Mondialisation – George Soros n'a pas dit son dernier mot

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Soros financier du globalisme

Le 15 janvier, le Financial Times a publié une entrevue avec George Soros, le multimilliardaire de 87 ans qui est l'un des artisans de la mondialisation et qui en fait agressivement sa promotion par le biais de son réseau Open Society Foundations (OSF). Durant l'entrevue, M. Soros a révélé qu'il comptait initialement fermer l'OSF avant sa mort, mais que désormais, il mettait les bouchées doubles pour que son réseau lui survive.


C'est que M. Soros, en agent de la mondialisation, croit que l'Union européenne est en train de s'écrouler et que le nationalisme, au travers de la Russie, est en train de devenir l'« idéologie dominante ». Une telle perspective ne lui plaît pas : en novembre dernier, il a confirmé qu'il avait versé 18 milliards de dollars supplémentaires dans l'OSF pour poursuivre ses activités. En outre, il se voit diriger l'OSF pour encore cinq ans, voire plus si sa santé le permet.


Son influence est telle qu'il est de plus en plus critiqué pour ses ingérences dans les différents pays du monde. Notamment, le premier ministre de la Hongrie, Viktor Orbán, a accusé à plusieurs reprises M. Soros d'instrumentaliser les migrants pour affaiblir les nations. Ce dernier avait répliqué dans un courriel qu'il défendait simplement les « valeurs européennes » et que « [son] plan traite la protection des réfugiés comme l'objectif et les frontières nationales comme l'obstacle. »