Le commissaire aux langues officielles veut que le Québec+400 reflète l'apport de la communauté anglophone à la ville de Québec.
Ville d'histoire, lieu de trois confrontations majeures et marquée par les ravages de la Conquête et de la domination qui s'en suit.
Québec fut choisie comme port d'accueil des choléreux britanniques. Puis, un mourroir de quarantaine fut installé à Grosse Isle. Lequel fut recyclé pendant la Deuxième guerre mondiale pour développer des armes bactériologiques de destruction massive.
Oublions la langue du conquérant, s'il vous plaît.
Par contre, incluons le gaélique pour souligner l'apport des Irlandais et des Écossais chassés de leurs terres par des seigneurs anglais protestants qui les surchargeaient de taxes et qui préféraient remplacer les cultures par des pâturages à moutons. Ils étaient comme les Canadiens français, des dominés, des asservis, des intoxiqués par les alcools distillés tel le gin, qui fit la fortune de certains maîtres anglosaxons, banquier commerçants de l'empire. Avec leur réveil, et le nôtre, nous pouvons atteindre ce but, qu'est la souveraineté.
Francis Déry
Montréal
Québec 400e
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