Le dernier budget du présent gouvernement, le «1er» de Raymond Bachand, vient démontrer,si besoin était,que Jean Charest a peut-être les deux mains sur le volant, mais surtout qu'il a les deux yeux dans le rétroviseur,dans lequel il voit le Canada, en n'oubliant pas qu'il conduit le Québec vers sa perte. De cet individu le peuple voudra se souvenir, comme un maître/Es/scandale;s'il conserve ses souvenirs? Car il semble que notre peuple oublie facilement les scandales chez ses élus. N'a-t-il pas oublié que, «agissant comme ministre» dans un gouvernement «conservateur»,Jean Charest avait dû démissionner pour être intervenu auprès d'un juge ayant à se prononcer sur un ami du régime d'outre Outaouais? Se souviendra-t-il, dans quelques années, de l'homme aux mille et un scandales, comme de celui qui a pollué l'atmosphère démocratique du Québec et du monde libre, afin de protéger ses amis, généreux donateurs politiques au «PLQ». Aujourd'hui,Paul Desmarais et le «CA» de Power doivent bien rire dans leur barbe, puisque leur pupille politique a soumis son peuple à leurs exigences nébuleuses et à leur volonté, en attendant que Nicolas «1er» Sarkozy en fasse autant en France et en Europe. Ce sera le bonheur «Total» pour «Power Corporation» et «ParisBas, deux outils assurant la suprématie économique et politique des protecteurs de Jean Charest et de Nicolas Sarkozy,président de la France pour encore quelques années.Est-ce que l'on sait que Total a été condamné à payer plus de 200 millions d'Euros parce que un des bateaux transportant son pétrole a pollué l'océan Atlantique dans les eaux de la France.Il faut vraiment craindre les amis de Jean Charest et «bailleurs« de fonds du parti libéral qui lui apportent «75$»/année pour ses loyaux services envers ses maîtres à penser, car rine ne les arrête. On voit que celui qui nous sert de premier ministre n'a pas toujours les yeux dans le rétroviseur, surtout lorsqu'il agit au nom de ses «bailleurs de fonds politiques».