a établi une ligne rouge contre Trump sur les questions jumelles de la mondialisation et des frontières ouvertes à la migration. Ottawa deviendra bientôt un repaire pour les opérations anti-Trump, qui impliquera presque certainement le milliardaire organisateur mondial de pagaille, George Soros.
    Comme Power, Freeland est une ancienne journaliste qui a échangé ses lettres de créance journalistiques pour devenir une complice enthousiaste du nouvel ordre mondial globaliste. Étudiante à Rhodes, diplômée de Harvard, et ancienne élève de du Brookings Institution, elle a représenté le Financial Times à Washington, à New York et à Moscou.
    La position anti-russe de Freeland, y compris son soutien aux sanctions contre la Russie à propos de l’Ukraine et de la Crimée, lui a valu une interdiction de visa du gouvernement russe. Pendant ses derniers mois à Moscou pour le Financial Times, Freeland était devenue une critique majeure de la nouvelle administration du président Poutine et l’a accusé d’installer une dictature en Russie. Avant de diriger le bureau du FT à Moscou, la russophobie de Freeland s’était affinée pendant son séjour en tant que journaliste à Kiev. En fait, le parti pris de Freeland contre la Russie a toujours été présent dans ses reportages. Les amis les plus proches de Freeland traversent les lignes des partis au Canada, en incluant le superviseur sioniste du Parti libéral, Irwin Cotler, Paul Grod, président du Congrès ukrainien canadien et Peter Kent, porte-parole des affaires étrangères du Parti conservateur.
    Dans une de ses premières déclarations en tant que ministre des Affaires étrangères, Freeland a promis que les sanctions canadiennes contre la Russie ne seraient pas levées. Le 10 janvier 2017, Freeland a promis que le Canada servirait de front contre la montée du « protectionnisme commercial et de la xénophobie ». C’était un avertissement clair à Trump à Washington, à Marine Le Pen, au Premier ministre hongrois Viktor Orban et au politicien du Parti de l’indépendance du Royaume-Uni, Nigel Farage. En décembre 2016, le Canada a accueilli une réunion du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et de la fondation Open Society de Soros, qui vise à amplifier le mouvement des réfugiés du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord et de l’Asie du Sud vers les pays industrialisés occidentaux. Il ne fait aucun doute que les russophobes Freeland et Soros collaborent sur plusieurs fronts contre la Russie et contre Trump.
    Les petites puissances européennes harceleuses s’extasient que le gouvernement Trudeau ait placé une russophobe en charge des relations extérieures du Canada. Freeland n’a pas caché son intention d’influencer l’administration Trump pour qu’elle change de cap sur la Russie. Elle s’est vantée de son « vaste réseau de contacts » à Washington et elle affirme avoir de l’expérience dans les « corridors du pouvoir » au Congrès des États-Unis, au Département d’État et à la Maison Blanche. L’ambassadeur ukrainien à Ottawa, Andriy Shevtchenko, espère que Freeland éduque l’administration Trump pour qu’elle maintienne la pression politique et économique sur la Russie. L’ambassadeur de Lettonie à Ottawa, Karlis Eihenbaums, considère Ottawa comme le point de départ d’une opération d’influence de facto de l’OTAN à Washington pour faire déraper les relations américano-russes. Freeland a montré ses intentions envers Trump et Poutine lors de sa récente rencontre au Forum économique de Davos, en Suisse, avec le financier américain William Browder, figure centrale d’un plan de fraude massive en Russie impliquant sa société basée à Guernesey, Heritage Financial Management. Browder, le petit-fils de l’ancien dirigeant du Parti communiste américain Earl Browder, est, comme son homologue Mikhaïl Khodorkovski, un critique féroce du gouvernement russe et du président Poutine.
    Depuis Ottawa, Freeland dirigera la charge des néocons et des globalistes contre tout tentative de Trump de déchirer l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). Elle tentera presque certainement de sauver le Partenariat transpacifique (TPP), qui inclut le Canada et que Trump a promis de quitter [trop tard, c’est déjà fait, NdT]. Freeland ouvrira probablement aussi l’Arctique canadien à une présence militaire des pays de l’OTAN anti-russes comme la Norvège, le Danemark et l’Allemagne, ainsi que la Suède et la Finlande pro-OTAN. Une présence accrue de l’OTAN, sans les forces américaines, dans l’Arctique canadien non seulement militarisera la région, mais enverra un avertissement à la Russie sur le contrôle canadien des nouvelles voies maritimes de l’Arctique, qui sont de plus en plus navigables en raison du changement climatique.
    Avec Ottawa qui devient le centre des activités contre Trump et les Russes, le monde peut s’attendre à un refroidissement entre le Canada et les États-Unis. Si Trump commence à considérer le Canada comme une source d’opérations contre lui, la frontière des États-Unis avec le Mexique pourrait ne pas être le seul point chaud de la politique en Amérique du Nord.
    Par Wayne Madsen – Le 25 janvier 2017 –
    Source Strategic Culture
    le Saker Francophone

  • Yves Corbeil Répondre

    31 janvier 2017

    On ne s'embarasse pas avec les fleurs dans le tapis à Ottawa on contrôle le chaud et le froid avec une désinvolture digne de son chef.
    Pour rester dans la tendance peut-être devrait-il procédé à un échange de secrétaire, est-ce que c'est inclus dans les bons procédés de l'ALENA.
    http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201701/31/01-5064843-un-secretaire-parlementaire-nomme-par-trudeau-defend-le-decret-de-trump.php
    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/monde/201701/31/01-5064796-trump-congedie-la-secretaire-a-la-justice-opposee-au-decret-sur-limmigration.php
    C'est épatant ce qu'un gros chèque avec un voyage culturelle peut faire sur un homme humilié.
    Monsieur Canada va aller propager sa clarté dans une Europe qui semble incapable de se sortir de la noirceur de ses décisions politiques. Dion est l'homme tout désigné pour les éclairer.
    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201701/31/01-5064907-stephane-dion-accepte-loffre-de-devenir-ambassadeur-en-europe.php
    Je crois que nous allons vivre toute une expérience politique de bas étage au courant de l'année qui s'en vient. Comme si ce que nous avons vu jusqu'à présent pouvait être encore dépasser en performance indigne.

  • Jean Lespérance Répondre

    30 janvier 2017

    Pour ceux ou celles qui n'ont pas compris mon commentaire précédent, à savoir s'il y a un pilote dans l'avion, je vais être plus clair sans tout dire. Soros a dicté à Trudeau ce qu'il doit faire et c'est ainsi que Stéphane Dion a pris la porte. Il fallait bien remplacer Stéphane Dion et Soros a choisi Freeland.
    Cela me rappelle ce que Jim Flaherty faisait, il consultait Paulson, le président de la FED, et Paulson lui disait quoi faire.
    Le vrai Premier ministre ici, c'est Soros. Il n'y a rien de contradictoire avec l'article de Monsieur Le Hir, c'est tout simplement une précision. Il faut toujours savoir qui tire les ficelles, ainsi on sait ce qui va se passer.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 janvier 2017

    M. Le Hir
    Depuis l'élection de Trump, nous commençons à voir le vrai visage de ceux qui nous gouvernent à commencer par Couillard ce globaliste de service qui fait le jeu des mondialistes avec cette immigration massive au Québec dans le but de nous faire perdre notre identité collective, notre langue et notre culture. Et j'ajouterai ceci: si Couillard ne peut se réadapter au Québec après son séjour en Arabie Saoudite, je suis prêt à lui payer un billet d'avion pour qu'il y retourne mais un aller seulement.
    INDÉPENDANCE OU ASSIMILATION!
    André Gignac 30/1/17

  • Archives de Vigile Répondre

    30 janvier 2017

    Si Trump commence à voir le Canada comme la base des opérations lancées contre lui...
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    _ Le but est d'utiliser les bases militaires et les ressources humaines d'ici, l'USAID, pour aller s'installer en Iran sous prétexte d'une menace mondiale.
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    _ Cela fait plus de 15 ans que le script est écrit.
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    _ Québec, il est temps de faire preuve de perspicacité et d'intelligence.
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    _
    _ JE ME SOUVIENS est ta devise contre l'actuel délire de l'état militaire-policier qui veut t'enlever ta souveraineté.:
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    _ #14
    Novaya Gazeta
    No. 75
    October 2001
    THE THIRD FORCE OF WORLD WAR III
    Is China behind all that has been happening?
    Author: Viktor Minin
    [from WPS Monitoring Agency, www.wps.ru/e_index.html]
    THE AMERICANS DON'T REALIZE IT YET, BUT CHINA HAS WRITTEN ITS OWN SCRIPT FOR SQUEEZING THE UNITED STATES OFF THE WORLD STAGE. CHINA SUPPORTS ACTIONS OF THE WEST AIMED AT MUTUALLY ASSURED DESTRUCTION OF RUSSIA AND THE MUSLIM WORLD. THE WEST, RUSSIA, ISRAEL, AND THE MUSLIM WORLD MUST WORK TOGETHER.
    THE WESTERN SCRIPT
    Using techniques of manipulating public opinion, the West is trying to establish the illusion of a global forces with the fascist- like ideology of Wahhabi fundamentalism. As far as the West is concerned, Wahhabi and Islam are the same thing. It is because of this that the essential terrorism of Wahhabi ideas is being formulated so simply for public consumption: all Muslims are terrorists by nature.
    The preliminary objective of brainwashing (Islam is the basis of terrorism) is thus achieved. Therefore, the terrorist world of Islam should be maneuvered into fighting Russia. Russia and the Muslim world will destroy each other, and the West will gain access to the natural resources on their territories. The dollar pyramid will straighten once again, and the economic crisis will be over. Life goes on.
    Apart from the need to shock the international community with atrocities of Islamic terrorists, this script requires the presence of some country fundamental for this particular global force. It should answer the following requirements: a large Muslim population, government based on military dictatorship (which allows prompt replacement of the leader); borders with Russia, China, and India; nuclear arsenals; and a well-trained army with combat experience. Pakistan is an ideal fit, and Afghanistan is just a capsule.
    Continuation of the script after the terrorist attacks in the United States: retaliatory strikes at Afghanistan, Iran, Iraq, and so on, depending on the situation. A dramatic rise in anti-American sentiments throughout the Muslim world as a result. A coup in Pakistan, leading to the rise of a radical Wahhabi leader there. Unification of Afghanistan and Pakistan.
    A Taliban invasion of Uzbekistan, Tajikistan, and Kyrgyzstan will follow. Conflicts with Iran and Iraq will follow. The second phase of preferable armed conflicts is as follows: Iran and Turkey, Armenia and Azerbaijan, Turkey and Greece, Georgia and Abkhazia, China and Taiwan, North Korea and South Korea, Israel and Palestine, and escalation of the situation in Chechnya. Russia will inevitably find itself dragged into some war or other, and declare general mobilization. Tatarstan, Bashkortostan, and some other ethnic republics will refuse to go to war under those circumstances. The rest of the population of Russia will also object. All this may result in a drastic destabilization in Russia, and a loss of control. Things may even reach extremes, ending in a military coup or disintegration of the Russian Federation.
    However, some details indicate that this particular script has bogged down. The world is different now. In the past, it was sufficient to torch the Reichstag or assassinate a prince; but now, even the horrors of September 11 no longer suffice.
    That is why some sort of "fuel" is needed to give the script momentum - terrorist attacks on the scale of September 11, but not in America alone. Over there, in Europe, and in Russia as well. Anthrax is just a prelude. Controllable terrorism, however, has its own limits. Russia knows, for example, that "Chechen terrorists" will no longer suffice. After all, linking them to Islam is fairly difficult.
    But even that is not the key point. Certain indirect aspects indicate that the script considered here is not the only one. Most probably, it is not even the whole script, just part of an even larger one. In accordance with the latter, Russia and the Muslim world fighting each other are not the only objectives. The West and Israel are too. It follows that some unknown Contractor and Player must be present somewhere. This script becomes possible when we assume that some Western elites and secret services made a kind of covert pact with this still-unknown Player.
    All this is only made easier by the fact that the United States is internally not prepared to carry out the task; its elites are split, and the gap first shown in the Bush-Gore election is only widening. The dollar may fail to withstand the new war, and could actually begin falling soon. This would rekindle and legitimize long- standing racial tensions. The ideology of liberalism and democracy as the most effective system is dead. It is time this fact was recognized.
    And what might this new, unknown third force be like? It should be invisible and still in politics, like an old crocodile hunting, pretending to be a log in the water. The Americans don't realize it yet - but it isn't all that hard to understand that the third force is China.
    THE CHINESE SCRIPT
    A few words about China as a super-power. Population in excess of 1.2 billion, economy larger than that of the United States, a professional army numbering almost 4 million men, gold and hard currency reserves enough to repel any American attack and virtually turn all of Southeast Asia into its own currency zone. An ample volume of dollars is a defense and a financial weapon to be used against the dollar itself. Throw a great deal of dollars into the market all at once, and the dollar will crash. A conflict with Taiwan may follow. It will be a conflict waged with American money, with American weapons, investment, and high technology. Add the nuclear factor here. Suffice it to recall the recent scandal when Chinese intelligence obtained all major nuclear secrets of the United States. Birth rates in China are no longer being kept down; defense spending has been increased. China is buying up armaments and military hardware.
    China has thoroughly studied the Western technique of getting out of crises via controllable armed conflicts and wars. It has written its own script for squeezing the United States off the world stage. The Western script becomes an episode in a larger game.
    Contents of the script:
    - while remaining inactive and all but invisible, China retains and replenishes its resources;
    - China supports actions of the West aimed at mutually assured destruction of Russia and the Muslim world;
    - China supports bilateral conflicts in line with the Western script;
    - China becomes ideologically active and active in the military sense when the moment is ripe;
    - when the conflicts are over, China moves into the new territories...
    The global conclusion is simple. This is the first time strategic interests of the West, Russia, Israel, and the Muslim world coincide. We can only survive together.
    Under the unfolding script, all of us are victims. China has already won, strategically and tactically.
    The test is plain - we will sink or swim together. The new global Chinese order will follow the rules the Americans drew up for themselves. What counts is that the "golden billion" of the world's population alone will prosper; the remaining 4 billion are expendable. Unlike the United States, to say nothing of the Russians or Jews, China has this billion already. All of us are expendable in this wicked colonial system of distribution of resources.
    Proposals:
    1. All efforts, including from the elite of international finance, should be made to stop the war.
    2. Russia should become the real leader of the new process. (It has already become it but not yet aware of the fact.) The West and Israel need a strategic alliance with the Muslim world more than anything else, and this alliance is possible only through Russia. Only Russia in an alliance with the Muslim world can keep China in check without conflicts, helping it find its new place in the world as another super-power.
    3. Leaders of Russia, America, Israel, Europe, Iran, India, and international financial capitals must initiate a dialogue over leaving this crisis behind and preventing events like those which swept America on September 11.
    A time of change is upon us, and it's futile to wish we were living in some other era. We have to change ourselves and change the world...
    (Translated by A. Ignatkin)

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  • Jean Lespérance Répondre

    29 janvier 2017

    Y a-t-il un pilote dans l'avion?
    Oui, je peux vous dire qu'il y en a un, le vrai pilote est Soros et le copilote est Freeland. Et Justin Trudeau alors? Bien lui, il joue le rôle d'hôtesse de l'air.
    Welcome aboard, put your seatbelts and don't worry, I will take selfies with you.
    Bienvenue à bord, mettez vos ceintures de sécurité, ne vous inquiétez pas, on va prendre des selfies.

  • Archives de Vigile Répondre

    29 janvier 2017

    Le Canada a, et s'apprête RÉELLEMENT à aider des néo-nazis en Ukraine.
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    _ CBC: 1.5 milliards par an (vos taxes et impôts), a servi à victimiser des néo-nazis en Ukraine, puis à les armer.
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    _ Il y a de quoi être fier.
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    _ ''The hardcore element driving the Maidan revolution two years ago was composed of right-wing extremists funded by corrupt oligarchs._
    _ [...]
    The corrupt Ukrainian military and lack of resolve among the young conscripts meant that when revolt broke out in the eastern oblasts, volunteer militia proved to be most effective counter to the pro-Russian rebels. Many of those volunteers were neo-Nazis who hated not only Russians but Jews and other minorities. Although downplayed by Ukrainian authorities as being Russian propaganda, the neo-Nazi element was impossible to ignore.
    The Harper government made assurances that Canadian soldiers deployed to train the Ukrainian military would not help neo-Nazis. ''
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    _ ON TARGET: Ukrainian situation slipping under radar in West:
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    _ http://espritdecorps.ca/on-target-1/2016/3/8/on-target-ukrainian-situation-slipping-under-radar-in-west
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  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    28 janvier 2017

    Donald Trump face à la mouvance multiculturaliste du renégat Justin Trudeau et au publiciste du Désordre mondial , Alexandre Trudeau :
    «À ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, sachez que le Canada vous accueillera... indépendamment de votre foi. La diversité fait notre force.» Justin Trudeau
    Des Canadiens binationaux touchés par les restrictions américaines
    http://www.lapresse.ca/actualites/201701/28/01-5064085-des-canadiens-binationaux-touches-par-les-restrictions-americaines.php
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    Le nouveau grand jeu est loin d'être terminé, mais l'issue semble se dessiner. Avec la montée inexorable de la Chine, les Américains sont désormais en position défensive. Trudeau (Alexandre) espère que l'Oncle Sam résistera à la tentation de montrer ses muscles. Cette stratégie engendrerait non seulement des réactions imprévisibles et extrêmes, mais elle pourrait aussi accélérer son déclin.
    Alexandre Trudeau et le déclin de l'empire américain
    http://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201208/24/01-4567795-alexandre-trudeau-et-le-declin-de-lempire-americain.php
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    JLPM

  • Jean-Pierre Bouchard Répondre

    28 janvier 2017

    Très pertinent comme analyse et observations de R.Hir. Cela concorde avec l'actualité actuelle qui s'est accélérée.
    Deux ordres du mondes se confrontent: le globalisme qui prétend à la vérité divine plus que jamais selon l'idéologie et celui du retour des États-Nations qui ont la souveraineté démocratique et la laïcité pour se légitimer.
    Le problème c'est que malgré la présidence Trump qui fait un retour à l'INTÉRÊT NATIONAL, le Brexit, la Russie comme État leader contre le globalisme de Wall Street. Les forces hostiles sont nombreuses et que les médias y compris Le Devoir qui a sa part d'articles globalisants continuent leur travail de culpabilisation sur l'immigration et le multiculturalisme, la souveraineté nationale.
    Le gouvernement Trudeau n'est que ça, une gouvernance qui donne le pouvoir aux juges depuis Pierre Trudeau et 1982, infiltrée par des globalistes inconditionnels sachant profiter de leur machine de propagande radio canadienne.
    Le globalisme multiculturel se donnant le magistère de la vérité morale d'une sorte d'église universelle qui doit lutter contre ses hérétiques, ses mécréants de la foi. On imagine bien le pouvoir de diabolisation que ces gens se donnent sur leurs opposants.
    L'immigration étant le point cardinal des globalistes pour acculturer les nations. L'immigration étant devenue le moteur du moralisme ou moraline comme dirait Nietzsche pour culpabiliser le citoyen qui tient à l'intégrité de sa culture nationale et à la continuité de sa nation et de son unité. Il s'agit par le discours moral globaliste de bloquer toute légitimité et lutte pour l'affirmation de sa nation.
    Au Québec, ceux qui sont inconsciemment culturellement programmés, un peu nostalgiques des prescriptions de l'église sont devenus des globalistes ou reprennent une partie de son argumentation culpabilisante comme au Devoir, en relative mesure au PQ et précisément en masse chez les libéraux de Couillard, QS et bon nombre d'intellectuels dont certains sont liés à des chaire Canada fédérales.
    Le monde de cette Freeland c'est celui du système qui gouverne plus que jamais depuis les années 80: économisme total, individualisme complet, destruction du lien social encore renforcé depuis 1980, car commencé dans les banlieues nord américaines dans les années 60 et négation des nations.
    La constitution de Trudeau père à Ottawa en 1982 étant l'une des marques en Occident de cette -dépolitisation- des parlements au profit des cours de justice et de chartes des droits non évoluées
    (insistant trop sur le culte des religions plutôt qu'identifier clairement droits des femmes et droits des enfants)
    chartes divinisées par le pouvoir des tribunaux pendant que dans les années 90 se mettait en place dans une légère variante en Europe le même processus à travers la mise en place de l'imposture de l'Union européenne dont la technocratie est une destruction pseudo rationnelle de la démocratie au nom d'une imposture d'un marché qui ferait supposément le gouvernement des hommes.
    Au Québec, Il y a des Mathieu Bock Côté et des Simon Pierre Savard et d'autres jeunes Québécois heureusement dont Richard Lehir en tant que vétéran et d'autres d'expérience qui comprennent que si le globalisme se poursuit. La démocratie et les nations seront pulvérisées éventuellement, il faut que ça se sache de plus en plus.
    Et on sait que ce ne sont pas Patrice Roy ou Pierre Bruneau qui nous informeront sur ces réalités.

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2017

    Un bel héritage laissé aux JEUNES:
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    _ - des millions de morts au Moyen Orient;
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    _ - un pays ruiné par la guerre alimentée par des armes fournies via les fonds de pension;
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    _ une réputation à jamais ternie pour le Canada, des dizaines de milliers de morts en Libye, merci Cotler et compagnie.
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    _ des pays bombardés, détruits, à ''reconstruire" pour les futures générations qui travailleront pour des compagnies d'ingénierie et de construction. je voudrais pas être à leur place quand ils iront là-bas, et auront à expliquer pourquoi leur ''pays'' a fait ça.
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    Pitoyable... Et ça vient nous servir des émissions sur les addictions du peule, ces mégacorporations... Pourquoi ne nous parle-t-on jamais de l'Addiction au POWER et à l'ARGENT de ces voleurs et de ces manipulateurs MINABLES, MISÉRABLES, qui nous laissent les MIETTES en héritage???

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2017

    Mon avis est que le Canada servira d'entremetteur entre les États-Unis et la Russie, via cette création de la CIA qu'est l'Union Européenne. La connection française, ainsi, sera extrêmenent importante. Pensons Fonds Monétaire International (Iran!) et cette dame Lagarde du FMI (tout conflit concernant les transactions ITU entre pays membres seront réglés en français, a-t-on décidé à la plénière de Dubai en 2012.)
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    _ Rien qu'à voir le Yuan s'intégrer peu à peu dans le dollar canadien et le dollar américain, je reformulerais ainsi:
    Le Canada servira, au moyen du Fonds Monétaire International, à constituer une devise internationale qui reliera les économies occidentale et orientale. L'OTAN servira à ''sécuriser'' les ressources que continuera de s'approprier illégalement l'Occident en Europe, et bien sûr en Afrique et au Moyen-Orient.
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    _ Je me demande ce qu'en pense l'Iran, qui ne doit pas avoir encore digéré la tentative botchée de revolution colorée au moyen de Facebook en 2006...
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    _ A suivre..

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2017

    À mon avis, le projet de Chrystia Freeland de remplacer Justin Trudeau à la tête du pays est voué au même sort que le nouvel ordre mondial dont il est issu, c'est-à-dire à la même pensée magique de milliardaires qui ne vivent pas sur terre que celle qui a porté Justin Trudeau au pouvoir ! ... Un moment donné, dans un avenir rapproché, leur peu de substance va aboutir au même sort que leur projet de nouvel ordre mondial qui ne mène nulle part et que tout le monde qui n'est pas payé par eux arrive à voir facilement ! ...

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2017

    L'idéologie du "Multiculturalisme" destructeur de peuple sans arme, provient du Marxisme Communisme et c'est aussi un Ukrainien qui est en dessous de ca...
    http://quebecoisdesouche.info/entrevue-avec-dr-ricardo-duchesne/
    Un bon vidéo a regarder, que j'ai visionné tantôt, il ne faut pas oublier, qu'il y a un important volet économique a ce conflit..
    Les Mondialistes et les Nationalistes qui s'affrontent, c'est a dire les Obama/Clinton/ Merkel/Union Européenne, et de l'autre coté les nationalistes/Patriotistes pro Donald Trump...
    Charles SANNAT: L’économie mondiale affranchie du mondialiste Obama...
    Charles Sannat, rédacteur-en-chef du site INSOLENTIAE, expert en économie et haute finance, nous raconte sa vision de l’économie américaine à l’époque de Donald Trump.
    Une chose est vraie: le CETA et le TAFTA; deux accords sur l’asservissement de l’économie française et canadienne aux intérêts de la strate supranationale globaliste au goût US, ne sont plus de ce monde et l’économie française pourrait peut-être se libérer du joug trans-atlantique tandis que l’Europe, elle, se réveillerait un jour sans OTAN.
    Cependant, le conflit des Etats-Unis avec la Chine se profile déjà à l’horizon.
    M. Sennat, est aussi géopoliticien et estime que la Chine est un plus grand danger que la Russie pour les Occidentaux, parce que beaucoup de transfert technologiques Occidentaux furent transférés aux chinois au cours des dernières années...
    http://www.businessbourse.com/2017/01/26/charles-sannat-leconomie-mondiale-affranchie-mondialiste-obama/
    Des milliardaires chinois financent le Parti libéral pour parler avec le premier ministre Trudeau...
    http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1001495/milliardaires-chinois-parti-liberal-justin-trudeau-activite-financement

  • Archives de Vigile Répondre

    28 janvier 2017

    Cette possibilité est renversante, mais il ne faut pas perdre de vue qu'elle provient du gouvernement de Justin Trudeau, c'est-à-dire fondée sur aucun fait ni aucune réalité autre que la pensée magique de Justin Trudeau, et tout le monde sait, hormis les membres vénaux de son gouvernement, ce que ça vaut ! ... Mon idée c'est que le gouvernement Trudeau va devenir de plus en plus truand à mesure que ces faits vont s'implanter et que ça va devenir une kermesse pour les services de renseignement américains, en plus de devenir de plus en plus difficile à cacher à la population, qui ne porte d'ailleurs pas Trudeau dans son coeur dans une grande partie du ROC ! ...
    Trudeau n'a malheureusement pas appris à construire par ses efforts, à cause de l'héritage que lui a laissé son père et de la fragile santé mentale de sa mère, donc tout ce qu'il fait ne devrait pas laisser de traces très profondes dans l'histoire ! ...

  • Pierre Grandchamp Répondre

    28 janvier 2017

    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/28/calexit-l-initiative-en-faveur-de-l-independance-de-la-californie-gagne-du-terrain_5070444_3222.html
    « Calexit », l’initiative en faveur de l’indépendance de la Californie, gagne du terrain
    Les militants d’une « Nation de Californie

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2017

    après avoir fait la lecture du texte et de vos commentaires ,une chose importante qu'il ne faudrait pas oublier,.... M.Soros ,qui a mon avis est un pantin milliardaire de la Cité De Londres ,Rotschild qui = pouvoir financier illimité ,et un vouloir de destruction du président Trump ,celui qui a bafoué et ridiculisé la cabale politique en place et mis en lumière la trahison de la presse et des journaleux en faveur du nouvel ordre mondial !! si cet homme est toujours vivant ce que Ben. Fulford a de sérieux doute !! je pense que nous sommes devant le combat du siècle ,et sommes capable d'identifier la situation dangereuse et les acteurs en mal de pouvoir et perte d'argent qui se compte par centaines de milliards ! sans oublié le but ultime de la réduction des populations ! en conclusion nous sommes aux portes d'un affrontement sanglant !! et notre Trudeau national,en bon traître ! offre le Canada comme plateforme et mise en place aux projets des crapules de ce monde !

  • André Lafrenaie Répondre

    27 janvier 2017

    M. Le Hir
    Vous écrivez: " (...) il n'est même pas certain qu'ils (les Québécois) aient besoin d'attendre Marine Le Pen pour reprendre le flambeau de l'indépendance. "
    Vous dites souvent ainsi que les conditions actuelles sont très positives pour les souverainistes québécois.
    Malheureusement, l'establishment et le caucus péquistes ne sont pas du bord de l'indépendance du Québec. Il s'agit là d'une condition si négative qu'elle l'emporte sur toutes les conditions positives que vous pouvez relever, ce qui fait que le P.L.Q. va encore rester au pouvoir.
    On a eu un grand espoir avec Péladeau qui aurait pu être notre Trump à nous, mais maintenant on n'a plus rien. En fait, on n'a rien depuis vingt ans, depuis que Parizeau est parti. Le "système", qui est à 100 % fédéraliste, nous tient bien en laisse et ne nous lâchera pas.
    André Lafrenaie

  • Marcel Haché Répondre

    27 janvier 2017

    Quel retournement de l’histoire !
    Justin Trudeau et toute sa gang de députés anti-Québec ne peuvent plus compter sur ce qu’ils avaient pourtant escompté : des complices à Washington.
    On jase…Mais si Trump, président d’un pays souverain, est capable de s’en prendre aux élites démissionnaires de son pays, c’est quoi, « au Québec »… cette façon racoleuse de s’adresser aux chambres de commerce ?
    Justin Trudeau est une rock star fabriquée par le Canada (anglais). Quelle revanche ce serait si ce p’tit homme réussissait là où son père avait échoué : devenir un jour, à force de trahisons, la rock star de l’O.N.U.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2017

    Parmi les immigrants ukrainiens de l'après-guerre, il n'y a pas que le grand-père de Freeland qui aurait un passé nazi. La plupart des Ukrainiens venus au Canada après la guerre avaient de la sympathie pour l'Allemagne nazie, pour employer un euphémisme. D'où leur exode provoqué par la victoire du pays qui a porté à lui seul, pour l'essentiel, le fardeau de la guerre contre le nazisme. Je parle de la Grande guerre patriotique, ignorée par Hollywood, mais bel et bien menée par l'URSS de Staline, qui avait réuni pour l'occasion «le curé, le bedeau et son éminence» et tous ceux en âge de combattre, pour résister d'abord et vaincre ensuite l'agression allemande au prix de sacrifices considérables. En Ukraine, la population était divisée. Beaucoup donnèrent leur appui à Hitler, emmenés par les forces de Stephan Bandera, maintenant réhabilité par les autorités ukrainiennes. Celles-là même qui ont pris la place du gouvernement légitime avec l'aide de ceux que Donald Trump vient de mettre à l'écart, dont Patricia Nuland au premier rang.
    Il faut réaliser que le lobby ukrainien d'extrême droite aux allégeances douteuses est au Canada très puissant grâce un réseautage international tissé de longue date. En comparaison, le Québec patriotique est seul et sans réseau. On comprend que le lobby ukrainien dépasse en puissance le poids désormais résiduel que peut représenter le Québec dans le Canada. Le Québec s'étant montré incapable de maintenir la pression plus que quelques semaines dans la défense de ses intérêts, à quelques rares occasions, n'a pu jusqu'ici constituer des réseaux d'appui. En conséquence, les Ukrainiens, avec une population moins nombreuse, en mènent large aujourd'hui dans le Canada pendant que le Québec est rejeté dans les marges. Stéphane Dion est à classer dans les dommages collatéraux.
    Le Canada est vraiment un territoire sans continuité de par sa population. Les lobbies ukrainiens revanchards, ennemis jurés de la Russie pour avoir vaincu l'Allemagne nazie et Stephan Bandera, feront tout, depuis la Saskatchewan et l'Alberta, pour entretenir l'hostilité entêtée du Canada envers la Russie. Une politique improductive qui ne fait qu'ajouter aux problèmes du monde.
    Le Québec, quant à lui, devrait favoriser une politique de neutralité et de bons rapports avec tous ses partenaires, dont ses voisins immédiats : Les États-Unis et la Russie. Malheureusement, aucun parti représenté à l'Assemblée nationale ne défend une semblable politique, mesurée et de bon sens.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 janvier 2017

    Merci infiniment pour cet article si précieux. Je me creuse la tête depuis des semaines quant à savoir quelles seront les positions de Trudeau face au changement de régime américain. Bien que peu rassurée évidemment, ça libère néanmoins de la tension de ne pas savoir… J'en tremble encore intérieurement de voir comment tout cela se tient et je vois très bien le Canada opté pour ce genre de scénario… Trudeau est crinqué et dopé aux doctrines mondialistes. Il y voit là l'opportunité de devenir une vedette interplanétaire… À ce moment précis où j'écris ces quelques mots je réalise sans aucune équivoque que je suis en guerre contre mon propre pays. J'en suis réduite à souhaiter que les américains viennent exorciser le démon canadien…tout en sachant que nous en payerons le prix…mais en espérant aussi un grand réveil et une vraie confrontation. Et si la force est avec nous Marine Le Pen sera élue .