10 bonnes raisons de freiner l'immigration débridée

S'ouvrir aux autres jusqu'à un certain point, mais pas trop

Avec quelques réflexions de l'anthropologue Claude Lévi-Strauss

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Tribune libre

S'ouvrir aux autres ethnies, aux autres cultures, jusqu'à un certain point, d'accord, mais il faut également savoir se fermer à ceux qui s'éloignent trop de notre propre profil et qui risquent de faire tache d'huile à la surface du lac bleu que nous sommes jusqu'à en étouffer la vie en-dessous.



En effet, il faut savoir se fermer à tous ceux -et ils sont hélas fort nombreux, à tous ceux dis-je, qui nous éloignent de notre nature profonde, qui piétinent notre âme collective, et qui risquent de nous laisser défigurés, amoindris, altérisés, par voie de submersion massive incontrôlée.


On pense ici à ceux qui démontrent une incompatibilité foncière et irréconciliable sur plusieurs plans essentiels et incontournables qui se traduit par:


1- une mentalité rétrograde, un degré d'évolution inférieur, qui menace de faire reculer la société



2- un tempérament chicanier propre à leur ethnie qui antagonise et attise la moindre source de conflit



3- le désir de certains d'imposer une religion rébarbative pour gérer tous les domaines du quotidien, tant dans la vie de famille que la vie en société: misogynie institutionnalisée, infériorisation de la femme dans tous les aspects de sa vie, la maltraitance répétée de la femme et des enfants, mariages arrangés de mineures, système de justice parallèle (comme la charia), opposition à la séparation de la religion et de l'état (neutralité)



4- un opposition ouverte à nos valeurs profondes, notre mode de vie (exemple: le refus entêté d'obéir à la loi 21 appuyée et désirée par la majorité)



5- des demandes incessantes d’accommodements religieux, ce qui est une preuve flagrante de non-intégration (exemple: occuper l'espace public avec des signes ostentatoires que désapprouve pourtant la population)


6- l'afflux immodéré de ressortissants issus de pays au niveau d'intelligence moyen inférieur au nôtre, ce qui abaisse et affaiblit graduellement le niveau intellectuel de la population générale, son dynamisme, son élan vers le progrès, et la capacité à améliorer son sort. Aucune société n'a avantage à se diriger volontairement vers la déficience collective et la débilité individuelle.



7- l'accroissement de populations aux taux marqués de criminalité, ayant recours plus naturellement à la violence, ou plus enclines à la corruption. On parle de gens élevés dans ce type d'environnement pour qui ce sont des façons de faire acceptables en autant qu'on ne se fait pas prendre, des gens qui agiront instinctivement de cette façon l'occasion venue.



8- certaines ethnies plus que d'autres viennent ici expressément dans le but de pratiquer le délétère communautarisme: vie enclavée, minimisation des contacts avec la société d'accueil, maintien des échanges entre eux en langue étrangère, habillement et alimentation comme chez eux, et s'entourant d'un périmètre de barrières virtuelles quasi infranchissables qui font que les nationaux ne s'y aventurent qu'à leurs risques et périls.



9- plusieurs types d'immigrants n'affichent aucune espèce d'intention véritable de s'intégrer à la société d'accueil ni ne font montre d'ouverture face à nous. Au contraire, ce sont eux qui en demandent toujours plus.



10- plusieurs types d'immigrants n'ont aucune espèce d'intention réelle d'apprendre le français. Ils veulent parler anglais, devenir des canadiens-anglais, et se positionnent clairement dans leur camp, c'est-à-dire eux contre Nous.


Voilà bon nombre de raisons valables nécessitant de mieux baliser la venue de certaines catégories de candidats à l'immigration ayant une capacité d'adaptation limitée à notre type de société avancée.



Pour sa part, Claude Lévi-Strauss, l'un des plus grands anthropologues du siècle passé, une sommité en la matière et un grand esprit s'il en fut un, s'est aventuré aux quatre coins du monde afin d'étudier les moeurs des peuples et civilisations les plus reculés. Après toute une vie de réflexion basée sur ses observations in situ, il en arrivait aux conclusions suivantes, dans son ouvrage de 1988, De près et de loin:


"Que des cultures puissent se sentir plus ou moins d'affinités les unes pour les autres, c'est une situation qui a existé de tout temps. Elle est dans la normale des conduites humaines.



"J'appartiens à une culture qui a un style de vie, un système de valeurs distinctives. Donc, des cultures très différentes ne me séduisent pas automatiquement.




"Je fais mon travail d'ethnologue avec objectivité et empathie. Il n'empêche que certaines cultures s'accordent moins que d'autres avec la mienne. Il y aura toujours des communautés portées à sympathiser avec celles dont les valeurs ne heurtent pas les leurs, moins avec d'autres. Ce qui n'empêche que même avec celles-ci, les rapports peuvent et doivent rester sereins.



«Si mon travail requiert le silence, et qu'une communauté ethnique s'accommode du bruit et même s'y complaît, je ne la blâmerai pas et n'incriminerai pas son patrimoine génétique. Je préférerai toutefois ne pas vivre trop près, et apprécierai peu que sous ce méchant prétexte, on cherche à me culpabiliser».



Méditons ces sages paroles. plus pertinentes que jamais.


Savoir s'ouvrir à ses semblables, aux "pratiquement comme nous", à nos "cousins de la fesse gauche", à nos proches parents, voilà la bonne voie à suivre. Dans le cas du Québec, cela signifie naturellement les Européens, les Occidentaux puisque c'est de là que nous sommes issus.



Les pays occidentaux sont faits pour les Occidentaux. C'est là une évidence qui se confirme d'année en année, un fait dont les populations des pays européens assaillis de toutes parts par les mouvances migratoires sud/nord prennent enfin conscience. C'est un réveil brutal mais salutaire ouvrant la porte à des lendemains meilleurs. Pour son propre salut, au nom de la sauvegarde de sa culture et du maintien de son fonctionnement social avancé, l'Europe doit redevenir exclusivement européenne.



Tout comme le Québec doit rester le Québec de toujours, un prolongement linéaire de l'héritage culturel de nos ancêtres.



De là l'idée censée de pratiquer une inclusivité sélective, favorisant ceux dont on se sent près à la base, mais qui écarte avec prévoyance et sagesse ceux nous divisent et qui ne partagent pas un certain fond commun essentiel au bien-vivre ensemble.



Ne laissons pas la nation québécoise de souche s'étioler, s'effriter, rapetisser au profit d'implantés insatiables du tiers-monde de misère, que le sort d'une petite/grande nation comme le Québec indiffère totalement, et qui jamais ne lèveront le petit doigt pour sa préservation.


Que le Québec qui est le nôtre le demeure à jamais!



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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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