Cégep en français

Landry's musings on CEGEPs will cause Marois trouble

Proposal to extend Bill 101 will keep former premier in the spotlight


Pity Pauline Marois. Her predecessors as leader of the Parti Québécois had enough trouble with only one "mother-in-law." Now Marois must contend with two former leaders meddling in her relationship with her party.

Cégep : contrainte ou libre choix?



Dans [Le Devoir de ce matin (17 septembre), le p.-d.g. de la Fédération des cégeps, M. Gaëtan Boucher->21875], se déclare parfaitement satisfait de la situation actuelle quant à la langue d’enseignement au niveau collégial. Selon lui, le nombre d’allophones et de francophones qui étudient au cégep anglais serait « un phénomène limité ». Sa position s’appuie cependant sur un usage tronqué des chiffres. Dans sa c...

Langue d'enseignement au cégep

Le Québec a fait le bon choix



Le débat doit plutôt s'engager sur ce que le Québec doit faire de plus, et mieux, sur d'autres fronts. Que l'on songe par exemple à l'accueil des personnes immigrantes, à la valorisation de la langue française, à la reconnaissance des diplômes étrangers et à l'intégration des nouveaux arrivants au marché du travail québécois. Il y a là, selon nous, des pistes autrement plus prometteuses que celle de rendre le cégep obligatoire en français.

Cherchez l'erreur



Le mathématicien Charles Castonguay a calculé qu'entre 2000 et 2006, il y a eu en moyenne 4463 nouveaux inscrits de langue maternelle anglaise au cégep anglais. Pendant ce temps, le nombre total de nouveaux inscrits a été en moyenne de 9058. Autrement dit, plus de la moitié des nouveaux inscrits étaient allophones ou francophones. Cherchez l'erreur!

Oser agir vigoureusement pour servir nos intérêts nationaux

Cégep français obligatoire pour tous - langue d’enseignement, immigration


Seule la République du Québec assurera enfin la pérennité de notre langue, de notre culture et de notre identité. Seule la République du Québec assurera notre cohésion nationale. Seule la République du Québec pourra permettre à notre Nation d’envisager l’avenir avec fierté, honneur et dignité.

Le cégep en français, une chicane de famille?

quel est le plus important, rabrouer les belles-mères même lorsqu’elles ont raison ou servir le Québec ?


Pour des raisons que j’ai déjà mentionnées, et bien que je ne sois pas d’accord avec l’orientation actuelle du Parti québécois, je ménage mes critiques envers ce parti. Cependant, cette fois, sa position à propos de l’urgence d’obliger les étudiants néo-québécois à fréquenter à s’inscrire exclusivement cégep français me révulse. Le 15 juin 2008, un article de Charles Castonguay dans Lautjournal, [repris dans Vigile...

Bernard Landry plaide pour le cégep obligatoire en français



En entrevue jeudi avec La Presse Canadienne, l'ex-leader du PQ a plaidé en faveur d'un sérieux coup de barre aux lois linguistiques, sur le front de l'enseignement, afin d'intégrer les enfants d'immigrants à la majorité francophone. «Pour que l'intégration se fasse, le temps est venu, après des années de discussions, de rendre le cégep francophone obligatoire aux enfants de l'immigration. C'est ça la réponse», a dit l'ancien premier ministre souverainiste.

Chronique #14

Au collège plutôt qu'au "college"



Texte publié dans Le Devoir du samedi 12 septembre 2009 sous le titre "Dossier linguistique - Pour des cégeps francophones" J'ai toujours été fier de voir que les enfants des Québécois issus de l'immigration, depuis l'adoption de la loi 101 et grâce à elle, fréquentaient les mêmes écoles que mes enfa...

Faut-il étendre la loi 101 au cégep?



De sorte que de façon globale, un peu plus de 50 % des étudiants allophones s’inscrivent encore aujourd’hui au cégep anglais et un peu moins de 50 %, au cégep français. En définitive, les dispositions de la loi 101 touchant les études primaires et secondaires n’exercent pas un effet d’entraînement suffisant, parmi les enfants allophones, pour faire du français la langue « normale et habituelle » de leurs études collégiales.

Les francophones nourrissent la croissance du réseau anglais

Le réseau français, lui, est frappé de plein fouet par la crise démographique


La population de langue anglaise a beau diminuer au Québec, les établissements d'enseignement en anglais, tous niveaux confondus, sont de plus en plus fréquentés, nous révèlent les statistiques dévoilées en vrac cette semaine par l'Office de la langue française du Québec. Le réseau de l'éducation de langue anglaise a le vent dans les voiles depuis les années 1990. La croissance du nombre d'élèves dans les é...

L’anglais au secours du français?



Le jour où les Québécois décideront de faire du français la langue incontournable du prestige et de la réussite, les immigrants la choisiront comme langue parlée à la maison et tous les francophones la parleront avec fierté et l’écriront correctement. Et ce jour viendra avec la souveraineté du Québec. C’est ça qu’il faut proposer aux Québécois, madame Marois.

Québec

Les défenseurs de la langue fustigent Marois



Le refus de Pauline Marois d'imposer au collégial les critères d'admission prévus par la loi 101 au secondaire suscite une levée de boucliers chez les organismes de défense de la langue. Et même au PQ, certains ténors s'interrogent sur les déclarations récentes de la chef péquiste qui pense que cette question ne se poserait pas si les élèves étaient bilingues à la fin de leurs études secondaires. Le fait ...

Québec

Entrevue au Devoir

Marois veut des élèves bilingues

La faiblesse de l'enseignement de l'anglais dans le réseau public pousse des élèves vers les cégeps anglophones, dit la chef péquiste


Mme Marois veut imposer un nouveau test. Elle propose que, pour obtenir leur diplôme de cégep, les étudiants anglophones réussissent un examen démontrant qu'ils ont «une connaissance parfaite du français».

Pauline Gratton !



Ceux qui croient qu'avec le Parti québécois au pouvoir la sécurité linguistique serait ici assurée feraient mieux d'y penser

Tous les Québécois devraient être bilingues, dit Marois



La Presse Canadienne - La chef du Parti Québécois (PQ), Pauline Marois, croit que tous les Québécois devraient être bilingues en sortant de l'école secondaire ou du cégep, ce qui est loin d'être le cas pour les enfants qui fréquentent le réseau public en français. La chef péquiste a fait cette déclaration lors d'un entretien accordé au quotidien Le Devoir, publié mardi. Selon la chef péquiste,...

Les allophones choisissent l'anglais au collégial



Denis Lessard - Après 30 ans d'application de la loi 101, une majorité d'élèves allophones optent toujours pour l'anglais quand ils frappent à la porte du réseau collégial: ce constat embarrassant se retrouvera dans le bilan quinquennal sur la situation du français que doit publier le mois prochain l'Office de la langue française. Selon les données fournies hier à La Presse par le ministère ...