« Si on ne le permettait pas, les anglophones ne pourraient plus
suivre cette formation au Québec. La préoccupation d'accessibilité va
peser dans la balance », [explique son attaché de presse, Jean-Pascal
Bernier->7174].
Pauvres anglophones, il faut leur donner leur nanane, si non ils ne
seront pas contents pis ils vont s'en aller. Ca ressemble au "Si tu
fais pas ca bin dabord j'joue pus!" des enfants qui se chicanent!
Quel beau réflexe de colonisé de M. Bernier! Mensonge! Les
anglophones sont libres de suivre leur formation partout où ils
veulent au Québec, tant que ce soit en francais! Va-t-on abolir la Loi
101 sous prétexte que si on ne leur permet pas de travailler en
anglais, ils vont partir en Ontario?
Si quelques anglophones sont incapables d'accepter que la langue de
travail est le francais au Québec, et bien qu'ils partent! Bon
débarras! Certains francophones colinisés devraient peut-être aussi y
songer.
MADAME COURCHESNE, si vous donnez votre aval, nous allons découvrir
que votre réaction face à "l'approche holistique" n'était que des
larmes de crocodile et votre engouement à défendre le francais non
sincère! Et ramenez donc votre attaché à l'ordre.
--
Dominique Beaulieu, B.Ing., M.Sc.
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