Les minorités ethniques et linguistiques qui ont opté pour l'anglais doivent être relocalisées ailleurs au Canada, puisqu'elles ne respectent pas l'exigence élémentaire de parler français en tout temps, de vivre en français et de consommer prioritairement la culture québécoise francophone.
Il n'y a pas de place au Québec pour de nouveaux immigrés dont le but avoué est de devenir des Anglo-Québécois, ou pire, des Anglo-Canadiens.
N'étant pas Montréalais, je ne suis pas en mesure d'énumérer exhaustivement toutes les communautés ethniques d'immigrants établis depuis longtemps qui ont opté pour l'anglais, ce qui a pour conséquence néfaste que tous les nouveaux arrivants appartenant à cette communauté adoptent systématiquement l'anglais comme langue d'usage. Celles qui me viennent spontanément à l'esprit sont: Hindous, Chinois, Jamaïcains, Grecs, Italiens, Juifs. Nos lecteurs de la métropole seraient mieux placés pour en identifier plus que moi.
C'est cette communauté fortement anglicisée déjà en place qui rend problématique, voire chimérique, l'adhésion éventuelle au français. De plus, c'est un fait établi qu'une majorité d'immigrants tiers-mondistes essaient de sortir le moins possible de leur communauté, tout particulièrement ceux qui profitent en grand nombre des programmes de réunification familiale injustifiables et qui n'ont à répondre à aucun critère de maîtrise de la langue. Ils réduisent au strict minimum les occasions de devoir parler français par évitement systématique.
La seule question que se pose un immigrant tiers-mondiste en arrivant, c'est comment faire pour éviter d'avoir à apprendre le français, et comment s'y prendre pour pouvoir vivre uniquement en anglais, ou pire, rien que dans sa langue étrangère. Quelle mauvaise foi.
Cet aspect de l'adhésion automatique à l'anglais via la communauté doit être pris en compte lors de la sélection des futurs immigrants, et de tels candidats se voir carrément refusés. En effet, ce n'est pas dans l'intérêt général que des étrangers totalement indifférents à la survie de la nation québécoise et de ses éléments constitutifs viennent grossir les rangs du camp anglo.
On ne peut plus laisser les communautés ethniques irrémédiablement vendues à l'anglais augmenter exponentiellement à leur guise. Les plus réfractaires à la langue nationale doivent même être amenées à se relocaliser ailleurs au Canada en sentant une certaine pression populaire à le faire.
Vous ne voulez pas du français? Nous, on ne veut pas de vous.
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