Le passé de Mulcair garant de l'avenir
14 octobre 2015
La carrière politique de Thomas Mulcair, c’est la carrière d’un activiste canadian anti-Québec.
Était parmi ceux qui avaient excité et monté l’opinion publique des anglo-québécois contre le gouvernement « separatist » de René Lévesque. Était là, à Alliance-Québec, lors de la tuerie perpétrée par l’agité caporal (Lortie) à l’Assemblée Nationale en 1984. Était là, à Alliance-Québec, lors de l’incendie criminel de ses locaux en 1985.
Mulcair ne serait jamais devenu député du P.L.Q. en 2003 si ce parti n’avait pas déjà été pris en main par les activistes du parti Égalité et par les entrepreneux » de St-Léonard, canadians et corrompus. On oublie trop facilement que Jean Charest fut déjà le chef des progressistes-conservateurs à Ottawa. C’est la venue de ce dernier au P.L.Q. qui a ouvert la porte à Thomas Mulcair dans le comté le plus anti-Nous de tout le Québec. C’est depuis cette prise en charge par les jaunes du West Island, c’est depuis ce temps-là que le P.L.Q. est devenu lui-même un parti de jaunes.
Ce n’est pas un hasard que la « maison » Radio-Canada porte maintenant Thomas Mulcair à bout de bras. Ce n’est pas un hasard non plus que cette « maison » de jaunes porte aussi Justin Trudeau. Radio Canada connait son mandat…et craint pour ses budgets, d’où sa hargne anti-Harper.
Le West Island ne sait pas seulement reconnaître les « separatists » là où il y en a, il sait reconnaître ses fils. Mulcair en est un.