Revue de presse

PQ - PLQ: un même combat

L'anglicisation obligatoire

Bilinguisme au Québec

En 6e année du primaire
_ Les jeunes libéraux veulent l’immersion en anglais
_ La Presse Canadienne Jocelyne Richer 02/08/2008
Les jeunes libéraux sont passés à un cheveu, samedi, de recommander au gouvernement d’imposer le bilinguisme intégral à tous les enfants du primaire, de la première à la sixième année.
Après deux votes serrés et un recomptage, cependant, l’amendement à une autre proposition moins radicale a finalement été battu, de justesse.
Mais à défaut d’imposer le bilinguisme durant tout le cours primaire, la commission-jeunesse demande cependant au gouvernement d’obliger tous les enfants de sixième année à passer la moitié de leur année scolaire en immersion anglaise totale.
***
Entrevue au Devoir - Marois veut des élèves bilingues
_ ROBERT DUTRISAC
_ Édition du mardi 05 février 2008
La chef du Parti Québécois (PQ), Pauline Marois, croit que tous les Québécois devraient être bilingues en sortant de l’école secondaire ou du cégep, ce qui est loin d’être le cas pour les enfants qui fréquentent le réseau public en français.
« Le vrai défi qu’on a, c’est que nos enfants sortent de l’école bilingues », a déclaré Pauline Marois lors d’une rencontre éditoriale avec l’équipe du Devoir.
Éducation
_ Marois en remet
_ Mathieu Boivin
_ Le Journal de Montréal 08/02/2008
Pauline Marois persiste : des cours d’histoire ou de géographie en anglais seraient, pour les écoliers du primaire et du secondaire, une bonne façon d’apprendre cette langue sérieusement.
Réagissant à la levée de boucliers que sa proposition a suscitée, la chef du PQ a maintenu, hier, que des cours d’histoire ou de géographie en anglais à compter de la 5e année du primaire et tout au long du secondaire pourraient être implantés par un éventuel gouvernement Marois.
« Il pourrait y en avoir dans la perspective où (il s’agit) de pratiquer l’anglais, de pouvoir comprendre des concepts et des contenus », a affirmé la chef péquiste, ajoutant que ces méthodes étaient « généralement reconnues ».
Les meilleures pratiques
« Certaines écoles utilisent déjà ces méthodes (d’anglais intensif et d’immersion), alors on s’inspirera des meilleures pratiques, celles-là ou une autre, l’objectif étant que les enfants sortent du secondaire en maîtrisant l’anglais », a-t-elle ajouté.
Selon Mme Marois, l’heure hebdomadaire d’anglais que l’actuel gouvernement libéral a implantée dès la 1re année du primaire ne permet pas aux écoliers d’apprendre cette langue efficacement. « On va peut-être les démotiver, dans un certain sens », a-t-elle souligné.
Sous couvert d’anonymat, un ex-député péquiste a indiqué au Journal que cette proposition de Mme Marois laissait bien des gens perplexes dans le parti et que cela allait forcément « retrousser au conseil national du PQ à la mi-mars ».
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ), le groupe Montréal Français et l’ADQ ont aussi dénoncé cette idée.
***

Featured df5b7351bef44f5ef9d14600f6d8203f

Caroline Moreno476 articles

  • 266 130

Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
http://www.tagtele.com/videos/voir/73927/

Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
http://www.tagtele.com/videos/voir/73967/1/





Laissez un commentaire



14 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    5 août 2008

    Maitriser est un terme très fort car la majorité de anglos ne maitrisent pas l'anglais. Les écrivains quelques fois, les traducteurs et les journalistes après correction maitrisent l'anglais Les autres, bof... C'est l'expression se débrouiller en anglais qu'il faudrait utiliser ici. La maitrise des langues est le propre des enseignants, des universitaires et des gens du métier de lire, d'écrire, de traduire et d'interpréter. Ceux qui travaillent dans une langue étrangère parviennent aussi parfois à une très bonne connaissance d la langue seconde seconde. Bilingue ne veut pas dire deux langues sur un pied d'égalité mais ¨parler une deuxième langue¨. La langue maternelle et officielle, le français demeurant toujours la première et l'autre, une langue de culture. Est-ce que ce doit être toujours l'anglais, j'en doute. L'enseignement d'un langue seconde à lieu dans toutes les écoles de presque tous les pays. Elle peut se concentrer en 5 ans ou s'éterniser sur 12 ans, comme au Québec, et ne presque rien savoir sauf ce l'on a appris dans le rue à la télé ou dans les journaux et revues. J,aimerais savoir la position de madame Moréno à ce sujet.

  • Archives de Vigile Répondre

    5 août 2008

    Je m'avance aujourd'hui à faire une prédiction. Il arrivera aux québécois ce qui est arrivé aux irlandais. Les québécois feront leur indépendance en 2070 et tout comme les irlandais, qui auront perdu leur langue nationale le gaélique, ils auront perdu le combat de la langue et parleront l'anglais. À lire certains intervenants sur VIGILE, c'est vers cela qu'on se dirige!

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Christian me répond : «Monsieur Bousquet... Lorsque vous étiez petit, quelqu’un vous a demandé quelle langue seconde vous vouliez étudier ?...
    Ou bien on vous a imposé la langue et la culture de Don Cherry»
    Réponse à la question : NON. Je n'ai pas choisi mais je suis reconnaissant que l'école n'ait pas choisi de m'enseigner le russe ou l'arabe ou le chinois à la place de l'anglais comme langue seconde.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    D'accord avec M. Pierre Bouchard qui écrit : Attention ! «On pourrait retarder l’évolution de quelqu’un parce qu’il peine à apprendre l’anglais ?»
    Avoir l'opportunité d'apprendre l'anglais à l'école A1 mais ça ne devrait pas être une matière pour couler ses études. Si un étudiant(e) n'est pas habile à apprendre l'anglais, tant pis pour lui/elle dans la vie mais faudrait pas le/la pénaliser comme étudiant(e).

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Entièrement d'accord avec vous, M. Pierre Bouchard.
    Pauline Marois est l'expemple vivant qu'on apprend pas l'anglais à l'école.
    J'ai moi-même appris l'anglais par la télé dans les années 70, pendant que mes copains se voyaient interdit le câble parce-que les parents craignaient l'influence américaine (on était pas mal plus nationaliste en ce temps !). Les émissions les plus efficaces sont les comédies et dessins animés, car on a ensuite l'envie de répéter la "joke" à ses frères et soeurs et autres amis qui ont le câble. C'est ainsi par immitation qu'on apprend la diction et par la comédie qu'on saisi les subtilités de la langue.
    Ce simple apprentissage télé était amplement suffisant pour obtenir mon tout premier emploi à 17 ans au gouvernement fédéral à Ottawa dans un département à 99% anglais et où j'ai perfectionné mon anglais.
    Je n'ai jamais cessé de parler et penser en français pour autant et mes enfants ont tous le français comme langue maternelle.
    Par mes enfants je constate le même phénomène par les résultats dans leurs classes d'anglais où ils s'ennuient et n'étudient pas du tout mais obtiennent des bulletins de 95% pendant que les autres élèves peinent à passer. La raison est que je connais l'anglais et qu'avec encore plus de médias anglais aujourd'hui ils ont appris tout naturellement l'anglais et les subtilités de la langue à la maison. Ils sont pourtant 100% francophones. Nous ne discuttons jamais en anglais, nous ne faisons que partager de l'information en anglais que l'ont interprette ensuite en français. De la conversion puis de la conversation.
    Ce n'est donc pas par "besoin" qu'on apprend bien l'anglais, mais par intérêt pour une culture étrangère, afin de s'enrichir et transformer pour créer en français. Apprendre l'anglais par "besoin" c'est tuer sa culture.
    Mme Marois est allé à Boston pour perfectionner son anglais. Elle prouve que nos propres écoles en sont incappable.
    Elle reviendra avec une diction un peu meilleure mais n'aura rien compris de plus à la subtilité de la langue et au lieu d'enrichir son français elle ne fera que de la traduction du français vers l'anglais au lieu de l'inverse. L'anglais, pour un francophone, ne doit "servir" qu'à une seule chose; le franciser. En créer un complément d'inspiration française. C'est la culture.
    Ces stupides cours d'anglais dans nos écoles doivent être éliminés et le réseau informatique internet des écoles libéré pour un accès total et mondial. L'anglais s'y apprendra tout seul et l'information sera naturellement converti en français par les élèves eux-mêmes qui ainsi amélioreront et enrichiront leur langue en apprenant une autre, ou même des autres.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Monsieur Bousquet nous dit:

    Il me semble que ce n’est pas de s’angliciser que d’apprendre l’anglais pour bien se débrouiller, pas nécessairement full-bilingue mur à mur.
    Notre dictionnaire rapporte à angliciser : Donner un caractère, des manières ou un accent anglais. Adopter la langue anglaise. "On n’adopte pas la langue anglaise quand on ne fait que la parler correctement, en cas de besoin".
    Les Québécois ne veulent pas "virer" anglais, ils veulent se débrouiller correctement en anglais, après le français.

    Est-ce que vous avez déja travaillé au centre-ville de Montréal? L'anglais y règne en maître, l'unilinguisme anglais est monnaie courante.
    Vous croyez pas qu'on devrait favoriser l'apprentissage du français, avant d'imposer l'anglais à nos enfants.
    La majorité des francophones, s'il sont dans un groupe, et qu'une seule personne ne parle pas le français, il vont commencer a discuter en anglais qu'ils soient 10 contre 1, la discussion se passera en anglais. Le syndrome du colonisé, vous connaissez?
    Vous croyez pas que c'est la première étape d'une assimilation complète, que de forcer nos enfants à devenir de parfait petits bilingues.
    Au Québec, l'anglais, n'est pas en péril, le français l'est en péril. Il faut absolument avant l'indépendance, faire la promotion du FRANÇAIS, et non de l'anglais.
    Le français est pratiquement devenue une langue folklorique à Montréal, et vous voudriez enfoncer de force le clou?
    Décidement de mieux en mieux, et faudrait appuyer le PQ dans sa démarche d'assimilation complète du peuple Québécois, sans se poser de question.
    Je n'embarque pas là-dedans.
    Vive le Québec Français!
    Vive l'Indépendance !
    Vive le Parti Indépendantiste qui lui milite pour un Québec français, et n'a rien à cirer du Bilingual Qwebec que le PQ nous propose.
    Bilingual Qwebec, is in fact, an english qwebec.

  • Christian Huot Répondre

    4 août 2008

    En effet, il y a une évidence que tous les souverainistes péqouistes évitent comme la peste, leur politique linguistique est abrutissante et colonisatrice. Pour ne pas dire «trudeauiste». Presque identique à celle des canado-fédérato-libérato provincialistes.
    Le PQ... Le hybride bailingue de la cheffe Pauline Marois est remarquable. On a vu ça, le changement, au printemps dernier au blogue du PQ. Un lecteur anglophone y affichait son texte et d’aucun ne réclamait une version française. Même pas par respect pour la langue française. Même pas par respect pour tous les francophones qui ne lisent pas la langue de Don Cherry.
    M’enfin… C’est très rigolo de voir une cheffe des souverainistes afficher une appartenance canadian, en adoptant la langue de l’apartheid canadian et des immigrants. Elle répond maintenant en anglo-américain aux journalistes anglophones. Comme dirais l’illustre, riche et célèbre Bernard Desgagné, «Colonisé à l’os !…»
    Entre temps qu’arrive-t-il au PQ et PLQ, ouverts sur le monde, à la troisième langue en importance au monde et la première langue en importance des trois Amériques, l’espagnol ?… «Heun !… Kossé sa !… Espa quoi !… C’est où, ça ?…»
    « Un Québécois bilingue n’est pas moins souverainiste qu’un unilingue ou qu’un Québécois francophone ayant de la difficulté...
    au travail même si la langue de communication entre Québécois au Québec devrait être le français...
    3 août 2008, par Gilles Bousquet »

    Intéressant. Encore de l'hybride, dirait le célèbre général Pomerleau.
    Expliquez-nous comment un Québécois souverainiste bilingue, étant donné que l'apprentissage de l'américain n'est pas un choix, mais obligatoire et imposé de force au Québec, n'est pas une identité et appartenance franco-canadienne ? À l'image de Justin Trudeau.
    Et... Comme ça, au travail, le français est la langue de communication entre blancs de souche pure laine. Une langue ethnique. Ah bon !
    Attendez que je montre ce commentaire à nos copains footistes, les Azzurris. Là, ça va rigoler fort.
    Monsieur Bousquet... Lorsque vous étiez petit, quelqu'un vous a demandé quelle langue seconde vous vouliez étudier ?...
    Ou bien on vous a imposé la langue et la culture de Don Cherry, tout simplement. Obligatoire dès l'âge de 6 ans, maintenant, au Québec.
    ch

  • Archives de Vigile Répondre

    4 août 2008

    Je crois moi aussi que malheureusement, oui, probablement une majorité de Québécois sont favorables à l'apprentissage institutionnalisé de l'anglais. C'est ici l'occasion pour nos élites d'avoir du caractère, d'expliquer à la population et de contrer cette tendance.
    Les dernières générations de Québécois ont grandi avec les machines. Internet, les lecteurs MP3, texter des messages par téléphone, c'est naturel pour eux, et c'est normal que ce le soit. Si on exige, dans un système d'éducation, le bilinguisme de tous, que va-t-il arriver ? Dans quelques générations, l'anglais et le français seront des langues naturelles pour les Québécois. Ce qui veut dire, à cause des cultures concurrentes dans le quotidien, la faveur à l'anglais, et l'amenuisement du français. Il sera alors normal d'utiliser l'anglais pour vivre, et de faire l'effort de parler français dans les grandes occasions.
    Il faudrait parler des objectifs du système d'éducation au Québec. Même si être bilingue est une bonne chose, objectivement, il ne faudrait que l'abus nous tue. Je ne comprends pas qu'on veuille faire de l'apprentissage de l'anglais quelque chose d'obligatoire. Avant l'histoire, au même pied que le français et les mathématiques ? Ça n'a pas de bon sens. On pourrait retarder l'évolution de quelqu'un parce qu'il peine à apprendre l'anglais ?
    Ce que font aujourd'hui les jeunes libéraux, c'est un scénario connu. Ils font des avancées, on les rabroue pour la forme, on recommencera comme on l'a fait dans le passé. La méthode du perroquet, on répète et on répète. On finira par se dire qu'on en parle depuis longtemps, on fera croire au concensus en espérant n'avoir pas besoin d'en débattre véritablement. La machine fonctionne rondement.

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Il me semble que ce n'est pas de s'angliciser que d'apprendre l'anglais pour bien se débrouiller, pas nécessairement full-bilingue mur à mur.
    Notre dictionnaire rapporte à angliciser : Donner un caractère, des manières ou un accent anglais. Adopter la langue anglaise. "On n'adopte pas la langue anglaise quand on ne fait que la parler correctement, en cas de besoin".
    Les Québécois ne veulent pas "virer" anglais, ils veulent se débrouiller correctement en anglais, après le français.

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Je n'arrive pas à croire ces choses ! J'ai gardé la une des journaux où on peut lire ça. Un jour si on ne me croit pas...Actuellement c'est anglais en première année avant de savoir écrire sa propre langue... Pour mépriser collectivement notre langue plus que ça comment on fait ?
    À quoi sert le PQ déjà ? C'est quoi sa mission ? Je me demande si la victoire du PQ ne serait pas pire que celle de parti libéral. La loi 101 c'est à peu près la grande raison que j'avais d'avoir de l'estime pour le PQ. Les grandes choses autrement ont été fait avant lui. Même le référendum de 95 qu'est-ce que le PQ en a fait ?
    Demain ce sera forcément d'apprendre l'anglais avant le français pour être les premiers à décrocher une job de collabo... bien payante à faire quoi ? À doubler la cadence de l'assimilation des french canadian ?
    Les Québécois en tant que tels n'ont aucun avenir dans ces condition... À quoi est-ce que nous tenons maintenant. Qui va vouloir apprendre en plus de l'anglais le français ?
    C'est peut-être une ruse machiavélique que je n'arrive pas à décoder ? oui ça doit être ça...
    Je me suis mis à faire de la politique parce que je ne pouvais pas croire que le PLQ de Jean Charest était au pouvoir pour la première fois depuis 95 et je savais qu'ils saisiraient cette occasion avec des griffes de fer et j'ai pensé au PQ ils avaient besoin d'aide. Je croyais que tout allait en s'améliorant... comme ils disaient. Mais alors pourquoi ce parti libéral était-il au pouvoir au Québec ?! On a été dupé quelque part à l'intérieur...
    Et là on prends toutes sortes de décisions de suicide national à vouloir devenir plus anglais que les anglais. Réveillez-moi quelqu'un...
    François Therrien

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Faudrait demander aux Québécois francophones, ce qu'ils aimeraient avoir comme cours d'anglais à l'école, vous seriez peut-être surpris(e).
    À mon idée, les Québécois francophones veulent que leurs enfants aient une très bonne connaissance pratique de l'anglais que l'on peut décrire comme bilingues à divers niveau, avant le fin de leurs études, en plus de leur langue maternelle, le français qu'ils aimeraient voir aussi, mieux enseigné.
    Comme une deuxième langue est plus facile à apprendre jeune, faut bine commencer tôt à l'enseigner correctement dès les premières années du primaire, ce qui semble maintenant être le cas. Est-ce qu'il devrait y avoir immersion, quand exactement, laissons ça aux experts. L'important c'est le résultat final.
    Nous sommes entourés d'anglophones à l'extérieur du Québec, incluant un bon pourcentage de Québécois vivant à Montréal et à Brossard, faut en tenir compte.
    Un Québécois bilingue n'est pas moins souverainiste qu'un unilingue ou qu'un Québécois francophone ayant de la difficulté à se faire bien comprendre en anglais comme plusieurs connus qui en souffrent en voyage, à écouter à la télé, certains postes ou à bien communiquer avec des anglophones du ROC ou des États-Unis, au travail même si la langue de communication entre Québécois au Québec devrait être le français.

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Bonjours Mne. Moreno. A voir la lèvre inférieure rougie de Jean Charest, l'aile jeunesse du parti libéral peut se vanter d'avoir crevé l'abcès, suite à leur congrès. Aux oubliettes les propositions, sur les tablettes les recommendations, Jean Charest le vent dans les voiles s'est taillé et en vitesse. Un ballon de rouge pour se remonter les ailes mais attention aux ailes de poulet barbecue épicées à l'ail...

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Il est évident que le PQ et PLQ ne sont plus que des pantins au service de l'illusion d'une démocratie, tout comme le sont aussi le PLC et PC au fédéral et même les Démocrates et Républicains aux USA. Tous servent le même vrai pouvoir.
    Le PI ou QS, pour ne serait-ce qu'atteindre un pourcentage dépassant les 10% devra comme les autres faire des concessions à ce pouvoir (tel l'ADQ) ou se voir éternellement réduit à la marginalité.
    Ce pouvoir contrôle toute la structure d'accession et de gestion de l'État. Un parti qui y accède représente ce pouvoir et non le peuple.
    Il nous faut un organisme de représentation de notre nation, international, tout comme les Amérindiens, autochtones et tous les autres peuples ou collectivités ont compris devaient avoir.
    Ainsi, nous pourrons faire des alliances avec d'autres collectivités qui ont les mêmes intérêts et buts.

  • Archives de Vigile Répondre

    3 août 2008

    Faut-il s'étonner des jeunes libéraux ?Ils sont les fils et filles de ceux-là mêmes qui souhaitent que le gouvernement libéral botte le derrière de tous les chômeurs et assistés sociaux de la¨province de Québec¨.
    Ils reprennent les vieux démons et les vieux combats de leurs pères,ils le renouvellent au goùt du jour,et sont toujours aussi dressés contre le peuple québécois.Rien de bien nouveau.
    Collabos!Fils et filles de collabos!
    Les déclarations inopportunes de Mme Marois, malheureusement,les incitent indirectement à aller un peu plus loin dans leurs lâchetés.